AIMER L’AFRIQUE |
N° 23 – mars 2002
Vice-Province Salésienne "Notre Dame d'Afrique"
Afrique Tropicale - Equatoriale
B.P. 1607 - Yaoundé – Cameroun
Tél. (237) 2.22.22.21 Fax : (237) 2.22.22.51. E-mail :< ans.yde@refinedct.net >
EDITORIAL
« L’ Afrique d’aujourd’hui a un besoin urgent de paix. Elle a besoin du soutien résolu de la communauté internationale… »
L’homme qui parle ainsi s’adresse à l’Assemblée plénière des Nations Unies à New-York. Nous sommes le 4 décembre 2001. Devant un parterre de chefs d’état et des plus hauts diplomates du monde, une fois de plus l’Eglise parle. Observateur permanent du Saint Siège auprès de cet organisme international, Mgr Renato Martino précise sa pensée : « L’Afrique a besoin du soutien résolu de la communauté internationale non seulement pour faire cesser les guerres en cours, mais aussi pour combattre les causes profondes des conflits… »
Les causes profondes des conflits
Quelles sont-elles donc, ces causes profondes ? Déjà Paul VI avait répondu, il y a plus de 30 ans, dans son Encyclique « Populorum progressio » : « Le développement est le nouveau nom de la Paix ». Et Jean-Paul II n’a cessé de marteler : « Il n’y a pas de paix véritable si elle ne s’accompagne pas d’équité, de vérité, de justice et de solidarité »
Ces conditions de la paix doivent certes être vécues par les pays extérieurs qui perpétuent de diverses façons des systèmes injustes d’échanges économiques, mais « équité, vérité, justice et solidarité » doivent être aussi la recherche constante des peuples africains. A cet égard, Mgr Renato Martino en appelle à une sorte de partenariat auquel les gouvernements ne pensent pas nécessairement. Il évoque auprès des Etats qui travaillent parfois à restaurer les « relations sociales brisées » dans des régions africaines durement éprouvées par des guerres ou des génocides, que « les communautés religieuses ont joué et jouent un rôle de premier plan en tant qu’éveilleurs de conscience, agents et lieux de réconciliation… »
Religieux à l’action
Depuis le Synode Africain un peu partout en effet se sont multipliés des groupes « Justice et Paix ». Dans des pays « à risques », les gens acceptent de parler, de sortir dans la rue. Des Communautés chrétiennes de base découvrent dans la Bible les paroles qui les poussent à transformer leurs conditions de vie et à rappeler à leurs dirigeants la valeur de chaque personne humaine.
Cette livraison N°23 de « @te.media » révèle l’une ou l’autre de ces manifestations. Les Fils de Don Bosco sont présents aussi sur ces chantiers. A Port-Gentil, les « Communautés de base » ne sont plus seulement « pour les autres paroisses ». Si « Justice et Paix » agit dans les prisons d’Ebolowa, jusqu’à obtenir que les « mineurs » soient scolarisés, c’est à M. le Préfet qu’il revient sympathiquement d’en remercier l’Eglise locale et les salésiens. Mgr Renato Martino ne rappelait-il pas aux Chefs d’Etat : « Les communautés religieuses sont en première ligne dans la défense des laissés pour compte. »
Le Fondateur des salésiens aimait leur dire : « Il ne faut pas seulement aimer un jeune. Il faut qu’il se sente aimé. »
Par la Communauté Internationale, et par ses propres habitants, l’Afrique n’a pas seulement besoin d’être aimée. Il faut qu’elle se sente aimée.
Jean–Baptiste BERAUD, sdb
|
2 Dans l’idée de compléter auprès de chaque communauté le texte paru dans notre N° 22 de février 2002, nous reproduisons ici l’article de l’Osservatore Romano. |
▲back to top |
3 ( Ed française du 5 février 2002 ) |
▲back to top |
Don Juan Edmundo Vecchi, Recteur majeur de la Société salésienne de Saint Jean Bosco, est décédé le 23 janvier 2002. Né le 23 juin 1931 à Viedma ( Argentine ), il avait prononcé ses premiers vœux dans la Société salésienne le 29 janvier 1947 et avait été ordonné prêtre le 1er juillet 1958. Après avoir occupé des fonctions toujours plus importantes au sein de la Congrégation, s’occupant en particulier de la pastorale des jeunes, il fut nommé Vicaire du Recteur majeur, Don Egidio Vigano en 1990.
Il le remplaça à la tête de la Société lorsque celui-ci disparut le 23 juin 1995. Le 20 mars 1996, le XXIVe Chapitre général l’avait élu huitième successeur de Don Bosco.
4 A la nouvelle de sa mort, le Pape Jean-Paul II s’est recueilli en prière, et a envoyé le télégramme suivant au Vicaire général de la Société salésienne, le R.P. Luc Van Looy. |
▲back to top |
5 Voici le texte du télégramme du Saint-Père |
▲back to top |
« Ayant appris la douloureuse nouvelle de la pieuse disparition du Révérend Juan Edmundo Vecchi, Recteur majeur digne d’éloges de cette Congrégation, je désire vous exprimer, ainsi qu’à toute la Famille salésienne, mes plus vives condoléances. Je rappelle de ce zélé ministre de l’Evangile, sa fidélité intègre au Christ et à l’Eglise, ainsi qu’un généreux engagement en exerçant sa propre charge, dans un esprit de service, pour le bien de l’Eglise. Alors que je prends part à la douleur commune, j’élève de ferventes prières d’intention en invoquant de la Bonté divine la paix éternelle pour son âme. Spirituellement présent au rite de ses obsèques, je vous donne de tout cœur, ainsi qu’à vos confrères et à ceux qui partagent votre souffrance pour ce grave deuil, la réconfortante Bénédiction apostolique.
JOANNES PAULUS PP.II
6 INCIDENTS DANS N'DJAMENA! |
▲back to top |
7 Du mardi 5 février au jeudi 7 février 2002, |
▲back to top |
8 Un certain nombre d’incidents ont marqué la capitale du Tchad. Une série d’incompréhensions ont suscité des problèmes momentanés entre tchadiens et résidents camerounais. Chacun de nos lecteurs a pu en entendre parler par des émissions de radio et par la presse. La petite communauté salésienne présente dans la ville a eu aussi à vivre ces événements au sein de la population. |
▲back to top |
Sans gravité, telle ou telle sortie en voiture n’a pas été de tout repos. Mais l’équipe salésienne a su raisonner les esprits et travailler avec tant d’autres, pour le retour au calme.
Dès le mercredi 6 février,
Le
Père Rémy Ngomo peut nous transmettre :
« La
situation se normalise a N'djamena ! Le ministre tchadien de
l'éducation nationale a tenu une réunion avec les chefs
d'établissements et les chefs de classes; les cours reprendront dans
les lycées dès demain… »
Et
le jeudi 7 février,
il
nous écrit :
Chers confrères et chers amis,
Merci pour vos prières qui, c'est sûr, ont contribué à l'apaisement de la situation dans notre métropole, après quatre jours d'effervescence. Cela nous a permis de repérer les défis à relever dans l'éducation et la formation de la conscience de ceux à qui nous nous adressons dans N'Djamena.
Ils se sont trouvés soudain comme des brebis sans bergers. Nous avons la lourde mission de planter, d'arroser, de faire germer des graines de paix, d'amour, et celles du savoir, dans ce monde juvénile abandonné à ses instincts et trop souvent manipulé. Demain, d’autres viendront moissonner dans la joie ! …
Depuis ce matin, la ville est calme, les activités reprennent peu à peu dans les quartiers et dans les centres administratifs et commerciaux. Les élèves sont repartis à l'école, après leur rencontre avec leur ministre de tutelle…
Tout est bien qui commence mal et s'achève bien. Dès demain vendredi, je vais renouer avec mes élèves du Lycée du Sacré Cœur où je suis à la fois aumônier du second cycle et professeur des classes terminales.
Je vous embrasse tous !
Rémy NGOMO NGOMO, Sdb - N'Djamena – ( Tchad )
CAMEROUN - EBOLOWA
9 Les jeunes fêtent Don Bosco |
▲back to top |
Une session de formation a regroupé, du 18 au 20 janvier 2002, au Centre catéchistique du diocèse, tous les responsables et animateurs de notre Centre, soit 45 jeunes. Il s’agissait non seulement d’évaluer les activités du premier trimestre, mais plus spécialement d’étudier les préparatifs de la Saint Jean Bosco, patron et fondateur des salésiens.
Cette session se déroule dans une ambiance généreuse, marquée d’un fort désir d’une belle réussite.
Les célébrations sont prévues sur les deux espaces de la paroisse ND de Fatima, et du Centre professionnel.
Le 30 janvier débute un championnat intergroupes de jeunes dans toutes les disciplines sportives. Football, et handball sont à l’honneur. Dans le cœur des jeunes, rayonne la joie voulue par Don Bosco : « Dans la joie, allez de l’avant. Jouez, dansez, faites tous ce que vous voulez, mais ne péchez pas ! »
Le lendemain 31 janvier commence un triduum, avec projection de diapositives sur la vie du Saint. La présentation est animée et dirigée par nous, sous la coordination du Père responsable de la pastorale des jeunes sur notre paroisse. Jeunes et enfants sont émerveillés devant ces images qui jouent de toutes leurs couleurs sur la toile blanche.
Le samedi, de grand matin à 6h 00, les jeunes arrivent en masse pour les multiples travaux nécessaires avant la fête: nettoyage, défrichage, préparation des tenues des chorales, des enfants de chœur, coupe des grandes palmes.
Dans la soirée, un grand concert de musique religieuse regroupe dix chorales de jeunes de la cité. Les paroissiens, les jeunes, et les spectateurs venus de tous les horizons sont ravis d’une ambiance musicale qui se poursuit jusqu’à 1h 00 du matin.
La fête ne laisse pas indifférents les responsables et catéchistes des chapelles des villages environnants que desservent les salésiens. Quarante – trois communautés chrétiennes se rendent ainsi à la ville pour une retraite spirituelle de trois jours. Le jour de la fête, au milieu des jeunes, ces villageois se sentent renouvelés : « Nous sommes jeunes avec les jeunes » disent-ils.
Le dernier jour, dimanche 3 février, la fête prend toute son ampleur. Très tôt le matin, les jeunes de la paroisse, réapparaissent pour assurer le bon déroulement de la messe. Elle débute à 8h 30, avec plus de participants que jamais. L’homélie du Père Emmanuel nous exhorte à prendre nos responsabilités de jeunes, à être bergers à notre niveau au sein de nos groupes à l’exemple du jeune Jean Bosco, à agir à l’école, dans les quartiers, face à la maladie du siècle.
Après la messe, les jeux s’organisent : match des incollables, corde du bandit, jeux des bougies, des bonbons, du miroir. Une masse d’enfants et de jeunes participe. Vers 13h 00, les salésiens invitent au repas les jeunes responsables et catéchistes venus des villages. Leur joie et leurs danses alternent avec les plats copieux et les boissons qu’on leur sert.
A 15h 00, débute la finale du match. Le Centre des jeunes affronte le Centre professionnel. Un banquet géant clôture en soirée ces journées inoubliables.
Don Bosco à Ebolowa ! C’est un grand souvenir qui restera ! Le petit berger des Becchi a visité ce jour-là de beaux pays dont il rêva !
FRANCIS MVONDO, du Centre des jeunes Don Bosco à Ebolowa
EBOLOWA
10 La Saint Jean Bosco chez les Enseignants |
▲back to top |
La traditionnelle fête de Don Bosco n’a pas été à Ebolowa que l’affaire des paroisses ou des « oratoires ». Elle a été aussi celle du corps enseignant.
Jeudi matin comme d’habitude, après le rassemblement, les élèves et leurs maîtres rejoignent respectivement les salles de classes pour leurs cours jusqu’à 9h 00. A ce moment, résonne la sirène de l’établissement. Les élèves de l’école catholique Don Bosco peuvent sortir. Le frère Matthieu les accompagne à l’école catholique « Père Paul », pour un match de football. La partie se termine au profit des élèves de l’école catholique Don Bosco, et tout le monde se dirige vers les beignets. Joyeux d’une telle ambiance, tous rentrent chez eux.
Pendant ce temps, les maîtres sont invités à une conférence du Père Alcide Baggio, sur la nouvelle approche de la pédagogie de Don Bosco : « Nous ne sommes plus à l’époque coloniale, déclare-t-il, où les enfants n’étaient que des consommateurs de savoir. Ils récitaient comme des perroquets, sans même comprendre ce que disait leur maître, et sans participer. Les enfants doivent être au centre de notre action pédagogique. Ils doivent pouvoir réfléchir, chercher, se sentir libres de s’exprimer. Vous devez toujours demander aux enfants s’ils ont bien compris leur leçon.
Les châtiments corporels doivent être totalement éliminés. L’enfant n’est pas un tambour sur lequel on peut frapper à volonté. Il nous faut chercher d’autres moyens pour corriger les enfants. Le maître ne doit pas apparaître à l’élève comme « celui qui fait peur », mais comme un ami avec qui il est possible de dialoguer. Vous devez être toujours en collaboration avec les parents des enfants afin de les aider dans leur tâche éducative, et afin de savoir ce que souhaite le jeune après ses études, pour mieux l’orienter ».
Les enseignants réagissent à cette causerie, et posent des questions. Le Père essaye de répondre. Les maîtres ne sont pas tous d’accord sur la façon de corriger et sur le genre de punitions.
La conférence s’achève à 14h 00. Puis tous sont conviés au grand festin offert par le Père Valentino, curé de la paroisse. La joie, la gaieté et le bonheur sont de la partie. Les enseignants rencontrent Don Bosco.
EBOLOWA
Avec « Justice et Paix », Don Bosco revisite les prisons
Tous se souviennent des débuts apostoliques du jeune prêtre Jean Bosco dans la prison de Turin.
Ses religieux aujourd’hui gardent toujours ce souci. Deux journaux viennent de rendre hommage à l’effort constamment suivi depuis des années par la communauté salésienne d’Ebolowa.. Le quotidien « Cameroon Tribune » du 5 février 2002, et « l’Effort Camerounais » dans son n° 272 daté du 14 au 27 février 2002.
Dans «Cameroon Tribune », Mathieu Sa’a intitule son « papier » « La culture de la paix par la prière » et il l’illustre par une photo de la Commission locale Justice et Paix.. De son côté, « l’Effort » présente, sous la plume de Jean-Maurice Emmanuel Noah, coordinateur de la commission « Justice, Paix et Développement » du diocèse d’Ebolowa-Kribi :« Paroisse Notre Dame Don Bosco : Justice et Paix visite la prison d’Ebolowa.»
Quelques extraits de ces articles reflètent la valeur de l’action réalisée.
« Tout a commencé au Centre professionnel Don Bosco d’Ebolowa par une prière du Père Alcide Baggio… »
« La cérémonie de livraison officielle des chantiers initiés et réalisés à la prison provinciale d’Ebolowa, par le Comité « Justice et Paix » de la Paroisse Notre Dame de Fatima « Don Bosco »de Nko’ovos-Ebolowa a eu lieu le 22 décembre dernier en présence du Préfet du département de la Mvilla, Raphaël Ewek
Ces projets ont été réalisés avec le soutien de l’Association Italienne « Solidarietà nel Mondo ». Il s’agit de quatre ouvrages, à savoir : la construction de quatre quartiers destinés respectivement aux femmes, aux mineurs, aux malades, et à l’infirmerie…
Le régisseur de la prison M. Nono…, ainsi que le représentant des prisonniers, ont tenu à remercier le Père Valentino Favaro, curé de la Paroisse, et Mme Rosa Vettese, principaux initiateurs de ce vaste mouvement de modernisation du milieu carcéral d’Ebolowa…Mme Rosa Vettese est une volontaire italienne qui, pendant six mois, a assuré l’encadrement psychosocial affectif et médical des détenus en leur consacrant en moyenne six heures par jour, en plus de ses activités à la léproserie de Ngalane et au Centre des Jeunes « Don Bosco »… Le Préfet Raphaël Ewek a félicité l’action de l’Eglise catholique et le dynamisme de la communauté salésienne.
Le service paroissial « Justice et Paix »… se propose maintenant d’équiper la prison en lits, matelas, téléviseurs. Le lancement d'un projet éducatif à l'intention des mineurs et prisonniers en âge scolaire est également en chantier. »
Présenté par JB BERAUD
10.1 CAMEROUN YAOUNDE |
▲back to top |
Liesse à la Maison Provinciale
La fête de Saint Jean Bosco a eu le 31 Janvier dernier un cachet singulier à « Mvog –Ada », siège de la Province d’Afrique Tropicale Equatoriale.
La journée commence par une Eucharistie présidée par le Père José Antonio Véga. Dans son homélie il retrace quelques aspects de la vie du fondateur, sa disponibilité, sa sollicitude pour les jeunes pauvres et abandonnés.
A midi, la Communauté partage sa joie avec les curés et vicaires des paroisses dans lesquelles vont travailler les jeunes confrères en formation pendant les fins de semaine : Mvog –Mbi, Essos et Mvog-Ada. Il s’agit d’une grande « première ». L’intention est de renforcer les liens avec l’Eglise locale. Les trois paroisses ont répondu à notre invitation. Les conversations sont occasion d’échanges bénéfiques, et instaurent une confiance de proximité et d’amitié. Les jeunes confrères dispensent une note de gaieté et nos visiteurs sont visiblement heureux des animations et du répertoire varié des mélodies..
Durant le repas, notre confrère Roland Mintsa prononce au nom de la communauté des mots de bienvenue à l’endroit des invités. Tout en soulignant la qualité des efforts commencés, il exprime le désir de voir cette collaboration se renforcer au fil des années à venir. Pour permettre à nos hôtes d’avoir des idées assez nettes sur Don Bosco, une biographie du saint leur est remise.
A son tour, le Père curé de Saint Jean d’Essos, Nicolas Essomba prend la parole sur un ton plein d’humour. Il exprime sa joie et il rappelle en souriant qu‘il est le Vicaire Episcopal de notre zone, donc le représentant de notre Archevêque Mgr André Wouking. Il exhorte volontiers les salésiens présents à multiplier des occasions qui puissent permettre de réels échanges capables de renforcer cet esprit de collaboration avec l’Eglise locale. Puis, malicieusement il lance : « N’attendez pas maintenant le prochain 31 Janvier. C’est trop loin ! Inventez, trouvez un moyen pour que nous nous retrouvions plus fréquemment ensemble ».
Après le repas certains prennent le temps de faire le tour de la maison, accompagnés des confrères.
Cette fête de Don Bosco a vraiment permis une communion des cœurs entre tous. La communauté introduit ainsi une manière de faire qui vaut la peine d’être conservée et encouragée. N’y a-t-il pas là une tradition à adopter pour notre congrégation au Cameroun?
Roland MINTSA, étudiant en première année de théologie
11 CAMEROUN – MIMBOMAN |
▲back to top |
« Portes ouvertes » pour le Centre Professionnel
Le vendredi 8 février 2002, exactement à 15h 00, comme prévu, les stands sont prêts et les équipes accueillent. Menuiserie – ébénisterie, Industrie de l’habillement, Ferronnerie, Menuiserie métallique, Formation en bureautique, Bibliothèque technique, tout est en place, et des guides vous expliquent.
M. Jörg Peuschel, assistant technique de l’organisme allemand de coopération qui collabore avec le Centre de Formation Professionnelle Don Bosco, salue les invités. Parmi les premiers arrivés, le Directeur de cette ONG pour l’ensemble du Cameroun, accompagné de sa famille. Déjà quelques personnes du quartier voisin, des anciens de l’école. Tout l’après-midi, des mamans viennent accompagnant petits garçons, petites filles, heureux de rencontrer beaucoup de monde dans cette atmosphère de « kermesse ».
Les cinq groupements d’intérêts communautaires exposent leurs meilleurs « chefs d’œuvres ».
Les deux coopératives des menuisiers, celle des femmes éleveurs, celle des couturières de tissus imprimés, et celle des métalliers rivalisent d’originalité dans leur présentation. Ces associations assurent un programme d’insertion professionnelle des apprentis de 4eme année. L’animation est prise en charge par l’organisme allemand de coopération.
Responsable également de la Cité des Jeunes et de la Paroisse Marie – Auxiliatrice, la Communauté salésienne rayonne ainsi sa vaste action par les nombreux laïcs qu’elle a su regrouper.
Jean Baptiste BERAUD
CENTRAFRIQUE – BANGUI GALABADJA
12 A Noël, soixante enfants reçoivent le baptême |
▲back to top |
Les jeunes danseuses,gracieuses dans leurs uniformes colorés et leurs coiffures traditionnelles précèdent la longue procession des servants de messe, des lecteurs et des prêtres. La foule emplit l’église.
Le Père Albert Vanbuel rappelle le sens de Noël, à la fois grande fête et naissance d’un tout petit. Ceux qui sont venus rendre visite à l’enfant couché dans la crèche ne sont pas des « Kota Zo », c’est-à-dire de grandes personnalités mais de pauvres bergers. Cet enfant apporte la paix. Le Père Albert invite l’assemblée à prendre un temps devant la crèche comme les bergers. Noël est d’abord une Fête de la Foi.
Après l’homélie, le Père Albert et le Père Léopold Fanze procèdent au sacrement de baptême des soixante enfants. Dimanche prochain, il y en aura cinquante-cinq autres.
Les danseuses reprennent leur marche vers l’autel, cette fois les bras chargés d’offrandes : bananes, papayes, et autres fruits débarquent de tous les horizons comme hier les apports des bergers et des mages. C’est Noël à Bangui.
13 Une récollection pour clôturer l’année |
▲back to top |
Le samedi 29 décembre 2001 a été marqué par une récollection d’aspirants salésiens au Centre Professionnel de Damala. Quinze personnes participent. Parmi eux, treize jeunes aspirants dont deux filles. Un prêtre et un pré novice animent la journée.
Le thème choisi est « Maîtrise de soi ». Un sous-thème précise : « Connaissance de soi. Qui suis-je ? » Trois parties vont répartir l’horaire.Le Père Albert traite le premier sujet : « Aimer ». Il s’appuie sur St Luc, 10, 25-37. Aimer Dieu, faire sa volonté et aimer son prochain.
Il revient à Sébastien, pré novice, de guider ensuite la réflexion sur « Le combat spirituel » et « se maîtriser ». S’il faut lutter contre tout ce qui empêche le chrétien de faire la volonté de Dieu, il n’y a pas à avoir peur d’être tombé. Le Christ est bien tombé trois fois en portant sa croix. L’homme est fils de Dieu. La maîtrise de soi demande de la volonté. Il faut développer en nous des forces pour y arriver.
Les forces physiques agissent contre la paresse. Les forces intellectuelles enrichissent la personnalité. Les forces morales et affectives agissent sur « l’Etre » au détriment de « l’Avoir ». « L’Etre » développe en nous « Service, Vérité, Pureté, Amour »
« Seul l’amour est capable de transformer l’ennemi en ami », déclarait Luther King.
Les aspirants ont participé généreusement aux échanges. Ils souhaitent que nous puissions renouveler de telles rencontres. Il y a encore beaucoup à découvrir.
Sébastien RAMADAN, postulant salésien
BANGUI DAMALA
14 Don Bosco à la « Une |
▲back to top |
Le 29 décembre 2001 les animateurs du Centre de Jeunes Don Bosco de Damala sont au rendez-vous pour l’organisation de la « Noël du Sport ». La sonorisation donne le ton, le programme est annoncé, les affiches parlent, les banderoles sont déployées. Sur l’une d’elles, chacun peut lire « Nous voulons la paix ». Ce sont les enfants du Centre qui l’ont rédigée.
Organisé par tout le réseau « Enfants de la rue » de Bangui et piloté par le Centre Don Bosco, les enfants des différents quartiers de Bangui sont présents pour des épreuves sportives dans une ambiance amicale.
La Presse est au rendez-vous et se fait l’écho de la Fête. La « Voix du Cœur », « l’orphelinat Sacré-Cœur », « Sacrambigazo » et les enfants se retrouvent autour du sport. Oui, « le sport unit les peuples », et des groupes qui ont de la difficulté pour arriver à Damala sont venus quand même. Ils sont là pour le taekwondo, le hand-ball, le tennis de table, le volley, le foot, le basket. Il y a aussi les spécialistes de la pétanque, du base-ball, des jeux de société et il y a encore les démonstrations spectaculaires de notre groupe de danse, les « As » de Don Bosco.
Les autorités du sport, des affaires sociales, de la municipalité, de la coopération française manifestent leur présence de diverses façons. Le but de la journée est de sensibiliser l’opinion sur le scandale des enfants de la rue et de susciter des alternatives pour leur insertion sociale par le sport.
Le mardi 31 décembre le Chef de l’Etat dans son Message à la Nation cite et remercie Don Bosco pour son action sociale auprès des plus démunis. Nous apprécions comme une reconnaissance. Nous estimons ces paroles et nous souhaitons des actes.
Paul Marie NTSAKALA
CONGO – BRAZZAVILLE
Les Fêtes de Don Bosco à Pointe Noire
Par les Pères Miguel Olaverri et Enrique Franco, la Maison Provinciale a eu des échos des célébrations salésiennes à Brazzaville et à Pointe Noire ainsi que des détails sur l’« expédition » des deux voyageurs entre Brazza, Kinshasa et Lubumbashi où ils se rendaient pour le Curatorium.
Le Père Enrique a compté 39 points de passage où ils ont dû montrer leur passeport pour aller du Congo à la République Démocratique de même nom. Partout l’accueil de la Famille salésienne est au rendez-vous.
Après son passage à Brazzaville, le Père Miguel part à Pointe-Noire. Accueilli à l’aéroport par fanfares, danseurs et chorales, il remercie, nous raconte-t-il malicieusement, tous ces gens de fêter ainsi saint Jean Bosco. Mais rapidement, il apprend que tout ce beau monde attend une autre personnalité. Le chef de l’Etat vient lui aussi dans la ville. Le vrai problème de cette venue se déclare ailleurs. Un retard considérable va marquer les célébrations de la Paroisse salésienne. L’évêque reste bloqué chez lui, tant que le cortège présidentiel n’est pas passé. L’assemblée en profite pour mettre au point d’ultimes préparatifs. Enfin la messe peut commencer. L’église est comble, malgré les six cents places supplémentaires que lui ont procurées les derniers travaux d’agrandissements. Le Père Miguel explique en substance: « Nous participons à une très belle cérémonie. Trois chorales sont présentes. Un moment émouvant et fort est celui de la procession des symboles de chaque mouvement : Le « Christ Roi » fait ressortir la valeur de l’argent s’il est partagé. Les « grains de maïs » de Kisito soulignent que le Seigneur nous invite à une vie fraternelle. La Légion de Marie apporte une Bible et « Samuel » la pain et le vin. Un globe terrestre, la maquette de la nouvelle église, un ballon, de l’eau, de la terre, des instruments de musique : chaque groupe a trouvé un langage imagé, compréhensible pour tout le peuple de Dieu. »
La REDACTION
GABON- OYEM
Plus de 2000 jeunes célèbrent la Saint Jean Bosco
La Famille salésienne d’Oyem, avec les Filles de Marie auxiliatrice, les animateurs des Centres Marie – Dominique, Don Bosco, et les salésiens, ont organisé pour la Saint Jean Bosco de multiples activités qui ont regroupé non seulement les jeunes de nos Centres mais aussi ceux des Mouvements de Jeunes Catholiques de la Place.
Un week-end sportif regroupe les 26 et 27 janvier 2002 près de 500 jeunes pour des disciplines variées : basket-ball, volley-ball, tennis de table, football féminin et football masculin.
Les activités se poursuivent le vendredi 1er février par une marche suivie d’une veillée spirituelle. Plusieurs mouvements de jeunes du diocèse étudient un questionnaire sur « Don Bosco et nous les jeunes ». L’expérience se révèle enrichissante. Les questions amènent à faire des recherches sur la vie de Don Bosco, et à l’exprimer sous plusieurs formes, sketchs, chants, poèmes, prières. Le talent est au rendez-vous.
Le samedi 2 février, se déroule une soirée culturelle « traditionnelle », style assez peu populaire dans les ambiances modernes actuelles. La Famille salésienne veut relever ce défi d’aider les jeunes à s’affirmer autrement qu’à travers les seuls modèles importés de l’Occident et spécialement des Etats-Unis d’Amérique.
La danse chez les peuples noirs est riche de formes de langages. Comme disent les anciens : « Le noyau de la coutume, c’est la danse. Elle garde en elle tous les secrets de nos ancêtres. »
La « messe solennelle » du dimanche 3 février à 9 heures a lieu dans la cour du Centre. Tous les groupes sont rassemblés, ceux des mouvements salésiens, ceux du diocèse. Chaque association porte ses uniformes les plus colorés. Le Père Hector Fabien Lijot, Supérieur, préside l’assemblée.
L’après-midi éblouit toute la ville par son « grand jeu Don Bosco » qui voit l’afflux des plus jeunes de tous les patronages de la ville, entre autres ceux de Marie Dominique, de Saint Richard et de Don Bosco.
Deux mille jeunes tout au long de ces journées, c’est d’un impact tel que toutes les familles de la ville vivent l’événement, partagent la joie et rendent grâce à Dieu pour ce saint de Turin « Père et Maître de la Jeunesse »Gilles Willy DJOKO,
Postulant sdb Oyem - Gabon
GABON – PORT-GENTIL
15 Naissance d’une Communauté ecclésiale de base |
▲back to top |
Le mercredi 30 janvier 2002, a vu la mise en place sur notre paroisse de la première Communauté Ecclésiale de Base, C.E.B. Elle a reçu le nom de « Sainte Martine » dont c’était la fête ce jour-là.
Située aux environs de la paroisse Sainte-Barbe, elle a son siège dans l’enceinte familiale de Mme Nicole Ezova, paroissienne bien engagée. Etaient présents à cette « première » le curé Père André Ndiomo, le vicaire Père Alphonse Owoudou, Marius Jiodio sdb stagiaire, Sœur Philomène fma, plusieurs chrétiens du quartier et d’autres venus soutenir cette intéressante initiative. Tout en remerciant les participants, le Père André, s’appuyant sur le texte des Actes des Apôtres 2, 42, a tenu à expliquer l’importance d’une C.E.B. Elle est là, au milieu des hommes, pour former une famille, une « mini-église », pour faire connaître la Bonne Nouvelle de Dieu dans le quartier et la témoigner. Prier ensemble, méditer la parole de Dieu, réfléchir ensemble, faire des projets, poser des actes concrets et collectifs, telle sera la mission de tous ceux qui voudront participer librement et au nom de leur foi catholique.
Mme Byll qui a assisté à une session de formation de la C.E.B a essayé en langage vernaculaire d’apporter plus d’éclaircissements aux personnes âgées.
Prochaine étape : la C.E.B de Matanda, quartier où vit en majorité la communauté béninoise.
16 Les premiers Coopérateurs salésiens gabonais |
▲back to top |
Depuis l’an dernier, nous avons pris l’habitude de faire « d’une pierre deux coups » en ce qui concerne la solennité de nos Saints Patrons : Sainte Barbe et Saint Jean Bosco.
Comme à l’accoutumée, nous commençons cette année par un triduum. Les thèmes sont animés par certains Aspirants Coopérateurs. Nous découvrons pendant trois jours Don Bosco sous différents aspects : « Don Bosco réponse à un appel », « Don Bosco réponse aux jeunes » et « Don Bosco homme d’Eglise. »
Ces fêtes patronales revêtent cette année une connotation particulière. La célébration eucharistique est présidée par le Père Germain Lagger, délégué provincial à la Famille Salésienne. Durant la messe, nous assistons à la promesse solennelle des premiers Coopérateurs Salésiens Gabonais
Après trois ans de formation, Yolande Ossavou, Dine Béatrice Mendoume, Evariste Temgoua et Arsène Ngoma prononcent leur promesse solennelle. Pleins d’émotion, devant les Pères Germain Lagger, et André Ndiomo, délégué sdb, devant sœur Renée Dumortier, déléguée fma, devant le Père Alphonse Owoudou, et devant tous les paroissiens et invités de la paroisse Sainte Barbe, ils se sont engagés dans la grande Famille Salésienne en tant que Coopérateurs Salésiens. Ils ont promis de rester fidèles au Christ dans l’Eglise Catholique, de travailler au Règne de Dieu pour le salut des jeunes, d’approfondir et de témoigner de l’esprit salésien, de toujours collaborer avec les autres membres de la Famille Salésienne à toute démarche apostolique de notre Eglise locale.
16.1 Yolande OSSAVOU |
▲back to top |
Coopératrice Salésienne (Gabon – Port-Gentil).
TCHAD – SARH
QUOI DE BON AU CJDB DE SARH ?
Le groupe des Amis de Dominique Savio (ADS), a pour objectif de former les pré-adolescents et adolescents, filles et garçons selon leur Modèle Dominique Savio. Ils s’engagent dans une amitié avec le Christ, le bon travail à l'école et à la maison et le service de leurs frères et sœurs.
17 Koutou kadja |
▲back to top |
Le Secteur Radio-Presse est née en 1999. Son but est d'informer sur les activités du Centre, de former, et d'assurer l'animation hebdomadaire. A l’initiative de ses animateurs, un Bulletin d'informations générales du Centre des Jeunes Don Bosco a vu le jour. La Radio-Presse fonctionne les après-midis du Mercredi et du vendredi (15h 30' à 18h00'), le samedi matin (8h 00' à 12h 00') et après-midi (15h 30' à 18h00').
Ngaro Wadal
La Commission Sports et Loisirs (COSLO) a vu le jour en 1999. Elle se charge des activités sportives et des loisirs, notamment le scrabble, le baby-foot, le ping-pong, le football, le basket-ball, le volley-ball et le hand ball. Ce Secteur s'occupe du divertissement des jeunes, de leur formation physique et, favorise les rencontres de jeunes. Pour cela sont organisés chaque mois divers tournois. Madjirabaye R. Francis
Le Jardinage commence l'année 2000 au Centre. C'est aux élèves en difficultés scolaires que le Centre fait bon accueil dans cet atelier en vue de se prendre en charge. Cette année une quarantaine de jeunes filles et garçons sont inscrits. Ce système instaure la fraternité dans les travaux et l’usage des biens communs. Le Centre encourage toute activité associative liée à l'autonomie des jeunes.
Madjingué Fidèle
EN BREF |
Nos malades
En date du jeudi 7 février, des nouvelles parvenues du Secrétaire Provincial salésien de Madrid, le Père Demetrio Franco, signalent à propos du coadjuteur Silvano: « Il doit être à nouveau opéré d’urgence. Il s’agit de lui enlever une tumeur qui touche toute la colonne vertébrale. Elle pourrait atteindre la moelle épinière et entraîner alors en quelques jours une paralysie totale. Plusieurs examens ont préparé la prochaine opération. »
Le Délégué à la Pastorale des Jeunes propose
Le Père José Antonio Vega signale dans un feuillet intitulé « Itinéraires de Formation » :
« Nous avons commencé la réflexion sur les plans de la formation des jeunes…. L’itinéraire comprend un plan de formation pour les jeunes et pour la formation des animateurs….
La commission propose de commencer à collecter tous les matériaux existants et de commencer à en créer d’autres….
Il faut commencer à sélectionner des documents ( texte, images, méthodologie, …) Vous avez des revues, des journaux, des livres qui peuvent offrir des possibilités. Soyez-y attentifs.
C'est un travail d’ensemble de l'ATE-AFO qui peut beaucoup nous aider pour l’avenir. »
Le 54ème Bulletin salésien
Samedi soir 16 février 2002, le Père Miguel part à Paris pour rejoindre le prochain CG 25 à Rome. Dans ses bagages, il emporte de nombreux exemplaires de notre Bulletin salésien N°1, dont un pour le Provincial de France qu’il lui remet dès son arrivée le dimanche matin. Dans la même journée, le Supérieur des salésiens de France nous adresse le message suivant :
« Toutes mes sincères félicitations pour ce nouveau Bulletin Salésien….
Vous permettez ainsi de mieux faire connaître votre action en Afrique et surtout, par ce moyen nouveau, c'est l'Evangile qui se répand. Avec nos meilleures salutations de France,
Père Job INISAN, Provincial »
Adressez-nous, vous aussi, vos souhaits pour le prochain numéro qu’il nous faut déjà préparer.
18 Librairie « Don Bosco Yaoundé nbsp;: |
▲back to top |
Son local existe. Il faut l’aménager. Le Père Agustin y pense. Mais déjà elle fonctionne avec les moyens du bord. Les Editions du Signe de Strasbourg, déjà en collaboration avec des salésiens dans plusieurs pays offrent par notre intermédiaire 50% à leurs éventuels clients africains. Une manière de travailler à des échanges plus justes et plus solidaires avec le « continent noir ».
En vente immédiate dans nos locaux :
« Le clown et l’enfant » : « Aimer et se savoir aimé pour ne plus jamais se sentir rejeté » (Ed du Signe)
Prix 50% offert par « Les Ed du Signe » : 7700 cfa
« Les cent mots-clefs de la spiritualité salésienne », de Francis Desramaut, sdb : une mine d’informations et de réflexions sur tout ce qui touche à la « Famille salésienne ». ( 594 pages ) ( EDB Paris )
Prix à Yaoundé offert par notre librairie : 20 000 cfa, au lieu de 25 000.
Vous rédigez un article. Préférez des phrases courtes. Elles vous évitent de multiplier les « parce que », les « car », autant d’expressions qui enlèvent de la légèreté à votre exposé.
|
Merci de nous adresser vos articles pour notre numéro 24 d’Avril 2002 avant le 15 mars.
Faites–les parvenir à Jean-Baptiste Beraud, Maison Don Bosco, BP 16 07 Yaoundé
Utiliser l’adresse électronique, c’est nous faciliter notre travail.
Bon Anniversaire :
En mars
le 1 Albert Mbedile 21 Albert Madede
le 4 Benoît Nziele 22 José Luis Etafji
le 8 Rémy Ngomo le 25 Paul Ebome
le 10 Etienne Adjeckamle 27 Manuel Cambronero
le 13 José Antonio Vega
@te.media Salésiens
de « Don Bosco » Maison
Provinciale B.P.
1607 YAOUNDE
(Cameroun)
Direction : Miguel Olaverri
Administration : Agustin
Hernandez
Rédaction : Jean
Baptiste Beraud Tél. :(237) 22.22.39
Maquette – Diffusion – Secrétariat : Guy Ollivry