ET SI LA VIOLENCE PRENAIT DROIT DE CITE… 


ET SI LA VIOLENCE PRENAIT DROIT DE CITE… 



N° 27 – septembre 2002

Vice-Province Salésienne « Notre Dame d’Afrique »

Afrique Tropicale - Equatoriale

B.P. 1607 - Yaoundé – Cameroun

Tél. (237) 222.22.21 Fax : (237) 222.22.51. E-mail :< ans.yde@refinedct.net >


EDITORIAL



Les mois de Juillet et Août nous ont donné l’occasion d’assister à une escalade de violence qui devient habituelle. Inexorablement, en ce mois de Septembre, tous les médias vont nous rappeler l’anniversaire d’un des événements le plus tragiques de ce 21ème siècle tout neuf : l’attentat contre le « World Trade Center ».


Depuis, le renversement du régime des Talibans en Afghanistan et la recherche d’Oussama Ben Laden, qui a occupé durant des semaines la première page des journaux et des télé-news, il nous reste comme un mauvais souvenir, mais nous sommes capables de nous adapter à tout ce qui pourra arriver, parce que la lutte pour la vie est inscrite au cœur de l’homme.


Ce n’est pas pour autant que la paix est arrivée. Loin de là. Le drame du peuple argentin, leurré par ses dirigeants pendant des années montre bien la face d’un pays puissant et riche, qui s’est laissé pourrir par les puissances internationales. Quelle tristesse de voir la misère quotidienne s’installer dans les rues de Buenos Aires, La Plata, et autres grandes villes…


Nous avons assisté à la demande de pardon de l’IRA ( Armée Republicaine Irlandaise) pour les victimes civiles, 650 personnes « non combattantes » tuées en 30 ans. C’est une façon d’accepter les erreurs du passé et de s’engager dans le processus de paix.


Nous sommes frappés par le crime commis contre ces deux enfants tués impunément en Angleterre, vraiment pour le plaisir de tuer. Tristesse énorme des parents qui trouvent refuge avec beaucoup d’autres amis chrétiens dans une prière commune.


A côté de cela, à Toronto, des milliers de jeunes ont voulu à nouveau montrer et crier leur espérance en une société plus juste et fraternelle pour tous les hommes à cause du Christ. D’autres groupes en Afrique ont suivi des célébrations parallèles pour faire communion dans un même élan d’engagement pour la paix coûte que coûte.


Des millions de gens en Pologne ont acclamé récemment le Pape dans son pays natal, au moment des vastes ravages dus au grandes crues des fleuves dans toute l’Europe Centrale, pour lui dire l’amour et la confiance en un avenir meilleur…


La nouvelle année pastorale que nous allons préparer dès maintenant doit être pour nous un moyen de ne pas oublier que nous sommes appelés à devenir « sentinelles du matin » pour éveiller toute possibilité de paix, d’accueil et de partage surtout pour les plus oubliés de nos quartiers, de nos écoles, de nos paroisses et de nos pays respectifs.


Que notre vie déborde comme un fleuve pour répandre la paix.

1 Miguel Angel Olaverri, sdb

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1.1 SPECIAL nbsp;TEMOINS DU CHRIST 

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2 Tchad – N’Djamena

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L’archidiocèse doublement endeuillé


Le Père Rémy Ngomo Ngomo a recueilli le témoignage de deux généreux missionnaires, sœur Marie Thérèse Nagassé et le Père Débi Youmtou de Soussa.

Leur disparition est un appel pour de nouvelles vocations. Récit.


Sœur Marie Thérèse Nagassé, de la Congrégation des Sœurs de l’Enfant Jésus, de nationalité japonaise, arrivée au Tchad en 1982, était responsable du Centre d’accueil diocésain de Kabalaye. Connue de tous les gens de passage, âgée de 68 ans, elle est morte en avril dernier, suite à une courte maladie liée à l’excès de chaleur.


Toujours prête pour accueillir

La sœur Nagassé, malgré son âge, était toujours prête à quitter son Centre d’accueil à n’importe quelle heure de la nuit, pour aller à l’aéroport accompagner ou accueillir des voyageurs, religieux, religieuses, prêtres diocésains ou autres hôtes de passage au Tchad.

On ne peut dire avec des mots, ce que cette sœur a été pour les Tchadiens et pour tous ceux qui l’aimaient et la côtoyaient. Elle ne savait pas s’exprimer correctement en français, mais elle émerveillait ses interlocuteurs avec ses mots en « forcing », sans jamais en éprouver la moindre honte. Elle avait compris que la suite du Christ, ce ne sont pas les mots des lèvres de la bouche, mais la réalité fraternelle vécue dans la simplicité, l’accueil, l’amour sans discrimination. Elle repose maintenant au cimetière communal de Farcha, à près de 12 km de Kabalaye, dans la zone industrielle de N’Djamena…


Jésuite et fils du Tchad

Le Père Débi Youmtou de Soussa, jeune père jésuite, était tchadien. Né en 1954 à Bitkine, il avait été baptisé dans son enfance par le Père Charles Vandame, alors jeune missionnaire jésuite dans cette localité, située à 500 km au Nord de N’Djamena.

Après ses études normales pour être prêtre jésuite, il se spécialise en « mass média », option reportage -télévision. Titulaire d’une maîtrise, il dirige, dès 1997, le « Studio Présence », radio télévision catholique de N’Djamena. A son retour d’un long séjour passé en Allemagne dans le cadre de sa mission, il se rend dans son village natal, visite ses parents à Bituminer. En revenant, il est victime d’un très grave accident de la route. Sa tante qu’il ramène à N’Djamena meurt sur-le-champ. Lui-même se retrouve plongé dans un profond coma durant 13 jours. Il décède au matin du vendredi 31 mai.

Ses obsèques resteront le témoignage d’un fils du pays, disciple et témoin du Christ sur une terre qui a besoin de voir ses propres enfants prendre la relève des missionnaires, dans ce dur labeur d’évangélisation et de l’inculturation du christianisme en terre tchadienne.

Mgr Vandame devenu son archevêque l’avait ordonné prêtre en 1997, et avait présidé l’eucharistie de ses vœux perpétuels en décembre 2001.

Le Père Débbi laisse sa pauvre maman et repose maintenant à Farcha, auprès de Sœur Nagassé. Puisse la terre tchadienne, la terre des « SAO » leur être légère et que leurs corps fertilisent et suscitent de nombreuses vocations, dans l’Eglise du Tchad.


Père Rémy Ngomo Ngomo, salésien de Don Bosco.






CAMEROUN : MIMBOMAN


Six jeunes hommes s’engagent dans la vie religieuse et les ministères de l’Eglise

3 Des professions religieuses et des ordinations diaconales ont eu lieu le samedi 29 juin 2002, à 16h 00, en la Paroisse « Marie Auxiliatrice de Mimboman III - Don Bosco 

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4 Le Père Miguel Olaverri, Provincial de l’ATE, a accueilli la consécration au Seigneur, par leur profession perpétuelle, de Aurélien AHOUANGBE (Bénin), de Roland MINTSA (Cameroun ), de Francisco MORO MBA ( Guinée Equatoriale ), et de Pascal TUYINSENGE ( Rwanda )

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Par ailleurs, Mgr Felix del Blanco, Nonce apostolique, a imposé les mains pour l’ordination diaconale à Francesc MACIA ( Espagne ) et à Frédéric MBAYANI ( Congo Brazza )

5 En vacances sur les plages de Kribi, des adolescents découvrent la « Paix 

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« Chez nous, à Don Bosco, les vacances ne sont pas une période d’oisiveté mais un moment pour prendre du recul, un temps de calme pour réfléchir, une ambiance de détente pour revoir les orientations de notre vie. »


Du 1er au 16 juillet 2002, 64 jeunes du quartier de Mimboman ont profité du bon air et des plages merveilleuses de Kribi.

Plusieurs animateurs accompagnaient le Père José Miguel et Aurélien, étudiant de théologie et résident à la maison Provinciale depuis un an.

Le slogan «  Avec Don Bosco, bâtissons la paix » fournissait tous les jours temps de réflexion, temps de découvertes en groupes, diversités de jeux.

Chaque matin voyait une nouvelle invitation à l’éducation à la Paix : construire la paix, découvrir les chemins qui mènent à la paix, travailler ensemble pour la paix, annoncer la paix. Des bricolages, la liturgie quotidienne, la représentation des paraboles, les activités sportives et récréatives permettaient de trouver des chemins de paix.

Un moment fort a été pour tous « le moment de paix ». Temps de silence et de réflexions sur le thème évoqué, temps de rédaction d’un témoignage de vie personnel, d’un article qui sera lu au journal du soir.

Pas étonnant que tel grand jeune, plutôt distant de cette ambiance de « recueillement, fraternité, non-violence et partage », venu à Kribi pour profiter de l’aubaine, se soit senti transformé à ce contact, y ait redécouvert une saine amitié à laquelle il n’était plus habitué, et ait déclaré en conclusion : «  J’ai trouvé ce que je cherchais ». Don Bosco avait bien cru dans les possibilités de Michel Magon. Aujourd’hui encore dans la détresse morale de tant de quartiers, des jeunes, sous leur dehors de « casseurs », ont surtout soif de vérité. Marie- Dominique avait su convaincre : « La joie est le signe d’un cœur qui sait aimer Dieu. »


D’après Jean Pierre TETANG, aspirant salésien

CAMEROUN : MAISON PROVINCIALE


5.1 Des visites au jour le jour

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De nombreuses visites ont jalonné les mois de juillet et d’août 2002 dans la Maison de Mvog Ada : postulants venant quelques jours en famille avant le départ au noviciat, confrères de passage au croisement de deux avions. Et même un beau matin, Son Eminence le cardinal Tumi, venant demander l’adresse des Petits Frères de Foucauld à qui il doit rendre visite pour leur retraite.


Samedi 27 juillet 2002,

quatre salésiennes et une religieuse, Fille des Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie, sœurs « du Père Variara » viennent partager le repas de notre communauté. Elles ont participé à Yaoundé, à la Session annuelle de Droit Canonique, centrée cette fois sur l’obéissance religieuse.  Les Pères Miguel et Jean-Baptiste sont là pour les accueillir. Mme Anne, dont nous avons célébré la fête hier et Mme Salomé ont préparé une belle table d’accueil. Les cinq religieuses son très satisfaites de cette réception. Chacune partage fraternellement sa vie de chaque jour. Sœur Carmen, de Guinée Equatoriale, est de retour de Colombie où elle a pu se ressourcer auprès des souvenirs du Père Variara, fondateur de sa Congrégation. Puis les quatre FMA s’expriment à leur tour. Sœur Cécile, coréenne, est actuellement à Pointe-Noire, et nous commente les espérances de la nouvelle maison en construction. Sœur Virginia Hernandez, d’Espagne, est en mission à Batete, avec sœur Lorenza Campanet de Guinée Equatoriale. Elles nous signalent les derniers événements mouvementés de la région. Sœur Silvia Torres, Mexicaine, vient de terminer son mandat à Duékoué, ( Côte d’Ivoire ) et devient supérieure à Kara au Togo. Le Père Grégoire Assiéné qui se trouve en famille vient nous rejoindre sympathiquement au moment du dessert.


Mardi 30 juillet 2002

Grégoire Assiéné a passé la nuit ici et nous quitte ce matin pour retourner chez les siens. Le Père Miguel part vers Bata pour prêcher la retraite aux sœurs du Père Variara. Quelques-unes ne pourront quitter l’île de Malabo pour le continent. La Guinée Equatoriale se voit avec de tels problèmes à l’occasion des prochaines élections ou des déplacements du Président.

Vers midi 15, arrive à la Maison Provinciale Serge Nyongo : « Je viens de N’Djamena. Je dois aller au noviciat en septembre. Je viens voir ma famille. Je vais rester quelques jours ici ». Jean- Baptiste qui se trouve seul à la Maison Provinciale depuis ce matin reçoit ainsi de manière totalement inattendue et providentielle, un agréable compagnon.

19h 00 : Le Père José Antonio qui devait arriver ce soir suivant les annonces du Père Miguel n’est pas là.

21h 15 : Deux coupures de courant successives agrémentent la soirée.


Mercredi 31 juillet 2002 :

Ce matin, avec Serge, nous célébrons avec toute l’Eglise, la Messe de St Ignace de Loyola. Au cours du petit déjeuner, Serge évoque volontiers son séjour à N’Djamena. Il y a rencontré par exemple, le Père Adriano qui était Provincial à Vérone et qui maintenant est Régional pour le Moyen Orient : « J’ai été surpris. Il est très simple. »

Au cours de la matinée, André, étudiant à Lomé, arrive d’Ebolowa, porteur d’une lettre pour le Père Agustin.

Vers 12h 15, débarquent à leur tour, Emile et Davy, tous deux postulants à Mikomeseng. Davy doit prévoir son billet pour le Congo. Nous irons demain matin faire les démarches nécessaires à la Procure.

Tard dans la soirée, Miguel téléphone que José Antonio n’a pas eu d’avion. Il arrivera sans doute demain.


Jeudi 8 août 02

Très exact comme annoncé, le Père Guy Ollivry arrive à Nsimalen vers 5h 45 du matin. Courageusement, José Miguel, jeune nouveau curé de Mimboman n’a écouté que sa générosité pour venir à Mvog Ada chercher José Antonio Vega et partir tous deux vers l’aéroport dans les premières clartés encore blafardes de l’aube. Le Père Guy n’a pas toujours eu du beau temps dans la « Ville Lumière », mais il restera dans l’Histoire de la Province comme « le confrère de l’ATE » qui aura vu le premier et longuement le nouveau Recteur Majeur « en stage de langue française » à Paris.


Vendredi 9 août 02

Un peu avant 15h 00, le Bulletin salésien N° 2 est livré par l’Imprimerie St Paul. Leurs équipes ont réalisé la parution avec quatre jours d’avance. Il est bon de voir des ouvrières et des travailleurs heureux d’un travail bien fait. Des petits gâteaux d’amitié sont évidemment appréciés par tous. Des possibilités de « faire esprit de famille » existent un peu partout. Don Bosco reste notre Maître pour savoir les découvrir. Le Père Guy et Serge viennent volontiers aider Jean-Baptiste à réceptionner ce nouvel « instrument » d’évangélisation.

En soirée, le Père Miguel est de retour de la retraite prêchée aux sœurs de Don Variara, à Bini, sur les plages de Malabo. Il ramène avec lui de Bata, Rémy Ngomo Ngomo et de Oyem, les Pères Roy Fosker et Luis Javier Sanchez. Bienvenue à tous !


Mardi 13 août 2002

Benoît Nzié rentre de la retraite qu’il vient de prêcher aux salésiens du Nigéria. Il garde le souvenir du gigantisme démesuré de la ville de Lagos. Il a rencontré aussi là-bas des confrères du Ghana et de la Sierra Leone. Des souvenirs plein le cœur et plein la tête, et d‘innombrables questions.

Jean Baptiste BERAUD

5.2 CONGO BRAZZAVILLE 

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6 Ferveur, recueillement, spectacles et concerts

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7 Différents événements ont marqué la marche des communautés paroissiales de Pointe-Noire et de Brazzaville.

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8 Le samedi 11 mai 2002, à Brazzaville, se déroule sur la place mariale de la Cathédrale, une messe à l’occasion du 22e anniversaire de la venue du Pape Jean-Paul II dans cette ville le 5 mai 1980. Il faut souhaiter que cette fois son message de paix soit entendu.

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9 Du vendredi 17 mai au dimanche 19 mai le Forum archidiocésain des Jeunes réalise à Pointe-Noire, un vaste rassemblement en union avec les JMJ de Toronto.

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10 A St Charles Lwanga, en préparation au 40e anniversaire de la paroisse, le rosaire est organisé à la grotte de la Vierge, du 1er au 31 mai. Le 40e anniversaire débute par des activités sportives et culturelles. Les chorales protestantes, salutistes, catholiques et celle du Christ-Roi donnent de très beaux concerts religieux. Des séances théâtrales se taillent un grand succès. Le 12 mai, est présentée la « République de Platon et le 31 mai la « Vie de Charles Lwanga et de ses compagnons Le 25 mai, l’abbé Fortuné Sindza donne une Conférence-débat.

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Le dimanche 19 mai a lieu la confirmation.

Dans le cadre paroissial, un atelier est ouvert les mardis et jeudis « d’imprégnation de moustiquaires » pour participer à la lutte contre le paludisme. Des consultations ophtalmologiques ont lieu régulièrement pour les gens du quartier.

Max Innocent ROCHEZ


11 ITALIE ROME

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11.1

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11.1.1 Jeune prêtre à l’UPS

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12 Benoît Nzié a passé plusieurs jours en juillet à la Maison Provinciale de Yaoundé. Il a eu le temps de nous expliquer sa vie à Rome depuis deux ans. Interview.

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13 Benoît, comment est organisé ce grand ensemble de l’UPS 

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14 L’UPS comprend six communautés salésiennes. Je suis dans celle de Don Rua . Nous y sommes 62 confrères dont quatre formateurs, ainsi que le Directeur, le Vicaire et l’Econome. Tous les continents sont représentés dans notre communauté, sauf l’Amérique du Nord. Les Latino américains sont présents. Nous sommes quatre d’Afrique. Les asiatiques sont les plus nombreux, avec des représentants de la Corée, du Vietnam, du Japon, de l’Inde. Il y a des européens de l’Italie, de l’Espagne, de la Pologne, du Portugal, de la Slovénie, de la Roumanie, de l’Ukraine, de la République tchèque.

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15 Quels enseignements propose l’UPS 

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L’UPS comprend trois grandes Facultés : Théologie, Sciences de l’Education, Sciences de la Communication. Elle couvre également tous les départements de Philosophie.

Au sein de ces Facultés, l’UPS s’est spécialisée aussi sur certaines orientations. La Faculté de Théologie enseigne la Pastorale des Jeunes, l’Evangélisation, la Catéchèse, le Droit Canon.

L’ambiance te paraît-elle sympathique ?

Elle est très sympathique. On est aux sources. Tous les aspects de la vie de famille salésienne sont particulièrement soignés. Nous avons des classes de chant toujours intéressantes. Le jeudi est le jour de la communauté. L’Eucharistie ce jour-là est en soirée. Le repas est amélioré. Chaque mois est animé par une retraite. Les samedis et dimanches, nous sommes tous dispersés dans des centres. Il y a beaucoup de demandes dans les oeuvres salésiennes et sur les paroisses de Rome. Et puis, par exemple, nous avons eu cette année, les événements du CG 25, de la Béatification de la sœur salésienne Maria Romero, des salésiens Luigi Variara et Artemides Zatti. Ce sont des moments de participation intense. Nos communautés sont de vraies familles.

Et puis, quand tu es déjà jeune prêtre, que tu retournes aux études, tu te retrouves comme en formation initiale. On se replonge dans cette vie religieuse et familiale. Le rythme a changé. Mais il y a un épanouissement dans le fait de se retrouver tous ensemble L’ambiance est bonne.

De leur côté, les étudiants ont leurs locaux. Ils ont leurs groupes de liturgie, de pastorale, d’animation sportive. C’est une œuvre salésienne complète.

Les dates des grandes fêtes jalonnent notre calendrier. Le 31 janvier est l’occasion de recevoir tous les bienfaiteurs. Le 24 mai est la Fête de toute la maison. Tous les jeunes étudiants laïcs de l’Université sont invités. Un repas rassemble tout le monde et un programme festif donne à chacun la possibilité de partager son amitié et la joie de ses dons artistiques.

Recueilli par JB BERAUD

16 Tchad – N’Djamena

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UN EVENEMENT : LE FORUM DIOCESAIN DES JEUNES


Le 2 juin 2002, fête du Très Saint Sacrement, la jeunesse catholique de l’archidiocèse de N’Djamena a vécu un grand moment de joie, de prière, de partage d’expériences et de rencontre avec son pasteur, son Excellence Mgr Charles Vandame, archevêque de N’Djamena.


L’objectif de cette rencontre, est de favoriser le dialogue entre les jeunes des mouvements d’action catholique et les différentes coordinations paroissiales, de définir ensemble les grandes lignes d’une pastorale de jeunes.

Pendant toute l’année 2002, la commission diocésaine a accueilli, écouté, discuté et recueilli les différentes propositions de tous les groupes. Chaque mouvement a présenté son identité et sa mission d’Eglise, en prélude au grand rassemblement national des mouvements qui devait avoir lieu cette même année. Mais les autres diocèses n’ayant pas eu assez de temps pour s’organiser et participer à ce forum, celui de N’Djamena a donc jugé bon de commencer par organiser un mini forum diocésain, à sa taille.


Une vaste rencontre de jeunes

Environ 600 jeunes sont présents, venus des coordinations paroissiales, des centres de jeunes, des collèges catholiques… Une forte délégation arrive de Bailli-Bousso, paroisse située à plus de 350 km de N’Djamena. Chaque délégué porte un badge qui facilite son identification par rapport à son mouvement ou à son groupe d’appartenance.

Après les présentations des groupes, animées par les chants de la grande et belle chorale saint Paul de la paroisse de Kabalaye, chaque mouvement précise son identité, ses particularités, sa mission dans l’Eglise, ses activités, ses peines et ses joies, le tout se soldant toujours par un chapelet de doléances adressées à la commission diocésaine.

Un spectacle de sketchs, d’humour et de poèmes clôture dans la joie cette première partie.


La visite du Pasteur

Vers 11h 00, arrive Mgr Charles Vandame, ovationné par les jeunes. Il revient de la paroisse de Chagoua où il a administré le sacrement de la confirmation à plus de 180 fidèles. Les jeunes sont fiers d’accueillir leur pasteur. Touché par cet accueil, Mgr les encourage à se sentir solidaires et responsables de leur église et de leur société. Il les invite à rester fermes dans leur foi et à ne pas perdre l’espérance. Il leur rappelle qu’ils sont l’avenir de l’Eglise du Tchad et du monde entier. Il raconte aux jeunes sa propre expérience vocationnelle et les difficultés rencontrées depuis sa jeunesse, jusqu’au don total de sa vie pour le Christ et son Royaume. Les jeunes en sont édifiés, et motivés.

Ils ont préparé une surprise pour leur archevêque. Un gâteau d’anniversaire surmonté de sept bougies, lui est remis, à l’occasion de son 74ème anniversaire. Les jeunes lui chantent leur affection, et leur sympathie. L’évêque, visiblement heureux partage encore un instant cette fête, puis se retire.

Le pique-nique se déroule, puis l’eucharistie est célébrée vers 16h, présidée par le Père Rémy Ngomo Ngomo, aumônier diocésain des jeunes, entouré de trois autres prêtres, les abbés Marco, Francesco et Jean Djikota.

La rencontre se termine. Chacun rejoint sa paroisse, sa famille, pour témoigner avec joie, de ce qu’il a vécu pendant cette journée, au centre catholique universitaire.


Rémy NGOMO NGOMO

17 Tchad – N’Djamena

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Paroisse Emmanuel d’Abena : une pastorale de jeunes rénovée


Commencée en 1999, avec l’arrivée du Père Rémy Ngomo Ngomo, l’organisation de la pastorale de jeunes dans notre paroisse Emmanuel d’Abena connaît en ce moment, un essor réconfortant.


Après trois ans de cheminement, les jeunes de la paroisse Emmanuel d’Abena ne cessent de faire preuve de maturité progressive dans l’esprit de la Pastorale des jeunes. Après une première assemblée générale et un bureau exécutif de coordination mis sur pied en janvier 2000, ces jeunes viennent de procéder à la révision générale de leurs statuts et à la rénovation totale de leur assemblée générale, laquelle vient de siéger en session ordinaire le 2 avril 2002 et extraordinaire le 18 avril 2002. Ils ont approuvé le Directoire et élu le nouveau bureau.


Nouvelle assemblée et nouveau bureau

La première assemblée conçue en l’an 2000 était constituée de 86 délégués mandatés par les mouvements d’action catholique, les communautés ecclésiales de base et autres services paroissiaux de jeunes (servants de messe, chorale francophone …). Elle avait élu un bureau de coordination de 15 membres.

L’actuelle assemblée compte 96 membres et vient d’élire son nouveau bureau exécutif réduit à 8 membres, qu’assisteront désormais deux conseillers pris parmi les adultes de la paroisse : Monsieur Tchobsala Clément, professeur des Lycées et responsable de la communauté Notre Dame, et Mme Félicité, accompagnatrice des jeunes filles de la paroisse. Toute l’équipe est soutenue et guidée par le Père Rémy, aumônier paroissial des jeunes.


Des jeunes conscients de leur responsabilité

Dans le nouveau bureau exécutif de coordination, on retrouve l’ancien coordinateur, Patrice Djékosgadjimbaye, toujours dynamique. Bien d’autres anciens sont revenus : Clément Daïdokna devient secrétaire général en remplacement de Marc Guedbigué ; Prosper Gassinta fait son entrée pour le poste de SGA. Sabala Edmond prend le poste de trésorier général ; Constant Nadjingar Palmian devient le chargé des affaires culturelles et sportives, alors que Innocent Daïdoum prend le poste de chargé de la liturgie. Barthélémy (CEB Notre Dame) devient intendant général et enfin, Donon Ngarnassem embrasse le poste de commissaire aux comptes.

Le nouveau bureau entend donner le meilleur de lui-même pour que les objectifs fixés par l’assemblée générale soient progressivement atteints.

Rémy NGOMO NGOMO



TOGO – GBODJOME

Sessions, fêtes, olympiades, un noviciat riche en activités


Tout doucement, nous amorçons le dernier virage du noviciat, et notre formation se poursuit. Du 1er au 5 avril 2002, nous avons eu la deuxième et dernière partie de la session PRH « Mon affectivité ». Ces journées très riches nous ont permis de découvrir les multiples facettes de l’homme.


Une autre session sur « Vie religieuse et sexualité » vient de se dérouler du 29 avril au 3 mai 2002. Animée par sœur Maria, FMA, cette rencontre nous a favorisés elle aussi pour mieux nous connaître, et mieux comprendre aussi la jeune fille et la femme. Religieux, nous sommes tous appelés en effet à collaborer avec elles et de bien des façons, personnes consacrées ou laïques Lorsqu’on se connaît mieux soi-même et lorsqu’on connaît mieux l’autre, on vit mieux.


Fêtes d’enfants et découvertes spirituelles

Festivités et activités pastorales ont souligné la Fête de Pâques. Puis ce fut Marie auxiliatrice. Placées sous le signe de « Avec Marie, Fraternité et Joie », nous avons organisé des « Olympiades ». Elles ont réuni les enfants et les jeunes des neuf villages de la paroisse. Médailles et autres prix ont été remis aux gagnants par le Père Miguel Olaverri, Provincial de l’ATE et par son Vicaire, le Père Germain Lagger. Tous deux étaient venus à Lomé pour le « Curatorium » qui se tenait les 27 et 28 mai 2002.

Durant ces dernières semaines, a eu lieu également la première retraite des Confrères de l’AFO suivie de la réunion des Directeurs de Communauté puis du Conseil Provincial.

Le tout s’est poursuivi par la Fête Provinciale avec la participation des novices, des post-novices et de plusieurs confrères des différentes Maisons. Dans une belle ambiance de joie et de partage fraternel, le Père Lluis Oliveras donne ses impressions sur le CG 25, tandis que son Vicaire, le Père César présente des diapositives sur les travaux des commissions. Il demande ensuite aux participants d’assimiler le précieux contenu du CG.

Eynem MAGUERGUE, novice

TOGO : LOME

A la Maison Don Bosco, une « Première »


Il s’agit de la « Première soutenance de Mémoire » au scolasticat salésien de Lomé, au cours de la session de juin 2002. Nous publions de larges extraits de son texte.


Albert Mbedi, du Congo, nous écrit en juin 2002 : « Au terme de ma formation en cycle de Philosophie, il est prévu que je soutienne un mémoire d’environ 50 pages. A la fin de cette année scolaire, à partir du 25 juin, commenceront les différentes soutenances en public devant un jury composé de deux professeurs dont le Directeur du Mémoire. Je fais partie de la promotion qui va soutenir pour la première fois le Mémoire dans l’Institut.

Arrivé presque à la fin de mon travail, je veux partager cette expérience avec les lecteurs de « ate – media ». Je vous fais part de la motivation qui m’a poussé à choisir le thème du « mariage dans la coutume congolaise, avec son impact auprès des jeunes aujourd’hui. »

Ils ont leurs goûts et leurs exigences et nous avons, comme pasteurs à dialoguer avec eux. Je me sens aussi poussé à partager cette réflexion avec vous par ce que je viens de lire dans les trois brochures publiées par la Pastorale des Jeunes à Yaoundé, pour la campagne de sensibilisation à la maladie du Sida.


Mariage coutumier et mariage chrétien

Le présent thème sur le « Mariage coutumier et le mariage chrétien au Congo », traité dans la perspective de l’anthropologie « chrétienne » des Laris de la région du Pool, nous inscrit dans l’une des directives que notre engagement pastoral doit prendre au milieu des gens du peuple, auxquels nous sommes envoyés.

Je réalise ce travail loin de toute solidarité d’ « ethnicité ». J’ai voulu montrer les aspects traditionnels qui sont susceptibles d’être incorporés dans la liturgie chrétienne du mariage de l’Eglise locale. Il est bien entendu que pour ouvrir les Congolais à l’action bénéfique de l’Eglise, j’ai cru utile et nécessaire de me pencher aussi sur leur vie sociale et familiale.



Paroles d’Eglise

Différents appels de l’Eglise invitent à la réflexion et à l’engagement : « L’affection, la joie, le bonheur et la paix apportés par le mariage chrétien et la fidélité, ainsi que la sécurité que donne la chasteté, doivent être continuellement présentés aux fidèles, spécialement aux jeunes. » ( Ecclesia in Africa )

« Je voudrais ajouter, pour les responsables des Instituts de vie consacrée, une exhortation plus pressante à bien vouloir considérer l’apostolat au service des familles comme une de leurs tâches prioritaires, rendue plus urgente par la situation présente. » ( Jean-Paul II dans Familiaris Consortio)


L’action et l’apostolat des Coopérateurs salésiens, est à encourager dans l’accompagnement et la préparation au mariage chrétien.


Albert MBEDI- BANZOUZI, salésien étudiant




ILS NOUS ONT PRECEDE DANS LA MAISON DU PERE


La maman de Christophe Ukundayezu  


Le vendredi 19 juillet 2002, un message de Christophe nous apprend le décès de la chère maman : « Elle est décédée la semaine passée », puis un second envoi le 21 juillet nous donne quelques précisions :  «  Je compte beaucoup sur vos prières pour le repos de
son âme. Elle est partie sans revoir ses enfants, puisque nous avons tous dû partir à l’extérieur depuis des années. Elle est décédée d’un cancer aux intestins. Dès mon retour d’Irlande, j’irai en Belgique pour être au moins quelques jours avec mes sœurs ».

Merci, Christophe, de ce partage qui nous aide à mieux comprendre la peine de tant de réfugiés à travers le monde.


La Supérieure Générale des « Filles des Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie »


Le jeudi 1 août 2002, nous apprenions son décès brutal au cours d’un violent accident de circulation à Caracas, capitale du Venezuela. Le 14 avril dernier, sur la Place st Pierre de Rome, sœur Rosa, fêtait joyeuse, avec ses sœurs venues de partout, et avec tous les salésiens du CG 25, la béatification du Père Luigi Variara, fondateur de sa Congrégation. Au moment où ses sœurs s’apprêtent à s’installer à Yaoundé, nous nous associons à toutes les prières de ses chères communautés.


Le papa du Père Pablo Labrado, Econome de Bata.


C’est le vendredi 2 août 2002, que nous apprenions son décès.

Pablo, nous te disons ici toute notre affection fraternelle, bien unis à ta peine de n’avoir pu arriver à temps pour les obsèques du cher papa. Que ces quelques lignes assurent tous les membres de ta famille de notre prière fervente et de notre présence fraternelle auprès de chacun d’entre eux.






EN BREF


Mgr Jean Pierre Tafunga, sdb,

jusqu’à présent Evêque de Kilwa-Kasenga ( RDC ) a été nommé le 10 juin 2002 Evêque d’Uvira ( RDC )

17.1 Le Père Luis Antonio Sanchez Armijos, sdb,

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Vicaire et économe de la Communauté du post-noviciat de Quito (Equateur) et professeur à la Faculté des sciences religieuses de l’Université polytechnique salésienne de Quito, a été nommé le 15 juin 2002, Evêque de Tulcàn ( Equateur )

Denis Soro a quitté Yaoundé

ce lundi 15 juillet 2002. Les Pères Agustin Hernandez et JB Beraud, seuls à ce moment dans la Communauté de la maison Provinciale l’ont tous deux accompagnés au bus pour Douala, d’où il prendra l’avion pour Abidjan. Après quatre années passées à Yaoundé, bonne chance à Sikasso.


Temps de vacances à Brazzaville 

Franck Malonga, rédacteur au journal paroissial « Pas à pas » nous signale le 18 juillet 2002 :

« L’activité pastorale est en ce moment au ralenti. Les Jeunes de St Charles Lwanga en profitent pour étudier la langue anglaise sur la paroisse. »


Délégation de Port Gentil

Vers 18h 00, le 15 août, arrivent à la Maison Provinciale, avec Alphonse Owoudou, sdb, la représentation de la Paroisse Ste Barbe de Port-Gentil pour les prochains vœux de sœur Philomène : Yolande Ossavou, Présidente de la Communauté paroissiale, Marius Jodio, sdb et Robinson, délégué des Mouvements de jeunes.


Les vœux de Sœur Philomène 

Ils se déroulent le samedi 17 août 2002. La paroisse rurale de Ombessa est en fête. Sœur

Nathalie Philomène s’engage définitivement chez les Filles de Marie Auxiliatrice. Eglise bondée. Joie de Mgr Athanase Bala de présider l’Eucharistie. Présence de salésiennes de toute la province de l’AFO autour de Sœur Vilma, Provinciale, et de son Conseil. Affluence nombreuse de salésiens avec le Père Miguel, Provincial, Grégoire Assiéné, délégué au CG 25, large représentation de La Maison Provinciale, de Mimboman et de Port-Gentil.


Nouveau Curé à Mimboman

Le dimanche 18 août 2002 a lieu à Mimboman la présentation du nouveau curé de Marie Auxiliatrice, le Père José Miguel Prieto. Le Père Miguel Olaverri, Provincial retrace pour l’assistance le parcours de leur « jeune pasteur » venu du Chili et déjà bien connu dans le secteur comme animateur de la Pastorale des Jeunes. Il remercie le Père Philippe Rossignol, rentré d’un bref séjour dans son pays natal et en partance vers d’autres fonctions au noviciat de Gbodjomé.


17.2 Le retour du Père Germain

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Le cœur et les yeux pleins de souvenir de l’ordination d’Artur Bartol à Lubin, en Pologne, le Père Germain Lagger est arrivé à la Maison provinciale, le dimanche soir 18 août.




Pour notre prochain numéro d’octobre 2002,

adressez-nous vos articles avant le 15 septembre 2002


Faites–les parvenir à Jean-Baptiste Beraud,

Maison Don Bosco, BP 16 07 Yaoundé

ou à ans.yde@refinedct.net

Utiliser l’adresse électronique, c’est nous faciliter notre travail.






Bon Anniversaire :


Septembre

le1 Armando Brionesle16Marius Jiodio

le5Raymond Gilletle20Luis Javier Sanchez

le7Jean Pierre Dutelle21Maurice Gouhouede

le15André Ela Enam












@te.media


Direction : Miguel Olaverri

Salésiens de « Don Bosco »Administration : Agustin Hernandez

Maison ProvincialeRédaction : Jean Baptiste Beraud

B.P. 1607 Tél. :(237) 2.22.22.39

YAOUNDE (Cameroun)Edition espagnole : José Antonio Vega

Diffusion – Secrétariat : Guy Ollivry



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