Discernement_des_Deux_formes_de_la_vocation_salesienne.docx

Provinciaux



Copie aux :

Délégués provinciaux pour la formation

Maîtres des Novices

Responsables des prénoviciats

Responsables des aspirantats

Animateurs vocationnels



Objet : Séminaire sur le discernement des deux formes de la vocation salésienne

San Callisto, Rome, 26-29 mai 2018



Chers confrères,



Deux semaines après notre séminaire sur la méditation, nous avons conclu un autre séminaire, cette fois-ci sur le discernement des deux formes de notre vocation salésienne. Encore une fois, nous avons été accueillis dans la communauté de San Callisto, ici à Rome. Le coordinateur était le frère coadjuteur Raymond Callo, FIN. Le groupe était composé de Horacio Barbieri, ARN ; Adam Homoncik, UPS ; Philip Lazatin, FIS ; Angelo Santorsola, IME ; des membres du Dicastère de la Formation Cleofas Murguia, Silvio Roggia et Francisco Santos Montero ; et Joseph Kunle, INC et Samuel Obu, UPS, qui nous ont aidé dans la traduction.



L'objectif du séminaire était de clarifier les idées sur le discernement des deux formes dans le but d'aider les formateurs dans ce domaine. L'idée qui a conduit à cette initiative est venue du précédent séminaire sur la formation spécifique du coadjuteur salésien qui s'est tenu à Genzano, à Rome, en octobre dernier. Nous avions pensé qu'un premier pas dans cette direction était de réunir quelques confrères, surtout ceux qui ont de l'expérience comme maîtres des novices, pour écouter leurs expériences dans ce domaine spécifique du discernement qui, comme nous le savons, est une tâche que la Ratio demande à être accomplie précisément pendant le noviciat (FSDB 371 ; voir CN 7). La méthode a été d'écouter les expériences éclairées par notre tradition, telle qu'elle est recueillie et exprimée dans nos documents, avant d'arriver à faire des suggestions et des orientations à partager avec les responsables de la formation initiale, les délégués provinciaux de la formation et les provinciaux eux-mêmes.



Je voudrais partager avec vous quelques points qui sont ressortis du séminaire, en espérant qu'ils seront utiles avant tout à ceux qui sont engagés dans la formation initiale, mais aussi à l'ensemble des provinces, puisque la " culture des provinces " joue un rôle si important dans la formation des confrères.



Notre identité commune : la vocation salésienne consacrée



1.Tout d'abord, l'accent a été mis sur notre identité salésienne de base, notre consécration apostolique. La spécificité des deux formes de notre vocation ne peut être comprise que sur cette base et en son sein. Comme le dit la Ratio, notre consécration est celle qui " colore ou teinte" tout notre être salésien comme coadjuteur/prêtre (39, 40). Le fait de travailler au sein de la CEP, avec des laïcs souvent beaucoup plus compétents que nous, nous amène à clarifier encore avec plus d'urgence ce que signifie partager la mission de Don Bosco en tant que personnes consacrées. En même temps, la mission est précisément ce qui donne à toute notre existence son allure concrète (C 3). Cela signifie que la mission ne peut être réduite - par exemple dans nos maisons de formation - à des activités de week-end. C'est ce qui donne et doit donner le ton à toute notre manière de vivre les conseils évangéliques, la vie communautaire, l'étude, parce que notre mission est d'être "signes et porteurs de l'amour de Dieu pour les jeunes" et ce n'est pas une activité à temps partiel. La grâce de l'unité est notre don particulier. Le P. Viganò a parlé du sens totalisateur de la consécration et de la mission :

"Avec Don Bosco, nous voulons continuer à témoigner de la mutuelle et inséparable perméabilité ou pénétration entre "vie religieuse" et "apostolat", et vice versa, dans une attitude vitale de synthèse super-complète, sans les roches d'antithèse. Pour nous, il sera particulièrement fécond de ne pas oublier le sens particulier et global de chacun des deux termes "consécration" et "mission", qui ne peuvent être réduits, chacun individuellement, à indiquer seulement un secteur de la vie salésienne : notre consécration est, en soi, apostolique ; et la mission qui nous est confiée est, comme telle religieuse. (Discours d'ouverture du Recteur Majeur, 14 janvier 1984, CG22 n. 20)



2.Le Salésien est un homme de communion et un animateur de communion. Le Salésien ne peut penser à sa vocation sans penser aussi à celle des autres qui sont "porteurs de la volonté du Fondateur" (FSDB 35, citant CGS 151). Son rôle dans la CEP, dans la famille salésienne et dans le mouvement salésien est de préserver l'unité de l'esprit, en favorisant le dialogue et la collaboration fraternelle (C 5).



3.Le discernement des deux formes suppose donc ce que nous pouvons appeler une évangélisation charismatique' ou un kérygme du charisme. En fait, le discernement se base sur la connaissance et la capacité de vivre le système préventif. Ici, nous pouvons nous rappeler le dicton latin nihil amatum nisi cognitum. Nous ne choisissons que ce que nous aimons et nous n'aimons que ce que nous savons. Comment pouvons-nous aimer et encore moins choisir une réalité dont nous ne connaissons même pas ?





Spécificité



4.Passons maintenant à la question de la spécificité : comment peut-on bien comprendre chacune des deux formes de notre vocation, le salésien prêtre et le salésien coadjuteur ? La réponse à cette question ne réside pas dans la distinction entre les différents domaines de travail et d'activité, mais dans la "typologie ecclésiologique", déjà proposée par le P. Viganò et développée dans les trois grands documents sur les états de vie dans l'Église - Christifideles laici (1988), Pastores dabo vobis (1992) et Vita consecrata (1996). L'ecclésiologie typologique va de la "distinction par séparation" à la "distinction en relation". Chaque état de vie met l'accent et donne de la visibilité à certains aspects de la vocation chrétienne qui appartiennent à tous. Les laïcs rappellent à tous le caractère sacré et la valeur du monde séculier ; le prêtre donne une visibilité à la glorieuse présence vivante du Christ au milieu de nous ; la personne consacrée est un signe pour tous que nous sommes en route vers la vie de la résurrection, où nous "ne prenons ni femme ni époux" (Mt 22, 30), une vie où nous serons tous remplis de la plénitude de Dieu. C'est dans cette perspective que nous pouvons parler du salésien coadjuteur comme celui qui donne de la visibilité à la dimension[1] laïque de toute la Congrégation, avec notre proximité typique à la vie des gens ordinaires et aux valeurs du monde, où le Royaume de Dieu est présent et grandit ;[2] à notre fraternité, avec l'esprit familial qui caractérise si profondément le charisme salésien ;[3] encore davantage à ce que nous sommes tous fondamentalement des consacrés ayant une identité caractéristique dans l'Église. Le Salésien prêtre, d'autre part, rappelle aux laïcs salésiens qu'ils sont toujours éducateurs et pasteurs partout, c'est-à-dire "comme Don Bosco, nous sommes appelés, tous et en toute occasion, à être éducateurs de la foi. Notre science la plus éminente est donc de connaître Jésus- Christ, et notre joie la plus profonde est de révéler à tous les insondables richesses de son mystère" (C 34).



5.Entre les documents C 4, C 44 et 45 et le commentaire relatif au Projet de vie des Salésiens de Don Bosco, comme les Critères et les Normes 84-87 sont vraiment utiles. Il est éclair de replacer ces textes dans leur contexte correct. Il est aussi éclair de lire C 2-4, 44-46, 97-46, 97-101, 113, 116, 123 ; R 97-98, 169, et le deuxième chapitre de la Ratio sur l'identité vocationnelle salésienne, le début et la fin de notre formation, ainsi que le chapitre 10 sur la formation spécifique.



6.L’actuel document de la Congrégation pour les Instituts de Vie Consacrée et les Sociétés de Vie Apostolique, Identité et Mission du Frère Religieux dans l'Église (2015), avec Per vino nuovo otri nuovi (2017) de la même Congrégation, peut nous aider à mieux comprendre la spécificité du salésien coadjuteur. Le frère religieux est une icône de fraternité, qui est un élément central et constitutif de la vie religieuse. Les relations fraternelles au niveau horizontal sont d'une importance vitale : " Dans la vision plus large de la vie consacrée développée depuis le Concile, nous sommes passés du rôle central de l'autorité à celui de la dynamique de la fraternité " (Per vino nuovo 41). Le frère est un 'ferment dans les masses' en tant qu'expert en fraternité et en tant que guide spirituel. C'est un signe de la présence de Dieu dans la réalité séculière. "La communion représente à la fois la source et le fruit de la mission " (Christifideles laici 32).



7.Pour le salésien prêtre, la théologie du religieux prêtre est encore en phase de développement, et le document récent de la Congrégation pour le Clergé « Le don de la vocation sacerdotale » n'entre pas dans ce sujet important, malgré le fait qu'un nombre très significatif de prêtres de l'Église sont consacrés. Certes, notre Ratio insiste sur le fait que la consécration est la base de tout, et que par conséquent le sacerdoce des Salésiens doit être entièrement caractérisé et vécu à l'intérieur de la même consécration (FSDB 25, 38 et surtout 39). Cependant, il sera encore nécessaire de préciser et d'indiquer plus en détail comment notre consécration apostolique - mission, conseils évangéliques et communautés - affecte chaque aspect de notre ministère sacerdotal. Il est clair, par exemple, qu'il faut éviter à la fois l'individualisme apostolique (puisque la mission est confiée à la communauté) et le généralisme pastoral (donc pas tous les types de ministère sacerdotal, mais seulement ce qui est conforme avec notre mission).



8.Nous devons garder à l'esprit ce qui est ressorti du récent congrès international sur la Consecratio et la consecratio per evangelica consilia (mai 2018) et qui a été présenté comme consecratio continuata : le fait que certains aspects de notre vie de personnes consacrées deviennent clairs et se développent dans le processus de vivre notre consécration. Notre vie, en d'autres termes, a une unité narrative qui se déploie dans le temps, et non une " clarté radicale " présente depuis le début. C'est tout à fait normal : c'est simplement une partie de notre être humain. Nous continuons tous de grandir dans notre interaction avec les personnes, les communautés, les contextes, les traditions, les événements et les circonstances.



9.Puisque les deux formes de notre vocation sont essentiellement liées, il s'ensuit qu'elles ne peuvent être comprises qu'ensemble, dans le contexte de la communauté, et non séparément. Cela signifie que les salésiens coadjuteurs et les salésiens prêtres doivent connaître et aimer les deux formes de notre vocation. Le manque d'amour et d'appréciation serait en fait un clair contre-témoignage vocationnel.



10.Quant aux signes d'une vocation du salésien laïc ou de salésien prêtre, nous avons quelques indications surtout dans les chapitres 2 et 10 de la Ratio et dans les critères et normes 84-87. Parmi les nombreux éléments que l'on trouve dans ces textes, nous pouvons peut-être souligner l'initiation chrétienne comme une propension à caractériser la vocation du salésien prêtre, et l'évangélisation dans la réalité séculière et la réalité séculière comme une caractéristique de la vocation du salésien laïc - par "une gamme presque infinie de moyens, la prédication explicite bien sûr, mais aussi l'art, l’approche scientifique, la recherche philosophique, le recours légitime aux sentiments du cœur humain peuvent être utilisés à cette fin " (cf. Evangelii nuntiandi 51).



Le discernement et le bon terrain nécessaire pour le promouvoir



11.Le travail préparatoire indispensable se fait au pré-noviciat et avant cela dans l'aspirantat, comme l'indique la Ratio. "Déjà dans l'aspirantat commence la présentation des deux formes de la vocation à la vie salésienne ; elle continue dans le pré-noviciat" (FSDB 2016, 345). L'orientation et la décision qui prendront forme dans les phases suivantes présupposent absolument qu'il y a eu un espace préalable significatif et suffisant pour se familiariser avec les deux formes de la vie salésienne. C'est un processus de découverte à travers la dynamique enseignement-apprentissage, la lecture, et plus encore à travers l'expérience de la vie partagée et l'interaction avec les modèles.



12.Au noviciat, qui est la phase de discernement sur les deux formes de notre vocation, tous les novices sont aidés dans ce discernement, et pas seulement ceux qui montrent des signes de plus grand intérêt pour la vocation du salésien laïc. (FSDB 371)



13.L'appel de Dieu est un événement intensément personnel, une histoire d'amour qui échappe à toute catégorisation facile. La personne et ses choix restent dans la sphère de l'ineffable. Et c'est précisément pour cette raison que la seule voie à suivre est précisément celle du discernement. Cependant, ce discernement, finalement éminemment personnel, exige de l'éclaircissement ; les choix doivent être " éclairés ". Si les candidats n'ont jamais eu un contact vivant avec les deux formes de notre vocation, il est peu probable qu'ils puissent faire un discernement approprié entre les deux formes. Voici toute la discussion sur la visibilité, sur les modèles crédibles, sur la qualité du témoignage, sur la voie pulchritudinis ou " la voie de la beauté ", sur la présence du salésien coadjuteur dans nos communautés de formation......



14.Une lecture guidée (par opposition à une approche sporadique ou circonstanciel) de la vie de Don Bosco - les années de sa croissance humaine et vocationnelle ; la naissance de l'oratoire ; la fondation de la congrégation - est utile pour interpréter son histoire personnelle de vocation à la lumière de notre charisme. La vie des salésiens coadjuteurs et des salésiens prêtres éclaire les choix vocationnels.



15.La tradition (ou le contexte) de la province est un facteur extrêmement important pour éclairer les choix et le discernement vocationnel des deux formes de notre vie.



16.Un autre domaine important où émergent des signes d’une vocation à la vie du salésien coadjuteur ou du salésien prêtre est celui des expériences pastorales, surtout pendant le stage pratique. Des périodes d'expériences pastorales au sein de nos communautés locales se sont déjà révélées très utiles pendant le pré-noviciat. De toute évidence, ce n'est pas l'expérience ou l'activité elle-même qui est formatrice. Apprendre de l'expérience exige la présence d'un accompagnement adéquat de la part des formateurs et des responsables. L'importance du rôle du directeur comme figure charismatique pendant le stage pratique doit être suffisamment soulignée et accentuée. Une ligne d'action très concrète pourrait être de mettre en pratique "l'évaluation globale de toute l'expérience et du parcours vocationnel effectué" que la Ratio prévoit déjà à la fin du stage (FSDB 2006, 439). Parmi les outils qui pourraient être utiles, il y a aussi l’évaluation pastorale en vue d’une évaluation des expériences pastorales faites auprès des personnes diverses…



17.La Congrégation voit se développer des expériences pastorales au sein des communautés éducatives pastorales (CEP), et cette insertion facilite aussi le discernement sur les deux formes de notre vocation. La manière dont ceux qui sont en formation interagissent avec les laïcs qui partagent la mission est mise en lumière ; l'implication de ces laïcs dans le discernement peut être valorisée de manière systématique ou régulière. La CEP est aussi le lieu où s'expriment les différentes formes de la vocation salésienne.



18.L'attention portée à la spécificité devrait imprégner l'ensemble du processus de formation. "La perspective de la " forme spécifique " et, par conséquent, la caractéristique qui en découle, doivent être

présents tout au long du processus de discernement et pas seulement au début ou dans la période de formation spécifique" (CN 7).



19.En gardant à l'esprit que le discernement des deux formes peut se poursuivre même après la première profession, nous devons assurer la continuité du processus de formation de différentes manières : renforcer le rôle du Délégué Provincial à la Formation comme personne de référence qui facilite la continuité de la formation et le sens d'appartenance, surtout quand les jeunes confrères passent dans d'autres provinces pour certaines phases de formation initiale ; avoir un seul curatorium de prénoviciat, de noviciat et de postnoviciat quand cela est possible ; etc...



20.La place de Marie dans le cheminement vocationnel ne pourra jamais être oubliée. Elle représente la vocation fondamentale de tous les chrétiens, qui est de correspondre personnellement à l'amour salvifique de Dieu. C'est pourquoi, dans l'Église, la dimension mariale précède la dimension pétrinienne, qui est au service de cette vocation fondamentale de tout baptisé, ou mieux encore de tout fils/fille, c'est-à-dire la condition dans laquelle nous nous trouvons tous, avant toute différenciation ultérieure (Catéchisme de l'Église catholique 773). Marie est mère et maîtresse, femme de foi et d'espérance, elle nous enseigne à aimer comme elle a enseigné Don Bosco et comme elle a enseigné Jésus lui-même.





Lignes d'action suggérées



1.Formation de formateurs, de guides spirituels et de professeurs pour les phases de postnoviciat et de formation spécifique, avec un accent particulier sur la formation de salésiens coadjuteurs pour ce service de formation.



2.Supervision des formateurs et de l'équipe, par exemple en rendant plus systématique le travail des délégués provinciaux de la formation.



3.Étudier, au niveau des commissions de formation provinciale et régionale, comment donner plus de visibilité à la consécration apostolique salésienne et aux deux formes dans les plans de formation à différents niveaux - provincial, personnel et local -, en tenant compte aussi de la possibilité d'utiliser l'ébauche des Constitutions comme modèle de référence, sans négliger l'aspect " humain et intellectuel " des 4 dimensions désormais classiques de formation, comme elles ont été traduites dans Pastores dabo vobis.



4.Pour que le postnoviciat soit vraiment une continuation de l'expérience de formation du noviciat (C 114), il faut équilibrer les projets académiques, qui sont normalement très bien soignés, avec les projets de formation qui sont également bien soignés et suivis par la communauté.



5.Assurer un accompagnement de qualité des expériences pastorales du week-end, et surtout de la période de stage, en préparant dans cette période spécifique les coordinateurs pastoraux et les directeurs des maisons où les stagiaires sont envoyés.



6.Veiller à ce que les formateurs connaissent bien les documents salésiens qui concernent les deux formes de notre vocation.



7.Nous partageons les bonnes pratiques en ligne (veuillez contacter Francesco Santo Montero, fsantos@sdb.org, si vous avez du matériel intéressant à offrir à https://formazionesdb.org/).





En ce qui concerne le Dicastère de la Formation, voici quelques-unes des étapes dont nous avons l'intention de réaliser ou de faire.



1.Une nouvelle étude sur le discernement des deux formes de notre vocation.



2.Un outil multimédia sur le discernement des deux formes préparé spécialement pour les maîtres des novices, les responsables du prénoviciat et les animateurs vocationnels, comme aide didactique pour une bonne présentation des deux formes.



3.Dossiers ou fascicules pour le discernement des deux formes à offrir aux provinciaux et aux délégués provinciaux de la formation.



4.Trouver des moyens d'inciter les provinciaux à préparer les formateurs, surtout les salésiens coadjuteurs formateurs ; nous pensons aussi aux " salésiens coadjuteurs missionnaires et formateurs".



5.Certains des documents qui ont émergé pendant le séminaire seront disponibles et accessibles via ce lien https://formazionesdb.org/.



6.Les résultats de ce séminaire seront diffusés lors des prochaines réunions des commissions régionales de formation, qui seront à leur tour diffusés par le biais des travaux des commissions provinciales de formation.



Nous demandons à nos saints confrères d'intercéder pour nous - Stefano Sandor et Tito Zeman, Artemide Zatti et Giuseppe Quadrio, et beaucoup de confrères moins connus mais non moins saints dirigés par Sima'an Srugi.



Je vous souhaite à tous une joyeuse fête de la Visitation - cette fête merveilleuse où une simple visite " entre sœurs ", d'une femme à l'autre, devient l'icône de la visite de Dieu à son peuple. "Béni soit le Seigneur Dieu d'Israël, qui a visité et racheté son peuple." Que les choses simples de notre vie brillent de la même manière avec la lumière du soleil qui se lève et vient nous visiter d'en haut.





Avec affection



Ivo Coelho, SDB