1524 heuzet


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1524 / Heuzet / 1935-11-9 /

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1.1 al Padre Heuzet del M.E.P.

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Miyazaki, 9 novembre 1935

Très Rev. Père,

Et voilà de nouveau le P. Cimatti… Merci de votre réponse. Moi aussi je suis in casu de votre opinion, mais le missionaire il pensait… Bien et Deo gratias. Voilà que je fait collection pour un autre mariage...

Casus. Dans le livre est ecrit N° 18 – Oita.

5 Sept. 1932 “sine bannis” Suemitsu Johei, filius Imashiro (Oita‑gun Matsuoka) et Caecilia Itai Taneko, filia Genhachi (Oita‑ken, Inukai) iuncti sunt in matrimonio cum dispensatione disparitatis cultus. Testes: Akaiwa, catechista et Abe impressor Tipogr.

J’unis aussi la déclaration firmée (vraiment un peu familièrment) des deux (la jeune m’assure être sa firme).

Je parlai avec la jeune. Résultat:

More Japonico la jeune est obligé à se marier. On fait observer par la jeune et catechis. et P. Margiaria (qui m’assure avoir fait les recherches pour l’état libre de l’homme) au mari (qui naturellement ne comprend pas trop ou rien) la condition de la jeune: la nécessité des promesses etc. qui sont firmées comme vous voyez. Il semble aussi que si l’homme a compri la première obligation de n’être pas d’obstacle à la religion de la jeune, peut-être que ne fût pas trop clairement comprise la question de la éducation des fils.

Matrimonium fuit consummatum, non habuerunt filios.

L’homme est un employé provinciale, deditus vino et qui peut-être pour raison du travail a été absent aussi quelque fois deux semaines.

Pendant deux années de convivence:

- avant fait promesse de n’être pas d’obstacle à la... fut observée.

- shibaraku tatsu to (= dopo un po’ di tempo) commencent les persécutions:

a) pas de livres religieux dans la maison

b) mauvaises manières – dorei no yo ni (= come una schiava)

c) dans la jeune fréquentes pensées de retourner à la maison paternelle et non pas retourner chez l’homme.


Après un mois de convivence, la jeune doute que son mari est lié avec une autre – elle cherche de manifester son doute au mari – mais le discours était toujour évité. Par l’union précédente il y a un enfant qui vit encore. À la mort de la femme pendant le ménage avec Mad. Itai – l’homme est unit avec la soeur de la précédente, et maintenant avec le fils vit[?] avec elle.

Une fois l’homme a écrit manifestant le désir du retourner de la jeune. Une fois tochu de (= per via) sans rien dire ils se son rencontrés.

La jeune Itai auparavant était en relation seulment par lettre avec un jeun [homme], mais étant les parents contraires fut obligée au mariage ut supra.

Mon Pére, quid videtur? Comme ont pouvait sauver cette pavre fille toujours dans le danger de l’âme?

Si vous pouvez répondre dans la semaine je vous prie d’envoyer à Miyakonojo ou est la femme et s’il y a des “shirabe” (= ricerche) à faire, m’est chose facile.

In unione precum