11:15 a.m. Sunday Choir (formed mostly of
Salesian Cooperators) accompanied the Mass
with their singing. Following was a brunch in the
Mary Help of Christians Hall with the Salesian
Alumni and Cooperators. By 9 am they were on
their way to the airport, leaving for Los Angeles.
Truly the Rector Major was Don Bosco in our
midst.
Fr. Dave ushered in his birthday on the 23rd
with the parishioners’ strains of “Happy
Birthday!” As a community, we enjoyed cake
with candles, coffee and “refreshment” together.
-- The 24th was our Community Outing to
White Rock and the surrounding Crystal Beach
area, where around noon we enjoyed each
other’s company with a good meal in Dave’s
honour at a Greek restaurant.
The final Sunday in September is Pro-Life-
Chain Awareness Day. Here our parishioners
will spend an hour in giving witness along one of
our main thoroughfares, King George Highway,
against abortion. Between youth events, break
dancing competitions and the beginning of many
parish organizational meetings, this has been a
most interesting and blessed month.
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COAT AN DOC’H, FRANCE. Pendant le
temps des vacances j’ai fait un séjour
d'animation spirituelle sur une de nos bases de
vacances dans les Alpes à Montriond. C'est un
camp comme le camp Savio en plus grand,
puisqu’il peut loger de 400 à 500 jeunes, soit
dans 6 chalets, soit sous tentes (voir sur Internet
"Les Albertans"). Mais le temps en France n'a
pas toujours été favorable, si bien que pendant
mon séjour nous n'avons guère dépassé 320, car
les groupes sous tente ont dû quitter les lieux
trop humides. On peut loger 11 groupes, mais au
plus, nous n'avons pas dépassé 9 emplacements
occupés. Il y a des points d'eau à chaque lieu
avec des sanitaires et des douches. On est très
près d'un lac pour les baignades. Il y a des
chalets aussi pour des familles. Les groupes sont
très différents (scouts et guides, aumôneries des
écoles publiques, groupes de mouvements
chrétiens, jeunes préparant des JMJ, colonies de
vacances, groupes de jeunes en difficulté des
banlieues envoyés par les mairies ou par la
justice).
Mon travail, si on peut appeler travail, était
d'animer la prière du matin avec ceux qui
désiraient (il y a eu un groupe de religieuses, des
responsables de mouvements, des séminaristes,
etc.), comme aussi de passer dans le camp pour
rencontrer les jeunes dans les différents sous-
camps, de les aider à allumer leurs feux, d’aider
à monter les tentes et le soir de célébrer la messe
pour tous ceux qui le désiraient, y compris les
gens du voisinage, soit dans une clairière
aménagée par des scouts alsaciens il y a
plusieurs années, avec autel en pierre comme
pour un amphithéâtre avec des troncs d'arbres,
soit dans des marabouts qui servent pour les
groupes en temps de pluies, soit dans la salle à
dîner des responsables. Comme les messes sont
annoncées dans les semainiers du diocèse, il faut
être disponible pour les passagers, car pour du
passage, il y a du passage, car il y a un chemin
important de randonnée qui traverse le camp; ces
gens s'interrogent sur cette base, surtout que les
chalets portent des noms salésien (Don Bosco,
Dominique Savio, Vicuña, etc.) Le mardi soir, je
devais être prêt pour une conférence suivie de la
messe pour tous ceux qui venaient, même de
loin. J'ai même présidé une concélébration avec
des prêtres en vacances dans la région. J'ai eu
même parfois par curiosité des jeunes
musulmans à la messe. Mais c'était surtout une
occasion de discuter avec eux et aussi même de
rejouer au ping-pong avec eux (il faut le faire!).
J'avais peur, non de perdre- c'est normal- mais
pour mon cœur..!
En août, j'ai rejoint la Bretagne avec
quelques visites à droite ou à gauche chez des
amis des environs, selon le temps. J'ai aussi
quelques problèmes de santé, pas graves, je
crois, mais qu'il faut surveiller (tension,
digestion, etc.). D'où la nécessité de rester dans
les parages pour être à la disposition de nos chers
docteurs.