atemedia56-10-05


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D ossier du mois






Vice- Province Salésienne « Notre Dame d’Afrique »

Afrique Tropicale - Equatoriale

B.P. 1607 - Yaoundé – Cameroun

Tél. (237) 222.22.21 Fax : (237) 222.22.51. E-mail : jeanbberaud@yahoo.fr

http://ate.homily-service.net



Dans ce numéro :


N° 56 OCTOBRE 2005/ 7è ANNEE


E



Editorial P.1



Dossier

Formation P.2


Echos du conseil P.4



Flash pastoral P. 5



L’ATE en marche P.7



Nouvelles brèves P.11


Humour et sagesse P 12


Pour servir à l’histoire de l’ ATE P.13



Anniversaires P. 14



DITORIAL


UNE NOUVELLE ANNEE PASTORALE


Les Communautés sont en pleine ébullition. Il y a certainement eu des difficultés pour que chacun soit enfin à sa place. On avance dans les horaires, programmes, projets communautaires et projets de pastorale. Selon les pays, certaines communautés travaillent dans les écoles depuis 15 ou 20 jours ; d’autres sont en train de commencer ces jours-ci.

Tant d’initiatives nouvelles ou relancées créent un esprit de générosité et de collaboration entre tous pour vivre comme des frères un même projet de vie et d’action. Nous savons que nous n’avons pas assez de personnels pour répondre efficacement à un programme qui demande:

- Un soin particulier de la formation de nos laïcs professeurs, catéchistes et animateurs.

  • Une relance de l’esprit salésien d’évangélisateurs des milieux populaires et des jeunes.

- Une attention spéciale pour les orientations de la Province pour grandir dans une mission que l’Eglise nous confie dans la sous-region.

- Une mise en pratique des sages orientations pastorales de nos documents salésiens pour les Paroisses, les Or-Centres des jeunes et les Ecoles.

- Une présentation du cheminement vocationnel salésien à ceux qui seront appelés par le Seigneur et qui veulent travailler pour le Royaume sur les traces de Don Bosco.

- Un accompagnement de tous nos confrères et de leur travail par une prière fervente.


Tant de tâches et tant de programmes ! A nous de commencer unis en communauté, généreux et disponibles à donner le meilleur de nous-mêmes, sacrifiés à être au milieu des jeunes, ouverts à une réponse toujours fidèle à Dieu.

Je vous accompagne et me mens unis à tout votre travail.


Bonne année pastorale !

J. A VEGA ( Provincial ATE)


Dans la ligne des suggestions faites par les Directeurs pendant la rencontre de janvier,


Le Conseil Provincial propose à chaque Communauté :


- Une rencontre hebdomadaire de la Communauté une fois par mois pendant laquelle un temps suffisant sera dédié à la réflexion et au partage autour d’un thème,


-pour faciliter quelques moments de formation

-de communication plus profonde, d’esprit de famille


-« Ate media » offrira chaque mois une fiche simple avec des suggestions pour le partage.

Le Provincial enverra cette fiche mensuelle aux Directeurs.


-Cette fiche offre :


  • Quelque texte sur le thème pour la méditation personnelle.

  • Autres textes, que la Communauté peut profiter pour la lecture spirituelle la semaine avant la rencontre.

  • La fiche peut être donnée une semaine à l’avance à chaque confrère.

  • Si la Communauté le croit opportun, le Secrétaire de chaque Communauté peut envoyer à la Province le rapport de cette réunion.




FICHE DEUXIEME:Octobre 2005







Réflexions :


1.-« Puisque, de nos jours, l’éducation et l’évangélisation des jeunes demandent des Salésiens marqués d’une vie intense dans l’Esprit, qui puissent dire et donner Dieu aux jeunes, il est nécessaire :


  • de mettre au centre de la vie personnelle et de la vie communautaire le Christ,

la vie de prière et la vie sacramentelle ;

  • d’organiser la vie communautaire en fonction de la position centrale de cet aspect fondamental ;

  • d’exploiter les indications que nous donnent les Constitutions dans ce secteur, en vivant avec sérénité l’obéissance, la chasteté et la pauvreté ;

  • de consolider ou d’intensifier les temps de prière pour les vocations dans toutes les communautés ». RM, nº 389, p. 60





2.-« La vie consacrée peut être significative si, comme « maison bâtie sur le roc », elle se fonde sur l’adhésion inconditionnelle à Jésus Christ, s’ancre à l’option évangélique de la sainteté et se situe aux frontières de la mission ecclésiale » (CG25, 2).  RM-389, p.58


3.-«Le premier, évidemment, c’est la célébration de l'Eucharistie, "l'acte central et quotidien de chaque communauté salésienne" ; en elle "l'écoute de la Parole trouve son lieu privilégié" (Const. 88). Cette affirmation de notre Règle de Vie reflète une ferme conviction de la tradition patristique, qui d’ailleurs se fonde sur l'enseignement de Jésus : celui-ci dit qu’il est le pain de la vie transmise par sa parole et son corps pour ceux qui croient en Lui  (Jn 6,47.54) : dans la Parole accueillie nous recevons le Christ, comme nous le recevons dans l'Eucharistie. "L'Eglise a toujours vénéré les divines Écritures, comme elle l’a toujours fait pour le Corps même du Seigneur, elle qui ne cesse pas, surtout dans la Sainte Liturgie, de prendre le pain de vie sur la table de la Parole de Dieu et sur celle du Corps du Christ".


 Dans l'Eucharistie, que nous célébrons tous les jours, nous est précisément préparée cette double table, avec ce seul pain de vie. Il s'agit d'une grâce, semblable à celle qui entra dans la vie des disciples d'Emmaüs, qui nous permet d'ouvrir les yeux, de voir le Christ Ressuscité tandis qu'il rompt le pain et de le reconnaître (Lc 24,30-31). Mais pour que  cela  arrive,  il  est  nécessaire  de  marcher  avec  Lui  et  de  L'écouter  tandis  qu'il nous explique les Ecritures. C’est seulement ainsi que nous sentirons brûler notre cœur (Lc 24,32). En définitive, d’abord on l’écoute et ensuite on le voit. » RM,.nº 386,p.37


4.-Consolider la vie spirituelle: (Parce qu’on se centre aux activités, à la gestion des projets, aux relations humaines, aux préoccupations économiques…)

-Soigner les moments de prière communautaire, de participation aux sacrements ;

-La lectio divina (Rencontre des Directeurs 2005)


5.- « Dans un monde, où les traces de Dieu semblent souvent perdues — et comme salésiens nous contemplons avec préoccupation le monde des jeunes —, on attend de nous un témoignage persuasif pour sa cohérence entre l'annonce et la vie, et prophétique pour son affirmation de la primauté de Dieu et des biens futurs. » (RM,386, pg.46)


6.-Autres textes: Const, nº 85-95 ; ACG 386 (Choisir les textes plus intéressants) ; CG 25, nº 10-22 ; 30-33 ; Letre RM à l’ATE,nº 1


Q uestions pour le partage :


1.-Comment la Communauté a organisé cette année les moments de prière, de réflexion ? Sont-ils indiqués par les Constitutions, le Directoire de la province ?


2.-Comment est la qualité de notre vie spirituelle en Communauté ?


3.-Quelle importance à l’Eucharistie, la méditation, la direction spirituelle, la confession, l’entretien fraternel avec le Directeur… ?


4.-Les gens aperçoivent notre témoignage de façon claire ? Dans quels aspects ?


5.-Quelle place donne la Communauté et chacun de ses membres à la prière personnelle, à la prière du chapelet, à la lecture spirituelle personnelle… ?

.



Du Conseil provincial qui s’est réuni en sa session ordinaire du mois de septembre 2005, nous voulons partager à nos confrères les points essentiels qui ont constitué le centre des réflexions :



1. Situation des Communautés : Sur ce point le Conseil a passé en revue chacune des communautés composant notre province. Ce parcours a permis de voir les particularités de chaque communauté avant l’entame de la nouvelle année pastorale. Il faut signaler que le Conseil a constaté que certaines communautés ont pris du retard à démarrer parce que l’un ou l’autre membre n’avait pas incorporé sa communauté. Et pour les communautés de prénoviciat, fort est de constater que la question des papiers ( Visas, passeports, examens) pose toujours problème quant à l’incorporation des prénovices dans leurs communautés respectives


2- l'ordination épiscopale de Mgr. A. Vanbuel

Il a été aussi question dans cette session du Conseil de préparer la participation de la Province à l'ordination épiscopale de Mgr. A. Vanbuel le 28 septembre 2005, soit en terme de présence des confrères, soit pour la participation financière.


3. Révision des rencontres provinciales:

Le Conseil a tenu aussi à évaluer les différentes rencontres provinciales qui ont eu lieu pendant les grandes vacances ( Juillet-Septembre). Il s’agit des rencontres pour : gestionnaires avec Comidé ; Economes des Communautés avec le P. Sabe ; Stagiaires avec le P. Olaverri ; animateurs à Kribi avec le P. Nguema ; assemblée et retraite des confrères. Toutes ces rencontres ont été évaluées positivement, même si le facteur présence reste quelque peu à désirer. Il y a un grand effort à faire à ce niveau pour certaines de nos communautés.


3. Préparation de la nouvelle communauté du Théologat

Il a été aussi question, pour le Conseil, de voir comment préparer la rentrée des théologiens dans la nouvelle Maison de Nkolbisson à partir du 15 septembre 2005. Il s’agissait de voir : Les lignes formatives sur lesquelles la nouvelle équipe de formateurs devrait insister; le matériel nécessaire pour l’installation des confrères étudiants ; et enfin, le personnel employé de cette communauté.


4. Situation du chantier Théologat

L’économe a présenté au Conseil le budget des constructions et l’avancé dans l’exécution. Une des conclusions de ce compte rendu était qu’il fallait présenter une nouvelle demande d’aide au Recteur Majeur pour la session de décembre afin que le chantier ne connaisse pas de temps- morts.


5. Autres points débattus : Situation des bienfaiteurs d'Ebolowa, retraites spirituelles de l’année, lieux d’affectation des prénovices et leur programme pour l’année, budget économique de la Province, études des projets divers des communautés : Bangui, Mikomesseng, Port-Gentil, préparation de la rencontre d’octobre avec le Conseil provincial des FMA-AEC et enfin, compte rendu de la visite du P. NGUEMA à Lomé.



Le secrétariat du Provincial























Un des objectifs de la pastorale des jeunes pour cette année et que nous avons présenté aux confrères pendant l’assemblée de Mbalmayo et aux animateurs à Kribi est celui de consolider et promouvoir là où il n’y en a pas encore, le Mouvement salésien des jeunes. Tout au long de cette année j’aimerai donner quelques lignes d’actions pour chaque objectif présenté et ce mois, permettez–nous de commencer avec ce mouvement que nous sommes invités à rendre réalité en Guinée Equatoriale, Gabon, Centrafrique, Tchad, Congo et Cameroun.

L’année pastorale passée nous avons déjà présenté l’identité du Mouvement salésien des jeunes, voilà pourquoi nous voudrions insister maintenant sur qui peut faire partie de ce mouvement :


Premièrement :

Tous les groupes issus du charisme salésien : Amis de Dominique Savio, Anciens élèves de Don Bosco, Association des Amis de Don Bosco…

Deuxièmement :


Les animateurs salésiens qui travaillent dans nos oeuvres








Troisièmement :

Les groupes et les mouvements chrétiens de jeunes Exemple : jeunes du monde, Kisito, Kemkogui…mais ceux-ci ont besoin de faire la demande explicite d’adhésion auprès du conseil local.

Quatrièmement :

Les groupes informels nés dans le contexte de l’Oratoire- Centre de jeunes salésien : groupe de basket, théâtre etc..








Attention : Nous parlons bien de groupes et non pas des individus isolés. Il n’y a pas d’adhésion individuelle au Mouvement salésien des jeunes car c’est un mouvement de référence et non pas d’appartenance comme les mouvements ecclésiaux ordinaires.


La Délégation de la pastorale des jeunes ATE




CAMEROUN

1

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1.1 A KRIBI, LES JEUNES ANIMATEURS DU GABON ET DU CAMEROUN

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2 Kribi ( Cameroun ), vendredi 26 août 2005 ( ANS ) – Du vendredi 19 août 2005 au Jeudi 25 août 2005, une session d’animateurs de Centres de Jeunes s’est déroulée dans la Maison de vacances « Don Bosco près de la cité balnéaire camerounaise de Kribi.

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Cette rencontre internationale de jeunes gabonais et camerounais se révèle déjà comme une réussite. Mais le projet des organisateurs attendait davantage. Tout ce qui touche à l’éducation des jeunes devrait revêtir une grande importance pour les autorités d’un pays. La jeune Province de l’ATE recouvre les six pays de la CEMAC, Cameroun, Centrafrique, Congo Brazza, Gabon, Guinée Equatoriale et Tchad. Si les distances forment de vrais obstacles, il doit être possible néanmoins d’espérer des facilités pour des rencontres de jeunes entre pays voisins où les routes se sont notablement améliorées. Pourquoi les avancées en ce domaine restent si difficiles ? La libre circulation des personnes et des biens, acceptée entre les gouvernements de la CEMAC peuvent encore rester lettres mortes tant qu’une volonté politique ne se fera pas plus vigoureuse. Dommage que seuls Gabon et Cameroun aient pu se rencontrer ! Finalement 46 jeunes gens et jeunes filles ont pu bénéficier de cette « première ». Animateurs eux-mêmes de dizaines de jeunes dans les quartiers populaires de Mikolongo à Libreville, de Mimboman à Yaoundé ils se sont communiqué leur savoir faire. Les délégués de Oyem, d’Ebolowa et de Mvog Ada se sont faits de nouveaux amis. Tous ont travaillé avec application sur les différents thèmes.

Le Programme de la session a été soigneusement préparé par le Père Miguel Angel Nguema, délégué Provincial à la Pastorale des Jeunes. Différents livrets viennent appuyer chaque jour les échanges de réflexions et d’expériences. Le Père assure lui-même la journée du samedi 20 en présentant les principaux engagements de l’animateur.

Le dimanche est réservé à l’étude de la communication : rédiger un article, faire un Bulletin, assurer un interview, ou un reportage. Plusieurs groupes ont déjà commencé à mettre en pratique ce que JB Beraud peut leur faire découvrir. Le lundi, Eleuterio, étudiant en théologie, fait appel à de multiples ressources pédagogiques pour explorer tous les cheminements d’un bon oratoire salésien. La soirée s’ouvre à toutes les expressions. Danses et sketchs alternent avec les meilleurs articles des « journalistes » de la veille.

Le Père José Antonio Vega, Provincial, clôture cette « Université d’été » de jeunes animateurs en présentant une « éducation aux valeurs ». Particulièrement centré sur la sexualité, son exposé provoque nombre de questions. Pour beaucoup, commence à naître un nouveau regard sur ces réalités humaines, et s’ouvre un chemin neuf vers une spiritualité du quotidien.

Trois autres éditions annuelles doivent compléter ces journées. Don Bosco aimait rêver ! Est-il impossible d’imaginer avec lui, sous des formes diverses, avec la compréhension des différents gouvernements, de tels échanges pour les jeunes des six pays ?


Jean Baptiste BERAUD, sdb pour ANS







CAMEROUN - PREPARER DES GESTIONNAIRES

Yaoundé, mardi 16 août 2005 ( ANS ) – Du 5 au 17 août 2005 s’est tenu dans la Maison Provinciale de Yaoundé, un  « séminaire de formation à la gestion des biens de la communauté salésienne ». Souhaitée par le Conseil Provincial et guidé par l‘Econome Provincial, cette rencontre s’affirme déjà comme un succès.


Dix participants ont bénéficié de cette session. Laïcs, religieux coadjuteurs ou prêtres, ils sont venus des deux implantations salésiennes du Cameroun, mais aussi du Congo, du Gabon et de la République Centrafricaine. Deux professeurs de « L’Institut des Techniques Informatiques et de Gestion » ont animé tous les jours les cours théoriques et commenté plusieurs visites pratiques sur le terrain. C’est ainsi que tous ont pu, après étude des plans, analyser sur place le chantier du prochain scolasticat en construction dans la banlieue de la capitale camerounaise.

Le programme du séminaire vise une éthique de haut niveau, dont l’importance n’échappe à personne en ces temps où l’on ne compte plus les scandales de corruption qui éclaboussent entreprises et dirigeants là où tout semblait « excellente terre de confiance ». Les sessionnaires sont avertis. Le livret qui leur est remis signale clairement :  « Pour une information transparente de l’état comptable de la communauté ». Les divers cours leur dispensent de nombreux éléments sur l’entreprise, la comptabilité, le bilan, les inventaires, le classement des documents. Il les oriente aussi dans la politique financière, le choix des investissements. Chacun a à sa disposition un ordinateur avec lequel il peut se familiariser sur les derniers logiciels.

Du 22 au 24 août, les Economes et les Comptables des différentes œuvres se réuniront à leur tour. Dix-neuf personnes sont attendues pour réviser la marche économique de la jeune Vice-Province qui vient de fêter ses six ans.

Le Bureau de Développement « Ensemble ATE » et son partenaire international, le « DMOS-COMIDE » sont connus pour leur souci d’une vraie promotion humaine. Ils viennent de montrer que les nécessités du marché peuvent faire aussi découvrir des chemins spirituels vers de meilleures sociétés.

Jean Baptiste BERAUD, sdb pour ANS


CAMEROUN - EBOLOWA

NOUVEAU PRETRE SALESIEN

Le samedi 9 juillet 2005, s’est déroulée à Ebolowa, l’ordination sacerdotale de Roland Mintsa.


Dès 9 heures, la grande cour qui avoisine l’église de la paroisse Notre Dame de Fatima voit arriver voitures et bus qui amènent de tous les horizons de nombreux amis. Les paroissiens veulent revoir l’enfant du pays. La délégation de son village natal est venue nombreuse. Les associations chrétiennes de la paroisse St Joseph de Mvog Ada de Yaoundé, où Roland a participé assidûment durant ses quatre années de théologie se sont organisées pour être largement représentées. La Famille salésienne est au rendez-vous. Les salésiens ne se sont pas seulement mobilisés dans leurs deux implantations de Yaoundé. Ils ont franchi les frontières, et ils arrivent de Guinée Equatoriale, du Gabon, du Congo Brazzaville. C’est la Fête du Seigneur. C’est la Fête pour tous.

La joie éclate dans l’église comble lorsqu’au début de la liturgie, à la demande du Père Provincial José Antonio Vega, Mgr Jean Mbarga, évêque d’Ebolowa-Kribi, répond qu’il est d’accord pour ordonner prêtre Roland Mintsa. Les salésiens ont fêté leurs 20 ans de présence à Ebolowa le 30 novembre 2003. Roland est le quatrième jeune que cette oeuvre voit devenir prêtre à la suite de Don Bosco.

JB BERAUD, pour ANS




REPUBLIQUE CENTRAFRIQUE

ORDINATION EPISCOPALE DE MGR ALBERT VANBUEL

Le matin du 28 septembre dernier, a eu lieu la cérémonie liturgique pour l’ordination épiscopale de Mgr Albert Vanbuel, salésien missionnaire d’origine belge, dans son siège diocésain de Kaga-Bándoro. La petite ville rurale, capitale d’un vaste diocèse, était entièrement réunie sur l’esplanade près de la cathédrale. Etaient présents le Président de la République et plusieurs ministres. Du côté ecclésiastique, participaient au rite de l’ordination 5 évêques de la nation, Mgr Basile Mve, salésien archevêque de Libreville, et l’évêque de Sarh (Tchad). Nombreuse également la présence salésienne, avec le conseiller pour la Région Afrique-Madagascar, père Valentín de Pablo, le provincial père José Antonio Vega, la supérieure des Filles de Marie Auxiliatrice, et d’autres salésiens de la Province ATE et de la Belgique. La cérémonie, simple mais bien préparée, a duré 3 heures, sous l’ombre des arbres qui protégeait les participants du soleil tropical. Au terme de la célébration d’ordination, le nouvel évêque a adressé à l’assemblée quelques paroles de remerciement pour une présence si nombreuse et significative, et a assuré sa disponibilité dans l’oeuvre de construction de son jeune diocèse comme second évêque. Le diocèse, situé à environ 400 kilomètres de Bangui, se trouve dans une zone agricole, avec beaucoup de structures paralysées par la guerre, avec des routes en mauvaises conditions et des communications électroniques inexistantes. Le diocèse comprend 13 prêtres diocésains, une communauté de comboniens et 4 communautés de religieuses.

JB. Beraud, sdb pour ANS



UNE LETTRE DE Mgr ALBERT VANBUEL

Le 21 juillet, le nouvel évêque écrivait à notre Rédaction les précisions suivantes :


« J'ai demandé à être consacré évêque à Kaga-Bandoro, parmi mes brebis. J'ai demandé au premier Evêque (1997), dont je serai le successeur, d’être l'évêque consécrateur. Il est aussi le Président de la CECA (Conférence Episcopale de Centrafrique )…

L'Eglise de Centrafrique est née en 1894 par des missionnaires spiritains. Elle compte maintenant neuf diocèses, avec seulement 3 évêques autochtones et 6 évêques missionnaires: 2 capucins italiens (Mgr Gianni et Mgr Delfino), 2 comboniens (Mgr Rino Guerrino et Mgr Juan Aguirre), 1 spiritain allemand depuis décembre 2004 à Alindao, et maintenant 1 salésien (Mgr. Albert Vanbuel qui est belge flamand comme Mgr. Luc Van Looy).

Kaga-Bandoro se situe au nord, vers le Tchad, à 400 km de Bangui. Très peu peuplé, le diocèse compte 120.000 habitants, le même nombre que la paroisse St Jean où le Père Albert Vanbuel était curé de 1995 à 2003, mais un territoire aussi vaste que trois fois la Belgique.

La richesse du sol n'est pas exploitée. Et la population est encore plus appauvrie par une suite de coups d'états et de mutineries qui se sont déroulées depuis 1996 jusqu’en 2003. Le diocèse compte huit paroisses, très vastes donc, et plusieurs chapelles

Il y a dans ce diocèse seulement quatre communautés religieuses féminines et une communauté masculine. Mgr. Vanbuel "rêve" donc d'accueillir des communautés. Il pense aux FMA qui ne sont pas encore présentes dans le pays, et, pourquoi pas, à une nouvelle communauté de salésiens ...

Don Bosco lui-même m'a donné ma devise épiscopale: "Da mihi animas, coetera tolle". Qu'il me dirige, avec la Madonne Auxiliatrice!

+ Albert Vanbuel »



2.1 GABON - LIBREVILLE

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J.M.J. COLOGNE 2005 AVEC BENOÏT XVI


Plus d'un million de Catholiques et Protestants ont participé aux 21èmes journées Mondiales de la jeunesse à Cologne"

Quelques jours, avant le début du lancement officiel des journées Mondiales de la jeunesse. Cologne et les villes voisines, se laissaient envahir de tout côtés par de nombreuses vagues des jeunes venant de divers continents. Il faut souligner à cet effet,l'accueil chaleureux que les allemands ont réservé aux étrangers dans leur pays. Plus louable encore est l'effort d'hébergement fourni gratuitement à l'endroit des visiteurs- je fus moi-même hébergé pendant plusieurs jours par deux généreuses familles différentes; la mise en disponibilité des véhicules personnels; la ration alimentaire riche en tout, les salutations, les renseignements divers et tant d'autres gestes de délicatesse ont été remarquables

En outre l'une des choses qui m'ont marqué sont ces panneaux sur lesquels était écrit en plusieurs langues: " Nous sommes venus l'adorer"; Thème du J.M.J. Les journées étaient assez surchargées avec des moments intenses de formation humaine et chrétienne. Des moments de confession, d'adoration, de prière personnelle. C'était alors, par moment, l'occasion d'interminables débats entre jeunes ou encore entre jeunes et les hommes d'Eglise présents. Entres autres débat, la position et les défis de l'Eglise catholique face à certaines situations que connaît notre société (la question du préservatif, de l'avortement, du célibat des prêtres....).

Les moments d'animations étaient véritablement des moments de célébration de l'unité mondiale des cultures, avec ce qui se donnait comme brassage des cultures. Les Africains, continent le moins représenté, se laissaient admirer, apprécier, envier à travers leurs maquillages, leurs chansons cadencées, des pas de danse divers et extraordinaire. Ceux-ci attiraient à leurs trousses un grand nombre de curieux européens et journalistes de par le dynamisme festif, l'amabilité et la jouvence qu'ils incarnaient.

Le samedi 21 août au petit matin, à travers le brouillard, les milliers de fidèles et pèlerins convergeaient par petits groupes, drapeaux et étendards en mains, vers la plaine de Marienfeld pour la messe de clôture. C'était l'une des premières grande messe internationale du Pape Bénoît XVI. Au cours de celle-ci, le Saint Père a invité les jeunes à rejoindre l'Eglise par une lutte inlassable contre l'oubli de Dieu et "la religiosité à la carte". "Vivez en adorateur de Dieu dans l'eucharistie" insista -t-il. La messe s'acheva par la remise du logo rouge, jaune et bleu de ces 21èmes J.MJ. aux représentants des cinq continents comme symbole d'un parcours à poursuivre. L'Afrique a reçu l'Etoile signe de lumière et d'orientation. Et enfin le pape a dévoilé le lieu des prochaines J.M.J. en 2008. Les 22ème journées mondiales de la jeunesse se dérouleront à Sydney en Australie.

De tout cela nous avons été témoins. Toute la délégation gabonaise a vu et entendu que Dieu aime les jeunes



Désiré Adjeckam S.D.B



C


ONGO BRAZZA


Le Festival « Tréteaux de Sales »

s’est déroulé au Centre des Jeunes de la Paroisse St Charles Lwanga, du 25 juin au 2 juillet 2005, avec des chœurs, du théâtre, des conférences, sur le thème « La jeunesse face au VIH Sida et aux anti-valeurs ».


COTE D’IVOIRE

Nouveaux diacres

Le dimanche 17 juillet 2005, à Kohrogo, ont été ordonnés diacres Dominique Hounsounou et Georges Koevi. « Nous étions avec deux jeunes diocésains », nous écrit Dominique, qui ajoute :  « Mon coeur est plein de joie. »



GUINEE EQUATORIALE - BATA

Grande Fête sacerdotale


Le dimanche 17 juillet 2005, le Père Francisco Moro Mba, salésien de Don Bosco, a été ordonné prêtre par Mgr Matogo, évêque de Bata

Précédée la veille par une soirée vocationnelle dans l’église paroissiale Marie Auxiliatrice, la liturgie de l’ordination s’est déroulée le dimanche matin, dans l’immense cour du Collège Don Bosco de Bata, devant près d’un millier de personnes.

Mgr Juan Matogo s’est plu à souligner la fécondité de la Congrégation salésienne qui, en quelques années a suscité déjà sur cette terre plusieurs vocations religieuses. Une belle image restera dans les cœurs, celle de cette maman qui danse de joie en pleine eucharistie pour venir à la rencontre de son fils devenu prêtre.

JB BERAUD, 17 juillet 2005 pour ANS



RWANDA - KIGALI

A l’ordination de Pascal, M. le Gouverneur de la capitale


Le Père Pascal Tuyisenge est rwandais. Il a fait ses années de pratique pastorale à Mimboman ( Yaoundé ) puis ses quatre ans d’études de théologie à l’Ecole St Cyprien de cette même capitale camerounaise. Il a été ordonné prêtre ce samedi 23 juillet à Kigali.

Il nous signale lui-même , le 27 juillet 2005 : « Tout s'est bien passé. J'ai été ordonné à la Paroisse Notre Dame de l' Assomption de Kabuye. La messe a commencé à 9h 30, présidée par l'archevêque de Kigali Mgr Thaddée Ntihinyurwa. Un bon nombre de confrères de toute la délégation du « Rwanda, Burundi, Goma, Uvira » étaient présents. Le Père Vincent Munshya a bien représenté l'ATE.

JB BERAUD, pour ANS



3 OYEM

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Jude Orsien SAMBA

Franck Amour MOUSSOLO

Querubin NNEME NGUEMA

Pascual DJABO VAIGOI


4 NDJAMENA

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Brice N'KOLO

Jésus SENGA KOKOLO

Jean Matthieu POLA EDU

Romuald METILA

Nestor Lucien DOUFOKPIO


Retouches définitives pour prénovices :


MIMBOMAN:


Gael Bandry Guymares YADIKI

Yannick Parfait OBIANG EDOU

Jud BRUNEL DELUH

Jeremias Nve ONDO MBANG

Luis NZOMO NLOCHIRI

Blaise Aguidé AKOINA PIRCOLOSSOU













Sous cette rubrique « Pour servir à l’Histoire de l’ATE », nous souhaitons publier peu à peu tous les documents qui peuvent permettre de garder la mémoire du passé salésien sur les six pays de notre Province. Il s’agit un peu de nos « Actes fondateurs », à l’image des « Actes des Apôtres ». Merci à tous ceux qui voudront nous adresser leurs souvenirs personnels, textes, photos, programmes, tracts, articles de journaux. Des photocopies peuvent éviter que telle œuvre ne se prive d’un document de ses archives. Aujourd’hui, trois documents

La Rédaction de ate.media


1 - L’ITINERAIRE DE JEAN-PIERRE DUTEL


Avant la Province de l’ATE, il y a eu des hommes venus d’ailleurs. Ils avaient souvent travaillé sur d’autres continents. Un jour, ils sont venus en Afrique. Jean-Pierre Dutel est l’un d’entre eux. Actuellement chargé de l’Ecole Professionnelle de Bangui-Damala, il a accepté de nous retracer quelques pas de son itinéraire. Cette interview date du 31 août 2003. Sa publication a commencé dans notre précédent numéro de ate.media de juin 2005. Jean-Pierre y commentait ses débuts de salésien en 1963, et son départ en Afrique en 1972. Il y arrivait de Nazareth où il venait de passer six ans. Son récit précédent s’arrête en 1979, lorsqu’il arrive à Fougamou, au Gabon. « Le 4 septembre 2003, j’ai fait 40 ans de vie religieuse », dit-il. Récit ( Suite et fin )


« Mgr de la Moureyre, évêque de Mouila, demandait à tous les séminaristes d’apprendre à travailler le bois. Jean - Pierre va le leur enseigner. Il est aidé par Frédéric, spiritain, et un coopérant de Giel, une école d’agriculture de la Province de France. En général, les salésiens arrivaient à Pointe - Noire et de là partaient au Gabon. De 1979 à 1983, je suis à Lablé, au Cameroun, pour construire la maison et enseigner au Centre. Le Père Landrin y est curé. Nous sommes amis. Je suis responsable de la menuiserie au Centre. En 1984, je retourne à Fougamou. J’y suis jusqu’en 1990 avec le Père Laigo. En 1991, je démarre le Centre Professionnel à Pointe-Noire. Le 24 décembre 1992, nous y ouvrons l’atelier automobile avec douze élèves.

J’ai travaillé en menuiserie, dans le bâtiment, en automobile, en électricité, Je suis dessinateur en bâtiment. A Pointe - Noire, j’ai construit une partie du Foyer de Charité de Liambou. En 2001, je suis à Cotonou pour un an. J’y reçois une formation de recyclage pour « gestion et travail sur ordinateur ». En même temps, je suis responsable de la Section bois. Dans cette communauté de Cotonou, je me trouve avec cinq salésiens espagnols. Je suis parti à Bangui comme professeur de menuiserie. Trois mois plus tard, je suis Directeur des Etudes et Responsable du Centre. Nous avons pour l’instant 104 élèves. Je pense qu’à la rentrée, ils seront 120. ;Des filles aussi sont en menuiserie, agriculture, maçonnerie. Cette année, nous commencerons l’électricité avec Stéphane. On peut avoir un joli centre.

J’ai travaillé aussi beaucoup en foot-ball. Une de mes joies est d’avoir accompagné en France quatorze jeunes de Pointe-Noire pour des compétitions de foot. Ils ont été vainqueurs de la Coupe Nationale, Champions du Congo. ( « Bosco-Lumière » ). Cette équipe avait été fondée par un jeune sdb, Moïse Dieudonné Makouala, décédé trop rapidement ».

Recueilli par JBB


2 - LES SALESIENS AU CONGO BRAZZAVILLE ET AU GABON


La présence salésienne au Congo Brazzaville et au Gabon précède de loin le « Projet Afrique » des Salésiens de Don Bosco.

C’est, en effet, en 1958 qu’un groupe de premiers salésiens venus de France débarque à Pointe Noire pour prendre la relève des Pères Spiritains au Collège technique Saint Pierre de la même ville. Leur rayonnement ne tarde pas à se propager, surtout qu’en dehors de l’école ils n’hésitent pas à rendre service à des communautés chrétiennes environnantes. C’est ainsi qu’on les verra œuvrer dans les paroisses de Mpaka, Lusala, et autre ... Ils finiront par prendre en charge la Paroisse Saint Jean Bosco sur le quartier populaire de Tié-Tié, confiée à eux par le diocèse. Les anciens du Collège Technique






n’oublient pas les bons moments passés avec les salésiens et surtout la formation qu’ils y ont reçue avant que le Collège ne soit nationalisé et passe sous le contrôle du gouvernement.

En dehors de Pointe Noire, les Salésiens sont implantés aussi à Brazzaville la capitale, où depuis 1975 ils ont la charge de la Paroisse Saint Charles Lwanga. C’est à partir de cette paroisse qu’ils avaient eu à animer le « Foyer Abraham », un local d’aumônerie qui sera l’embryon de la future Cité Don Bosco, née en 1992 à 25 km de la paroisse au nord de la ville. Actuellement, en plus de la paroisse et de la Cité Don Bosco, les salésiens suivent l’aumônerie du camp des réfugiés de Kintélé.

Quant au Gabon, c’est en premier lieu à Port Gentil que les salésiens arrivèrent en 1973 pour prendre en charge la paroisse Sainte Barbe. De là, ils s’installeront à Oyem en 1984 pour animer une paroisse à côté de laquelle un Centre professionnel a vu le jour et où le Centre des Jeunes cherche toujours son chemin. Les salésiens passeront aussi à Sindara, ainsi qu’au Petit Séminaire Saint Jean de Libreville, des présences qui ont marqué jusqu’aujourd’hui beaucoup d’âmes. A Libreville, la capitale, les salésiens ont la charge de la paroisse Saint Pierre. Cette présence leur a donné l’occasion d’élargir les horizons surtout pour les jeunes. Ainsi, un Centre de Jeunes est né à Okala-Mikolongo. Une paroisse pourrait s’ajouter pour assouvir la soif des fidèles qui, déjà suivent messe et catéchèse auprès du Centre.

Pascal TUYISENGE,


3 - LES PREMIERS PAS DE DON BOSCO AU CAMEROUN


L’histoire salésienne retiendra que c’est exactement en 1965 qu’un fils de Don Bosco foula pour la première fois la terre camerounaise.

Cette entrée va permettre l’amorce d’une mission florissante. Le Père Louis Tisserand est l’initiateur de cette présence à Somo, diocèse de Bafia. Mgr Loucheur qui l’accueille va l’orienter vers la formation des catéchistes. Puis la gestion du collège technique de Lablé est demandée aux salésiens pour la formation professionnelle des jeunes et leur insertion dans le monde. La Province de Paris se charge de cette mission.

A partir des années 1980, la présence des salésiens prend une envergure décisive. C’est l’avènement du «  Projet Afrique » dans la Congrégation. A partir de 1983, les salésiens italiens de la Province Liguria Toscana arrivent et s’installent d’abord à Sangmelima, puis finalement à Ebolowa en 1984.

Cette œuvre va très rapidement bénéficier d’une configuration salésienne :construction d’un Centre des jeunes, formation des jeunes, mise sur pied d’un Centre Professionnel, fondation d’une radio et attention aux villages, apostolat de la prison. En 1992, une nouvelle communauté naît à Mimboman à Yaoundé dans une périphérie. Comme preuve d’extension des racines salésiennes, l’on va connaître l’érection officielle de la Province salésienne A.T.E sous le nom de Notre Dame d’Afrique qui s’établira à Mvog Ada en 2001.

Les salésiens contribuent à leur manière à l’édification de l’Eglise du Cameroun. A ce jour, ils tiennent deux paroisses où la formation et l’évangélisation constituent les deux axes de leur travail pour une réelle et profonde éducation à la foi. Certes, des défis se présentent au travail des salésiens ( le manque d’emploi, le manque de formation des jeunes aux réalités du monde du travail etc….). Au regard de ce qui précède, un sentiment de reconnaissance mérite d’être exprimé au Seigneur, puisqu’il a permis et voulu lui même ce travail pour le salut des jeunes. Tout cet essor de l’œuvre salésienne est une vraie bénédiction du Seigneur. Car, nous dit le psalmiste : « Si le Seigneur ne bâtit la maison c’est en vain que veillent les gardes ! ». Les salésiens s’investissent surtout dans les écoles, les paroisses, les centres professionnels. Ils doivent remercier l’apport de certains bienfaiteurs et organismes qui ont toujours été des partenaires dans l’éducation de la jeunesse qui nécessite des moyens financiers pour certains équipements. La terre camerounaise a accueilli Don Bosco. Son charisme prend effectivement corps, une vingtaine de jeunes camerounais ont accepté de servir le Christ selon le charisme de Don Bosco. Restons avec un regard tourné vers l’avenir. Le Christ nous interpelle à aller au large. Ainsi les jeunes pourront clamer haut comme un seul homme pour dire leur reconnaissance à Dieu : «  Mon Dieu tu es grand et tu es beau ».

Roland MINTSA, sdb.







OCTOBRE 2005


P. ROSSIGNOL Philippe

P. MUNYANKINDI Anaclet

S. OTEKPO Dieudonné

P. KHONDE Joseph

S. MALONGA Edvin

L. NGASSAKI Marien

S. EYEGUE Zacarias

P. PRIETO Jose Miguel

S. TCHOUNGANG Simplice

N. BIKOY BIBENG Jean Apotre














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