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@TEMEDIA
Mensuel d´informations de la Province ATE, 9ième année,
Le site de la Pronvice : homily-service.net
Sommaire
Aimons notre jeune Province 2
Les ordinations
3
Sans frontières,
5
le MSJ à Ebolowa
Le journal du MSJ
Fête de St Charles Lwanga
10
Père Germain :
50 ans de vie religieuse
Camp de formation des animateurs 11
“CAVA”, dans l’amitié
et la fraterlinté
A Oyem, les voeux perpétuels 12
de David, enfant du Gabon
Sr Ana Rosa Velandia,
13
une femme tournée vers l´avenir
Divers :
15
Poème : “Merci Joseph”
Joyeux anniversaire
Une action sans amour est stérile
1

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Editorial
C hers confrères,
Nous venons de célébrer notre troisième Chapitre Provincial au cours duquel nous
avons réfléchi sur le thème proposé par le Recteur Majeur. Dans l’ensemble, l’ambiance
de partage franc et sincère, les informations mutuelles sur la situation de la Province, les analyses, les
propositions pour améliorer notre vie religieuse et notre mission ont été à la base de toutes les interven-
tions dans les commissions et durant les assemblées.
Les thèmes nous ont plongés sur des réalités de notre jeune Province, et j’en tire certaines ré-
flexions:
Conscients de nos faiblesses et possibilités, de nos problèmes et de ceux de nos milieux, de la si-
tuation des jeunes, nous sommes invités à nous aimer comme des frères, à nous respecter, à aimer d’a-
vantage notre Province, à unir nos forces, nos ressources, à un appui mutuel, à la formation, afin de ren-
dre notre action en faveur des jeunes plus efficace, d’offrir un témoignage évangélique. Nous y parvien-
drons sûrement en suivant les orientations de notre Congrégation et de l’équipe provinciale. La bonne
volonté pour répondre à tant de défis dans la mesure du possible, est signe d’un grand amour, d’une ré-
ponse authentique et fidèle à l’appel de Dieu.
Revenir à Don Bosco est pour nous une nécessité. C’est une insistance du Recteur Majeur. Nous
avons partagé cette préoccupation durant le Chapitre. Il faut connaître, étudier, aimer Don Bosco, travail-
ler aujourd’hui comme il le faisait. L’inculturation du charisme en chacun de nous n’est pas seulement un
effort intellectuel, mais le fruit d’une synthèse vitale qui se réalise dans l’expérience, dans le cœur.
Nous ne pourrons vivre et réaliser tout cela qu’en communauté. Une communauté religieuse salé-
sienne qui porte un projet unique, une réflexion soutenue, un partage avec les membres de la Famille sa-
lésienne et les laïcs, jeunes et adultes.
Et dans la communauté, revivre la mission en renforçant la figure du Directeur comme père et
pasteur.
Enfin je vous invite à redécouvrir et vivre ensemble le système préventif qui est pour nous, che-
min sûr de sanctification, en développant et en renforçant notre présence par les jeunes. Tout salésien doit
pour cela se sentir impliqué dans tous les secteurs de l’œuvre.
Le but de notre mission est l’annonce de Jésus-Christ. Il faut la réaliser avec tout le sérieux possi-
ble, cela exige préparation, méthodologie, suivi des groupes et mouvements. Nous devons également sur-
monter la timidité et faire une proposition explicite de la sainteté et des valeurs chrétiennes.
A présent nous nous préparons à lancer la nouvelle année pastorale. Je vous ai envoyé en
“attache”, une lettre circulaire sur certaines indications en vue du lancement de l’année. Il y a des sugges-
tions très précises selon le moment actuel et les documents du Chapitre.
Je vous souhaite heureuse année pastorale.
José Antonio Vega, Provincial.
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Ordinations...
Cette année encore, la Province ATE a célébré avec joie et actions de grâces, les ordinations des
confrères Privat, Pierre-Célestin, Marius, John, Ludovic et Barnabé.
Le 07 juillet, avec 25 pairs, les Pères Privat et Marius ont reçus l’ordination sacerdotale des mains
de Mgr Bakot, Archevêque de l’Archidiocèse de Yaoundé, en la Basilique Marie Reine de Mvolyé, au
cours d’une cérémonie riche en couleurs.
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Ordinations...
Une semaine plus tard, le Père Pierre-Célestin était ordonné prêtre par Mgr Jean Mbarga, en la Pa-
roisse Notre de Fatima de Nk’o’ovos, à Ebolowa.
C’est au cours de la même célébration que Barnabé, John et Ludovic ont reçu l’ordination diaco-
nale.
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Echos du MSJ
Le journal du MSJ, Ebolowa 2007
La jolie petite ville rurale
d’Ebolowa dans la province du
Sud Cameroun, a accueilli du 16
au 23 juillet 2007, des jeunes
venus de toute la Province des
salésiennes de Libreville ( Afrique
Equatoriale Centrale, AEC ) et
de celle des salésiens de Yaoundé
( Afrique Tropicale Equatoriale,
ATE ) pour la Rencontre Interna-
tionale du Mouvement salésien
des Jeunes, MSJ.
Les deux Congrégations
partagent volontiers leurs efforts
apostoliques dans les quatre pays
où elles sont implantées toutes
deux : Cameroun, Congo Brazza,
Gabon, Guinée Equatoriale. Les
salésiens sont aussi en Centrafri-
que et au Tchad. De ces six pays,
seule la République Centrafricaine
n’a pu faire le déplacement. Au
total, ce sont dix huit Centres de
jeunes, filles et garçons, organisés
par des salésiennes ou salésiens
qui ont pu réunir 165 jeunes ani-
mateurs du mouvement en pleine
croissance.
Accompagnés dans leur
réflexion par une quinzaine de
jeunes salésiennes ou salésiens,
les participants ont travaillé cha-
que jour en divers ateliers. Sur le
thème central « Pour une culture
de la vie en Afrique, devenons
serviteurs de l’Evangile », ils ont
partagé leurs pensées et leurs ac-
tions sur leur « vocation ». S’ils
ont réfléchi sur « les cultures
africaines et l’Evangile ». ils se
sont aussi interrogés sur « la
culture actuelle des jeunes et l’E-
vangile ». . . Rien n’est resté dans
l’ombre : l’argent, la sexualité, la
mode, les moyens de communi-
cation, la rue, le social, la politi-
que, tout a été analysé dans les
groupes de travail. Les problèmes
auxquels les jeunes sont mêlés
sont énormes. Félicité, 18 ans, et
Roméo, 20 ans, sont venus de
N’djamena, la capitale du Tchad.
Ils racontent : « Nous avons
voyagé en bus et en train durant
trois jours. Dans le train, nous
étions entassés. Des gens pas-
saient pour nous demander de
l’argent parce que nous sommes
étrangers. ». Une jeune étudiante
explique comment elle a dû refu-
ser des propositions déplacées
qui pouvaient lui obtenir son bac
sana difficultés. Des visites en
groupes à la prison, à une lépro-
serie et dans un hôpital ont per-
mis aux jeunes de partager durant
quelques heures la vie difficile de
ces personnes. Jeux et compéti-
tions sportives meublent les après
midi, tandis que les rythmes des
danses ancestrales surgissent
effrénés et splendides dans cha-
que soirée.
Un jour, Mr le Préfet ré-
gional crée la surprise. Il vient
gentiment saluer tous ces jeunes.
Impressionné lui-même par l’ac-
cueil qu’ils lui ont réservé, il leur
demande de travailler dès main-
tenant à l’intégration des six pays
de la Région, dont « les popula-
tions souffrent souvent entre el-
les, de grandes difficultés. »
Mgr Jean Mbarga, évêque
d’Ebolowa, venu présider l’Eu-
charistie du dimanche, se ques-
tionne : « Qu’est-ce que la vie
pour un africain ? » Il répond par
une belle méditation sur ces qua-
tre points : « La vie pour un afri-
cain, c’est l’enfant, c’est la fa-
mille, c’est la terre féconde, c’est
l’harmonie avec la nature hu-
maine. »
Dans les dernières heures
de la Rencontre, il suffisait d’é-
couter leurs réflexions pour saisir
que cette semaine de forte spiri-
tualité venait de marquer profon-
dément tous ces jeunes : « On
arrivait à se comprendre entre
ceux de langue espagnole
(Guinée Equatoriale ) et les au-
tres francophones. On n’avait
plus peur de parler. On s’est senti
vraiment en famille ».
« Donnez-nous le « Don
Bosco Africain », disait en 1998
le 8e successeur de Don Bosco, le
Père Juan Vecchi. Les jeunes du
continent noir l’offrent déjà au
monde.
JB BERAUD, sdb
5

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Le journal du MSJ, Ebolowa 2007
L´ouverture était prévue le 16 juillet à 16h précises.
Les premières délégations dont le Congo et le Tchad
sont arrivées deux jours avant en vue de se prémunir contre
tout retard ou ajournement de voyage, respectivement par
voie aérienne et par voies ferroviaire et terrestre. Sereine-
ment, elles sont restes à Yaoundé jusqu´au 16 juillet.
La Guinée Equatoriale et le Gabon ont foulés le sol camerou-
nais le 16 juillet par la voie terrestre. Rappelons que le Came-
roun, le Gabon et la Guinée Equatoriale sont des pays fronta-
liers. Ils sont arrivés plus tard que prévu, ce qui a également retardé notre organisation. Les tracasseries, les
escroqueries, le cynisme, l´incongruité, l´effronterie en vogue chez les différentes forces de l´ordre et de la
sécurité de nos pays, sont malheureusement le pain quotidien de ces constructeurs concrets et discrets de la
sous région que sont ces gens simples homme, femmes, jeunes, étudiants, qui parcourent ces pays. Comme
quoi il y a encore du chemin à faire¡
Les délégations gabonaise et équato-guinéenne ont été
accueillies par les jeunes du Cameroun, du Tchad, du Congo
qui respiraient déjà au rythme de la musique et des chants qui
allaient nous accompagner durant ce séjour d´une semaine.
Cet accueil a donné lieu à un spectacle magnifique : Des cris
tous azimuts, les habitués du MSJ se retrouvent ; qui recon-
naît un ami, qui un salésien, une salésienne, qui se donnent
des accolades.
Après ce grand moment d´euphorie, vient le temps de
s´installer. Plutard tout le monde se dirige vers la paroisse
salésienne Notre de Dame de Fatima situé au centre ville.
La messe d´ouverture commence finalement à 19h.
Elle est présidée par le Père José Antonio VEGA, Provincial
de l´ATE. Il introduit déjà les jeunes dans le thème, les invi-
tant à aimer la vie, à la recevoir comme un don de Dieu et à
se mettre à son service avec Don Bosco et Marie Mazzarello.
C´est ainsi que commença le MSJ édition 2007.
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Du 16 au 23 juillet, les jeunes
ont eu un rythme de vie inhabituel.
Chaque matin, on se réveillait
à 6h 30, après la toilette, méditation
de la parole de Dieu en groupe,
prière des laudes, petit déjeuner, tra-
vaux à 8h 15. A 9h, tout le monde se
retrouvait dams la salle de confé-
rence pour l´introduction du thème
du jour.
Les travaux de réflexion en
atelier prenaient le relais jusqu´à 12h
30, puis le repas, la vaisselle en
groupe, le repos. Le repas était un
moment non seulement pour se nour-
rir ou pour gagner des forces physi-
ques, mais aussi pour affermir la
connaissance mutuelle, partager
échanger, vivre profondément ce
temps de grâce, de joie, de fraternité
et d´amour universelles et de service.
C´était un moment où l´avenir se tis-
sait et se construisait.
On reprenait les activités à
15h précises avec la classe de chants,
la réflexion en atelier et la mise en
commun qui prenaient fin à 18h 45,
faisant place à la messe.
La messe a été un moment
fort. La créativité et l´originalité ap-
portés par chaque pays chargé de
l´animation liturgique du jour, ont
contribués à enrichir et embellir ces
moments.
Après le repas du soir, on se
retrouvait à 21h pour des soirées ré-
créatives. Les participants offraient
des prestations théâtrales le plus sou-
vent en lien avec le thème du jour,
où génialement se panachaient le
français et l´espagnol, suscitant ainsi
sourire, applaudissement et admira-
tion des autres; des danses chorégra-
phique traditionnelle et moderne.
Et l´on allait dormir après le
mot du soir, le cœur joyeux d´avoir
appris, aimé et servi.
Le journal du MSJ, Ebolowa 2007
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Le journal du MSJ, Ebolowa 2007
La journée de jeudi 18 juillet fut assez particulière.
Ce jour-là en effet, les participants ont fait une
descente dans les lieux les plus tristes, les plus répugnant,
les plus oubliés, où vivent des hommes, des femmes, des
jeunes et des enfants habités par une grande espérance.
A cet effet, deux groupes sont allés à la prison cen-
trale d´Ebolowa ; deux à l´hôpital central, deux à
l´hôpital protestant d´Enongal ; trois la léproserie de Nga-
lan, à la sortie de la ville sur la route, vers l´évêché et un à
celle de Nko´o Melen sur la route de Yaoundé. Ces lépro-
series sont des œuvres dirigées par les sœurs de Rosa VE-
NERINI. Cette dernière, fondatrice, a été canonisée en
novembre 2006. Un des miracles est parti la léproserie de Ngalan dont un enfant a miraculeusement été
guéri de sa maladie. L´enfant se porte bien.
A l´hôpital central d´Ebolowa et l´hôpital à protestant d´Enongal, aux différentes léproseries, ils ont
fait du désherbage des espaces verts, le nettoyage des corridors et classer le linge. Quant à la prison cen-
trale, ils se sont organisés en équipes de football, basket-ball, volley-ball, pour jouer contre les prisonniers,
puis ils ont offert des prestations culturelles et un bal dansant.
De leurs cotés, les responsables des lieux qui ne sont pas restés indifférents à ces gestes leur ont of-
fert un repas de circonstance, du sandwich, boisson, gâteries… en signe de reconnaissance.
L´objectif était de susciter une attitude capable de provoquer un agir chrétien, après une prise cons-
cience de la précarité de la vie dans ces milieux, marginalisés, délaissés, abandonnés et même disqualifiés
par les préjugés, l´ignorance, l´indifférence, la peur, l´effroi, ces milieux où la nature humaine est atteinte
de la manière la plus pitoyable, mais où des hommes et des femmes qui jouissaient des mêmes conditions
que nous ou alors les ont ainsi trouvées, espèrent aussi de jours meilleurs.
A travers cette activité et selon les témoignages recueillis après coup, les jeunes ont fait une expé-
rience de passage de la peur au courage, de la fuite à l´engagement, de l´indifférence à la prise de cons-
cience, de l´ignorance à la connaissance, de l´individualisme à l´altruisme.
A la fin, ils étaient bien contents d´être sortir d´eux-mêmes pour aller la rencontre de l´autre par ce
geste et ce signe anodins. Les jeunes ont vivement recommandé ce type d´initiative pour leurs centres res-
pectifs.
8

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Le journal du MSJ, Ebolowa 2007
Dimanche 22 juillet, la messe de clô-
ture a été présidée par Mgr Jean MBARGA,
évêque d´Ebolowa Kribi, concélébrée par le
Père José Antonio VEGA, Provincial des salé-
siens de l´ATE, et les salésiens venus avec les
différentes délégations. Son homélie selon ses
propres termes, fut une contribution à notre
réflexion. Notons que Mgr MBARGA
éprouve un vif intérêt sur ce thème. Parmi ses
publications, il a son actif un livre sur le
thème de la culture africaine et la problémati-
que de la vie, qui a aidé dans le traitement de
ce thème.
Il a fait une réflexion profonde dont
l´écho a fait bonne impression chez les jeunes.
La vie en Afrique est ensemble complexe dont
les notes essentielles sont : La naissance d´un
enfant, la famille, la terre, l´harmonie. Les
cultures africaines si éprises de vie doivent la
tirer en Jésus qui non seulement a la vie, mais
surtout est la source de la vie. Il a invité les
jeunes à être cette vie avec Jésus, à en être té-
moins et missionnaires.
Après la messe, le temps était dédié
aux photos de famille, de délégations avec
Mgr MBARGA, et le Provincial José Antonio
VEGA.
Par
ELA ENAM
André Young,
sdb
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L’ ATE marche...
Congo—Brazzaville
La Paroisse St Charles
Lwanga a vibré à un rythme de
joie intense dimanche 03 juin
2007, à l´occasion des 46 ans de
sa fondation.
A 8h 30, la cloche sonne
pour marquer le début de l’Eu-
charistie présidée par l’abbé
Yvon Mabandza, curé de la Pa-
roisse St Esprit de Moungali et
fils de la Paroisse, assisté de prê-
tres provenant des Paroisses en-
vironnantes, avec plus de 800
fidèles.
L’officiant principal, dans
son homélie, a invité les chré-
tiens à un engagement apostoli-
que plus profond. « Le change-
ment de comportement dans les
milieux de vie, le dialogue, l’uni-
té et l’amour dans les groupe-
ments et dans la Paroisse, à
l’exemple de St Charles Lwanga,
sont des valeurs indispensables
pour une vie chrétienne harmo-
nieuse et fructueuse », a rappelé
l’Abbé Yvon Mabandza.
Après la messe, un
concert de chants religieux est
organisé: tour à tour, les groupes
de la Paroisse (schola, chorale,
Emile Biayenda, Suffrage, Elisa,
Yamboté, ADS et même les ser-
vants de messe…) défilent au
podium pour présenter un petit
spectacle riche en couleurs et très
impressionnant.
La cour de la Paroisse est
envahie par la couleur du pagne
de St Charles Lwanga.
Après ce concert un grand
repas de famille regroupe
mamans, papas, enfants, et les
invités dans la vaste cour, dans
une ambiance musicale offerte
par la discothèque du Centre de
Jeunes.
En même temps le curé
de la Paroisse visite quelques
groupes et exhibe quelques pas
de danses au milieu de ses
chrétiens,
sous
les
applaudissements.
Une belle fête!!!
Continuant ses études, il
parcours plusieurs continents pour
être au service de Celui qui l’a appe-
lé.
et rentre à la Maison Provinciale et
au Scolasticat de théologie en tant
que Vicaire provincial de l’Afrique
Tropicale Equatoriale (A.T.E).
Missionnaire infatigable
Né à Münster (Valais –
Suisse), le 5 juin 1935, il entre
comme interne chez Don Bosco à
Sion en 1945 et poursuit sa forma-
tion en France.
C’est en septembre 1957,
quand il a fait ses premiers vœux,
qu’il prend le bateau (1 mois sur
mer) pour Hong Kong, sa première
terre de mission.
En juin 1966, il est ordonné
prêtre dans son village natal. Juste
après son ordination il va passer
deux ans de formation en liturgie à
Rome et rejoint le Vietnam (Tram
Hanh) dans un internat pour enfants.
En 1975, le Vietnam du
Nord envahit le Sud et tous les
étrangers sont renvoyés, exceptés les
russes. La même année il est nommé
Secrétaire de Don Ter Schure, puis
Directeur à Sion en Suisse.
Père Germain, fondateur
En 1984, à la demande de
Mgr Basile MVE, alors évêque
d’Oyem, il est fonde la communauté
d’Oyem, au Gabon, il y restera 9
ans. Puis il est nommé Curé de la
Paroisse St Jean Bosco de Pointe-
Noire en 1993.
En 1999, il quitte le Congo
En 2004, il est envoyé une
fois de plus au Congo, mais cette
fois à Brazzaville, à la Paroisse St
Charles Lwanga.
Toujours disponible et au
service de tous, le Père Germain ne
limite pas son apostolat à la Paroisse
St Charles Lwanga de Makélékélé,
mais il l’étend jusqu’aux commu-
nautés de sœurs installées un peu
partout dans la ville (Moukondo,
Mbouono, Kombé, Makélékélé) où
il va animer des recollections, retrai-
tes, confessions, messes… Ce qui
caractéristique de son charisme d’in-
fatigable missionnaire.
Que la grâce du Seigneur et
la Protection de la Vierge Marie
l’accompagnent tout au long de son
cheminement.
Teddy Bikumboti, CCSS
10

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2.1 Page 11

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Congo—Pointe-Noire
En prélude des activités de vacances à la paroisse St
Jean Bosco de Pointe-Noire, les animateurs se sont retirés
pour se former, afin de mieux encadrer les enfants à la colo-
nie de vacances et aux jeux olympiques salésiens. C’est
dans cette mouvance que nous avons tenu notre camp de for-
mation à Djeno 17 au 21 juillet 2007.
Cette activité que nous qualifions d’ailleurs de cou-
tume avait pour thème principale : « Maître que dois-je faire
pour avoir en héritage la vie éternelle ? » (Mt 19- 16, 19). Force est de signaler que ce camp de formation
a connu la participation de 47 animateurs et trois salésiens (Albert, Michel et Narcisse). Il a permis aux ani-
mateurs du Centre de Jeunes d’entrer avec intensité dans l’ambiance des activités de vacances et d’avoir
une idée de ce qui les attend, à travers les thèmes inscrits dans le planning de formation tels que : « Le sys-
tème préventif : « Relation entre animateurs et jeune dans l’oratoire centre des jeunes » ; « Les dix com-
mandements », « La colonie de vacances » ; « Les jeux olympiques salésiens » ; « La gestion de conflits » ;
et enfin « L’hygiène corporelle ».
Les orateurs ont amené les participants à réfléchir sur les raisons de défendre toute vie humaine à
l’exemple de Jésus qui proclame la valeur et la dignité de toute personne humaine ; c’est pourquoi il a res-
pecté la vie de chacun et a lutté contre tout ce qui la diminue et l’opprime. En tant que disciple du Christ ou
animateur salésien, nous sommes appelés à être missionnaire et témoins de cette bonne nouvelle. Cela im-
plique que nous nous engagions à promouvoir partout une culture de la vie et à endiguer la culture de la
mort si dominante dans nos sociétés actuelles.
En outre, ce camp de formation nous a donné les moyens pour mener à bien nos activités de vacan-
ces et de vivre des relations de qualité dans notre milieu social, surtout envers nos destinataires.
Cette année le Camp de vacances « Cava », a rassemblé soixante enfants et adolescents provenant
de divers horizons de la ville et des différentes familles. Ils étaient répartis en six équipes mixtes : Benja-
mins, Frères, Sœurs, Mères, Pères et Tantes. Nous avons traité plusieurs thèmes en équipes : « La présence
des parents dans l’éducation », « La gestion des conflits », « La tenue des parents devant les enfants »,
« La famille lieu de l’éducation des enfants » et « L’hygiène corporelle ». Les enfants éveillés répondaient
aisément avec brio aux questions qui couvraient les thèmes.
Art floral ou bricolage, danse chorégraphique, rélfexion sur les thèmes, excursion, sport sont les
principales activités qui ont meublé ce temps. L’art floral ou le bricolage a été salué dans l’ensemble.
Par ailleurs, enthousiasmés, les participants ont manifesté un grand intérêt pour la danse chorégra-
phique et la classe des chants. Car sans cesse, les enfants manifestaient leur joie de vivre ensemble avec les
autres au moyen des chants amusants et profonds. Les enfants et les jeunes ont exprimé leur gratitude au
Père Miguel Olaverri pour son savoir faire et au frère Quentin animateur salésien pour l’apprentissage de
la danse chorégraphique.
Le camp de vacances « Cava » a été clôturé par une grande kermesse. Elle a été un moment d’ami-
tié et de fraternité entre les enfants et les animateurs. Après le mot de remerciement du frère Albert à tous
les participants « cavalés », le rendez-vous a été fixé pour l’année prochaine.
C’est avec ces mots que les rideaux tombent sur la colonie de vacances 2007.
Narcisse BADIATA, sdb
11

2.2 Page 12

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Gabon—Oyem
Oyem { Gabon ) samedi 28 juillet 2007. Près de la frontière
camerounaise, le pittoresque bourg rural gabonais de Oyem voit arri-
ver depuis ce matin de nombreuses voitures. La Famille salésienne
arrive de partout. La frontière camerounaise s’est ouverte pour laisser
entrer ses délégations. David, 28 ans, enfant de Oyem, va prononcer
ses vœux perpétuels, comme coadjuteur salésien. Mgr Vincent Ondo,
évêque du diocèse, a jugé l’événement très important pour l’annonce
de Jésus-Christ. Il vient présider lui-même ce vaste rassemblement
dans sa ville épiscopale. La célébration liturgique, soigneusement pré-
parée, commence avec la participation de plusieurs centaines de per-
sonnes. La cathédrale s’est annoncée rapidement trop petite. Les orga-
nisateurs y ont renoncé et l’Ecole Technique Don Bosco a transformé
son stade en basilique de plein air. Les jeunes des quartiers ont su ima-
giner des présentations agréablement créatives. Curieusement, chaque
arrivant se sent accueilli sur ce terrain de sports « retouché », comme
dans un lieu de recueillement.
Déjà de très beaux dépliants sont offerts : « Au nom des salé-
siens de l’ATE, au nom de la paroisse Saint Basile et de la famille Zue
Metoule, nous vous souhaitons la bienvenue. Venus de loin, nous
avons voulu être témoins de l’engagement définitif par les vœux per-
pétuels à Dieu et entre les mains du Père Provincial, de David Beyeme
Zue Metoule. »
Le ton est donné. La chorale peut commencer. Les chants sont
« vrais ». Plusieurs des jeunes choristes savent qu’ils sont « envoyés ».
Ils viennent de passer une splendide semaine de formation internatio-
nale avec le Mouvement salésien des Jeunes.
Même sensation d’authenticité dans les lectures. La Parole de
Dieu est annoncée avec une attention « professionnelle » et dans la foi.
Lecteurs liturgiques, ces jeunes se font apôtres de leurs frères. « J’ai
compris au MSJ que c’est ma mission, dit une lycéenne »
David, au bas de l’estrade sur laquelle a été dressé l’autel, se
trouve entouré de sa famille, et des autorités civiles. Il s’approche au
moment de l’appel et prononce clairement son désir de s’engager.
Monseigneur a préparé une méditation simple et profonde sur
la joie de l’appel à le vie consacrée. Moment impressionnant lorsque,
au nom du papa malade, un des oncles, puis la maman viennent à tour
de rôle prononcer sur David prosterné, une bénédiction dans la langue
nationale locale. Souvenir émouvant des lointaines traditions africai-
nes et des plus beaux événements bibliques.
Le Père Provincial entame ensuite le dialogue de l’engagement
définitif. La voix assure : « David est maintenant salésien pour tou-
jours ». Les applaudissements et les youyous éclatent. L’ Afrique
chante son enfant qu’elle donne à Dieu. La prière traverse la joie des
embrassades et des danses. Un peuple chante la louange de ses Psau-
mes et revit les récits les plus imagés de son Histoire.
JB BERAUD, sdb
12

2.3 Page 13

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Ils nous ont précédés…
Mardi 06 août, ont lieu les obsèques de Sr Ana Rosa VE-
LANDIA, en la Paroisse Marie Auxiliatrice de Yaoundé. La messe
a été présidée par le Père José Antonio VEGA, en présence de
toute la Famille Salésienne de Yaoundé et de religieux, du Vicaire
Général l’abbé Ateba Befe, des amis et connaissances. Quelques
lignes biographiques sur Ana Rosa ont été relevées au cours de
l´homélie.
Sr Ana Rosa a fait profession dans la Congrégation des Sacrés
Cœurs de Jésus et Marie, fondée en Colombie par le Bienheureux Luis
VARIARA, salésien italien, missionnaire à la léproserie de Agua de Dios, il y a un siècle.
Sr Ana Rosa est arrivée en Afrique, notamment en Guinée Equatoriale à la tête d´un groupe de sœurs, en
janvier 1986. Elle a été la fondatrice des œuvres d´Afrique dont elle a été la première Supérieure : Evinayong, 1986 ;
Bata, 1991 ; Yaoundé, 2002 où elle vécut dans la simplicité, la pauvreté, la disponibilité. Mais avant la fondation de
celle de Yaoundé, elle a dû passer un certain temps en Colombie pour des problèmes de santé.
Chaque fois, Sr Ana Rosa a entretenu des relations cordiales, d´amitié sincère, de fraternité de collaboration
avec les salésiens qu´elle rencontrait ET qui L4aidaient sans hésiter dans les travaux d’implantation de ces œuvres.
C´est le cas de l´œuvre de Bata avec le Père José Antonio VEGA alors Directeur de la Communauté salésienne de
Bata, l´œuvre de Yaoundé avec le Père Miguel Angel OLAVERRI Provincial de l´époque.
En qui ce concerne sa personnalité, la Supérieure générale de la Congrégation, Madre Eulalia
MARÍN a fait ce témoignage très saisissant : « Nous avons perdu humainement une grande valeur pour
l´Institut, et je sens dans mon cœur la douleur de sa place vide en regardant nos présences. A l´occasion de
ma visite l´année passée, je la contemplais toujours comme une femme courageuse. Tournée vers l´avenir.
Elle reprenait toujours les situations difficiles. Toutefois, non nous avons gagné un intercesseur dans le ciel
où déjà, elle a reçu la couronne éternelle».
A propos de ses convictions religieuses, le Père Perza, salésien colombien, chargé de la formation
permanente partout en Amérique, assistant et accompagnateur des Sœurs des Sacrés Coeurs de Jésus et Marie, dira :
« Dans l´histoire de l´Institut, la Sœur Ana Rosa a une place très significative. Lles années où j´étais l´assistant
religieux, j´ai partagé avec elle les préoccupations pour le Mouvement séculier de l´Institut et sa passion
missionnaire, concrétisée dans sa passion d´évangélisation et d´éducation en Afrique. Eelle était séduite par
l´Afrique, jusqu´à vouloir y rester pour toujours. Et le Seigneur le lui a accordé. Elle reste dans sa terre comme le
grain de la parole évangélique. Elle reste parmi les malades, les humbles familles, les jeunes générations de ce
continent éprouvé, mais riche en valeurs humaines et culturelle et prometteur pour l´avenir de l´humanité et de
l´Eglise ».
Tout ce qui était grand ou constituait un défi touchait le cœur de Sr Ana Rosa. Avec une grande foi
dans le Seigneur et les personnes rencontrées dans sa mission apostolique, elle était une femme tournée
vers l´avenir. La douleur d´autrui était sienne. L´Institut était vraiment sa patrie, sa terre naturelle : elle
était faite pour cette admirable vocation, et le Père fondateur Bienheureux Luis VARIARA était vivant et
palpitant dans toute son histoire vocationnelle et dans ses rêves missionnaires. Le Père José Antonio Vega,
Provincial qui a apprécié la qualité de sa vie religieuse attestera ainsi qu´il suit : « D´elle, j´ai les meilleurs
souvenirs : ses combats personnels pour assumer les valeurs de sa vie religieuse, pour devenir une meil-
leure sœur, plus serviteur des pauvres, meilleure formatrice et missionnaire. Elle avait travaillé son carac-
tère, ses impatiences et ses inquiétudes ».
En somme, Sr Ana Rosa a voulu vivre concrètement l´intuition profonde de la parole de Dieu de ce
jour 2 Th, 2, 8-13: « Une chose est sure : Si nous souffrons avec Lui, avec Lui nous vivrons ; et nous sup-
portons avec Lui, avec Lui nous serons rois ».
D´après l´homélie prononcée par José Antonio Vega, Provincial
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2.4 Page 14

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Ils nous ont précédés...
Mr ZUE METOULE Jean-
Marie, papa de notre confrère David
METOULE est décédé le 17 août 2007.
Les obsèques se sont déroulés
dans le calme ce mercredi 22 août. Y ont
participé, en plus d’un nombre assez im-
portant de fidèles, le Provincial (le P. Jo-
sé Antonio VÉGA) venu de Yaoundé, les
confrères de la communauté d’Oyem, la
communauté des FMA d’Oyem, un Abbé
diocésain. La messe d’enterrement a été
présidée par le Vicaire Général du dio-
cèse d’Oyem. Dans la nuit, eut lieu une
veillée animée par la Chorale Saint Fran-
çois de Sales du Centre Don Bosco.
Remercions Dieu pour tout le
bien accompli par M. ZUE METOULE
Jean-Marie lors de son séjour sur cette
terre. Continuons de prier pour sa fa-
mille.
Papa Joseph, le père de la Sœur Michèle Nyangono, fma, est
décédé dans le semaine du 28 juillet.
Les Pères Alfonse Owoudou, Roland Mintsa et Mi-
guel Angel Nguema ont pris part aux obsèques, qui ont eu
lieu samedi 4 août 2007 dans le village familial,à N'kan.
Ils ont ainsi accompagné la famille et surtout la Sr Mi-
chèle dans ce moment douloureux.
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2.5 Page 15

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Divers
" Du 21 au 26 août 2007, une retraite a re-
groupé au Scolasticat de Théologie St Augustin de
Yaoundé, plusieurs jeunes salésiens "en stage". A
eux s'étaient joints quelques autres confrères. Le
Père Joseph Khondé qui assurait les prédications, a
parlé vigoureusement sur nombre de situations ac-
tuelles qui peuvent miner sur le continent noir, l'épa-
nouissement du charisme salésien. Face à ces ris-
ques, il a montré aussi avec force les richesses des
jeunes qui arrivent dans la Congrégation. Dans la
tradition des "griots" chantant l'amour et la tristesse,
sont nés à partir de ces réflexions de nouveaux cou-
plets sur un air connu et apprécié. Nous vous les fai-
sons partager volontiers.
Quand tu apportes tes dons de pauvreté
6) Merci Joseph, pour ta vie salésienne
Pain et travail, paradis assurés
Faisons la fête chez la samaritaine
C’est le Seigneur qui l’a transfigurée
7) Gloire au Seigneur des plus belles fontaines
Dans son Royaume constamment rénové
C’est toujours fête en famille africaine
Refrain :
Quand celle de Dieu se trouve respectée
Il y a longtemps que tu m’aimes
Jamais je ne t’oublierai (bis)
8) Dansons de joie chez la samaritaine
Regardons bien le soleil se lever
1) Te souviens tu de la claire fontaine
Et des paroles de notre frère José
Christ est présent sur la terre africaine
Et Notre Dame vient
Il donnait l’eau de la Samaritaine
Et notre monde était renouvelé
JB Beraud, sdb
2) Entrait en fête la famille africaine
Se découvraient des gens tout transformés
Portons du vin à la Samaritaine
Comme à Cana, son eau fait la clarté
3) De ton village, petit’ sœur africaine
Va-t-en sans peur pour aller étudier
Car ta famille s’est faite salésienne
Plus rien ailleurs ne peut plus t’arrêter
4) Toi l’enseignant, change ta vie ancienne
Oublie le faux des mensonges usés
Cueille la joie de la Samaritaine
C’est Don Bosco et c’est ton frère José
5) Regarde bien chère famille africaine
Don Bosco vient, heureux sur tes chantiers
Et elle danse, l’amie samaritaine
Je suis allé voir mon médecin qui
m'a dit: "Il faudrait que tu perdes un
peu de poids". Je lui ai alors demandé
s'il connaissait une recette miracle
pour perdre cet excédant. Il m'a ré-
pondu: "tu n'as qu'à couper les des-
serts".
Depuis ce temps, avant de man-
ger une tarte ou un gâteau, je les
coupe en trois ou en quatre.
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Divers
Mois de septembre 2007
01 P. BRIONES Armando
06 S. MATSOUMBOU Jerry Chase
07 L. DUTEL Jean-Pierre
08 P. GUYEN Jean-Baptiste
10 S. KOUALAMA Kevin
15 S. ELA ENAM André Young
16 P. JODIO Marius
20 P. SANCHEZ Luis Javier
23 L. RAMADAN Sébastien
27 S. BADIATA NArcisse
@te.media
Salésiens de Don Bosco
Maison provinciale
B.P. 1607, Yaoundé-Cameroun
Directeur de publication
José Antonio VEGA
Administration
José Maria SABE
Délégué à la Communication
Jean-Baptiste BERAUD
Rédacteur en chef
ELA ENAM André Young
andrepapy@yahoo.fr
Rédaction
P. Miguel Angel NGUEMA
Pendant deux semaines, le père et le mère du
Miguel Angel Nguema ont séjourné durant trois semai-
nes, à la Maison Provinciale. A l´issue de ce séjour, le
Papa a tenu à adressé sa gratitude aux confrères avec
un cœur débordant de joie.
Le voyage que nous avons effectué à Oyem via
Ebolowa à l´occasion des vœux perpétuels de du jeune
salésien David a été riche et fort intéressant. La célébra-
tion a été très belle.
Ma grande impression fut la découverte de la
grande œuvre de Don Bosco, fondée dans l´amour et
l´action, prenant appui sur des piliers : Jésus et Marie.
Jésus invite à l´action selon l´Evangile, poussé avec
l´amour de Marie Auxiliatrice. Une action sans amour
est stérile. Sans amour les actions sont mortes.
Je prie Dieu qu´il m´accorde de saisir ces deux
piliers, selon sa volonté.
Je rends grâces à la communauté salésienne de
la Maison Provinciale, et spécialement au Provincial
José Antonio Vega qui, par cet accueil chaleureux à
mon égard, a rendu possible la découverte de ces mer-
veilles.
Béni soit Dieu, que le Christ règne pour toujours
et pour la gloire de Dieu le Père. Amen.
Le papa de Miguel Angel Nguema
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