En Don Bosco


En Don Bosco

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N°53  Avril 2005/ 7e année





Vice- Province Salésienne « Notre Dame d’Afrique »

Afrique Tropicale - Equatoriale

B.P. 1607 - Yaoundé – Cameroun

Tél. (237) 222.22.21 Fax : (237) 222.22.51. E-mail : jeanbberaud@yahoo.fr

http://ate.homily-service.net



EDITORIAL

Nous savons, nous, que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons nos frères.

Celuii qui n’aime pas demeure dans la mort ( 1Jn 3,14).


La première lettre de Saint Jean pourra nous servir de méditation ces jours de Pâques. En effet, Jean nous donne un critère et une condition précise pour vérifier si nous sommes vraiment ressuscités et vivants avec le Christ : AIMER SON FRERE.


Je crois que l’un des signes qui témoigneront au monde, dans l’ici et le maintenant de nos communautés, qu’effectivement nous vivons en hommes croyants, c’est la pratique de l’amour les uns envers les autres à l’intérieur de la communauté. L’amour ne fera jamais de nous des hommes aigris comme il arrive souvent quand le sacrifice ne naît pas d’un amour vrai. La pratique de l’amour nous fait entrer dans le monde de Dieu où il n’y a plus de distances ni de crainte ou de méfiances. Et je crois que nous sommes tous, chacun à son niveau, invités à renouveler l’amour pour nos confrères, l’amour pour la communauté. Vivre la Pâque dans nos communautés nous demande de témoigner de gestes concrets à l’égard de chaque membre de la communauté et de revoir les attitudes en nous qui feraient obstacle à une véritable communion dans notre « vivre et travailler ensemble ». Le Christ Ressuscité invite chaque membre de nos communautés à incarner ces expressions visibles de l’amour :

  • L'amour sait attendre, attendre la conversion du frère ; attendre la parole du confrère, attendre son sourire et son regard de frère.

  • L'amour est compréhensif : Nous ne nous sommes pas mis ensemble pour nous juger mutuellement, mais pour nous aider. Et pour aider il faut savoir se mettres dans la peau de l’autre, il faut expérimenter le mystère de l’incarnation à l’image de celui qui nous a aimé le premier.

  • L'amour ne s'enfle pas et ne se fait pas valoir : L’humilité est la première grande compagne qui nous échappe souvent. Beaucoup d’incompréhensions dans nos communautés ne viennent-elles pas du fait que chacun de nous reste cantonné sur ses points de vus ?

  • L’amour est service et ne cherche pas son intérêt : Des petits services spontanés dans la communauté,voilà ce qui peut rentre notre vie communautaire agréable. Cela veut dire coresponsabilité.

  • L’amour ne se met pas en colère, et il oublie le mal.

  • L’amour ne se réjouit jamais de ce qui est injuste et prend plaisir à la vérité.

  • L’amour supporte tout.


Il faut oser croire encore en cette aventure de la foi à vivre chaque jour dans nos respectives communautés. Nous ne sommes pas seuls. Le Christ est avec nous.



José Antonio VEGA


Dans ce numéro :



Editorial P.1


DMOS-COMIDE P.2

PJ : J’ai découvert…. P.3

PJ : msj P.4


Mimboman P.5


Partenariat RCDM P.5


R.C.A: Suite interview ……………...…….. P. 6


La Don Bosco- OYEM ………………………..P.8


Port- Gentil: une retraite particulièrement riche………………… P. 8


La Saint Jean Bosco à l’institut supérieur de Philosophie …….. P.10


Sexualité et vie consacrée………… P.11


En bref en bref P. 11




1 SPECIAL

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2 DMOS - COMIDE

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Un Projet Programme avec DMOS-COMIDE « 2005-2009 »

pour consolider les Centres Professionnels Don Bosco en ATE


Malgré les nombreux efforts des partenaires des Salésiens de Don Bosco de l’ATE , donateurs et autres, les Centres professionnels de la Province restent toujours déficitaires à cause particulièrement du coût des enseignants, du prix élevé des machines, de l’outillage et de la matière première, le bois. Si la situation actuelle ne change pas, elle pourrait conduire ces Centres à de graves difficultés, y compris à la fermeture de certains. De là, l’idée d’un Projet Programme de cinq ans avec DMOS-COMIDE.


Autant la participation des salésiens et des Communautés locales à la mise en œuvre des projets est important, autant la concordance et la synergie entre les intervenants est requise.


Avec la Participation de tous

C’est pourquoi sur l’initiative du Bureau de Développement, en collaboration avec DMOS-COMIDE, une évaluation thématique sur les six Centres professionnels sous forme d’une Planification Stratégique Participative a été suggérée lors de la réunion continentale des Bureaux de développement francophones tenue à Ivato-Madagascar en Novembre 2002. Elle a été encore enrichie lors de la session de formation sur les techniques d’évaluation organisée par le Bureau de Développement « Ensemble, ATE », tenue à Libreville au Gabon en Février 2003 grâce à l’appui financier de DMOS-COMIDE.

Le Projet Programme avec DMOS-COMIDE qui avait été soumis au Gouvernement Belge en Juin 2003, a été approuvé par ce dernier en Novembre 2004.


Des responsabilités à approfondir

Juste après l’annonce de cette très bonne nouvelle, s’est tenue le 7 Janvier 2005 à Nkolbisson-Yaoundé une rencontre entre le Bureau de Développement « Ensemble, ATE » et les responsables des Centres Professionnels concernés par le Projet Programme « PP-ATE ».

Ont pris part à cette rencontre le Provincial ATE, les responsables du Bureau de Développement, le Délégué Provincial de la Pastorale des Jeunes, les Directeurs des Centres Professionnels de Mimboman, Ebolowa, Oyem, Pointe-Noire, et Bangui-Damala.

De manière spécifique, la rencontre visait à :

- Présenter les principales activités qui seront menées par le Bureau de Développement car chacun des six Centres a ses propres activités.

- Mieux planifier les activités afin d’éviter les chevauchements de dates

- Favoriser la compréhension de la mise en œuvre du Projet programme pour les cinq prochaines années en général et pour l’année 2005 en particulier

- La rencontre était présidée par le Père José Maria Sabé et Jeanne Marie Mindja, la modération était assurée par le Provincial SDB-ATE Père José Antonio Vega Diez.

C’est le lieu de noter que le 14 Février 2005, le Père José Maria Sabé a eu une séance de travail à Bruxelles avec Françoise Léonard et Marc Van Laere tous deux de DMOS-COMIDE sur les points d’attention concernant le bon « suivi » du Projet, par le Bureau de Développement « Ensemble, ATE »

Au nom du Bureau de Développement « Ensemble, ATE » je voudrais dire ma reconnaissance au Gouvernement Belge, à DMOS-COMIDE, et à la Province ATE. Maintenant, demandons au Seigneur de nous donner la force d’être exigeants et sérieux dans le suivi de ce Projet Programme pour le bien de tous nos jeunes.


3 Jeanne Marie MINDJA

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3.1 PASTORALE DES JEUNES

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« J’ai découvert l’Afrique, son rythme et son soleil, ses pagnes magnifiques, son accueil sans pareille, les grands yeux pacifiques des enfants étonnés… »

Ces paroles de Jean Claude Gianada dans son titre BEMBEREKE, ont été une réalité pour moi, non pas parce que j’ai été à Bembereke ou à Banikoara, mais bien parce que j’ai été à Sarh et à N’djamena.


J’ai découvert les rythmes du Tchad quand sur l’esplanade de la Maison de la culture de Sarh j’ai vu que les jeunes pouvaient devenir la voix des sans voix, en offrant un spectacle en l’honneur des « enfants de la rue ». Ils ont d’ailleurs refusé les appeler ainsi pour leur donner un vrai nom : « ENFANTS DE L’ESPOIR ». Une musique aux rythmes variés a suffi pour produire la joie dans le cœur de ces centaines de jeunes rassemblés ce soir du 5 mars 2005. Je crois que mes confrères Paul Marie et Christian étaient aussi contents de voir les jeunes contents…

Le lendemain 6 mars, un dimanche pas comme les autres, du moins en ce qui me concernait, je continue à découvrir les rythmes riches du terroir. Cette fois c’est en pleine nature, sous l’ombre chaude de quelques arbres que je vibre au son de quelques voix. C’est la voix des KEMKOGUI, ces petits adolescents et adolescentes qui ont passé toute cette nuit sous les arbres pour préparer leur cœur à recevoir la joie de Pâques. Pour conclure leur mini-retraite, ils ont devant eux un inconnu qui va présider la messe qu’ils ont la joie de chanter aux mélodies demi-ton, d’une langue aussi belle qu’ils appellent le SARHA. Je ne sais pas comment qualifier ces enfants, mais une seule chose me vient à l’esprit. Ce mot qu’ils m’ont appris à dire au moment juste : SUPER !


J’ai découvert aussi son soleil quand débarquant dans nos communautés, de N’djamena et de Sarh, les confrères avait la joie de me dire : « MIGUEL il faut boire ». Oui, quand j’arrive à Ndjamena, et je vois sur la table 14 bouteilles d’eaux, je pense que les confrères se sont trompés, mais très vite je comprends que non ; très vite j’en avais demandé une quinzième. Nous sommes à 42° et les confrères ne cessent de me dire : «  ce n’est que le début, reviens au mois d’Avril ». Rien n’est clair dans mon esprit quand je rencontre les gens bien voilés de la tète jusqu’au pieds. On dirait qu’ils n’ont pas chaud comme je le ressens dans ma chaire, mais on me fait comprendre à tort ou à raison que c’est pour se protéger.

C’est sous cette chaleur accablante de jour comme de nuit que mes confrères salésiens entendent dire aux jeunes : « Jésus- Christ vous aime ». Que ce soit au Centre de jeunes Don Bosco de Sarh, que ce soit au Centre de jeunes Don Bosco de N’djamena, le charisme salésien, ne passe pas inaperçu. De n’importe quel point de la ville, dites à qui vous croisez, je veux aller à Don Bosco et s’il est du milieu vous le saurez, parce qu’il vous dira : « C’EST FACILE ! »


Et enfin j’ai découvert son accueil. L’accueil des confrères qui n’ont pas hésité à partager avec moi leurs joies et leurs difficultés dans la mission. Et quand nous avons partagé les cuisses de grenouilles ( Sarh) ou la pintade (N’dajmena) cela n’a fait tisser des liens de fraternité.

C’est aussi l’accueil des centaines de jeunes au charisme salésien, et ces braves animateurs que j’ai rencontré en quelques séances de travail soit à Sarh ( le samedi 5 mars) soit à N’djamena (du mercredi 9 au jeudi 10 mars). Dieu me garde d’oublier l’accueil de Monseigneur Edmond de Sarh et celle de Monseigneur Matthias, archevêque de N’djamena que certainement j’ai scandalisé de par mon aspect physique « peu ecclésiastique », mais sans hésiter, ils m’ont accueilli comme un frère pour échanger sur leurs préoccupations et leurs souhaits. Et de plus, ils ne sont pas passés par mille chemins pour me dire qu’ils aiment les salésiens et qu’ils comptaient beaucoup sur les fils de Don Bosco vu les nombreux défis auxquels est confrontée la jeunesse tchadienne en particulier.

Comment oublier enfin, ce jeune évangéliste nommé Patrick, dont le fabuleux apostolat consiste à écourter les distances de voyageurs avec son petit porteur cinq places. Il vous accueille par une prière et vous dit avec un sourire : GOOD BYE !



P. Miguel Angel NGUEMA






















C’est cette réalité que nous voulons désormais célébrer chaque année dans les communautés de l’ATE. Les jeunes de Pointe- Noire ont déjà donné le ton pour cette année pastorale en se retrouvant en grande pompe du 28 au 30 décembre passé. Bientôt les jeunes du Cameroun vont emboîter le pas en se retrouvant à la Cité Marie Dominique Mazzarelo du 29 Avril au 1er Mai. Alors pourquoi eux et pourquoi pas nous ?

P. J ATE






CAMEROUN-MIMBOMAN

Mimboman : « Pas un mois sans activité-extra »

Pour célébrer avec éclat, la fête de Saint Jean Bosco le 31 janvier 2005, une semaine culturelle a été organisée à partir du 24. Nous avons fêté la Saint François de Sales avec toute la communauté paroissiale.

La Saint Jean Bosco a été fêtée le dimanche avec les représentants des adultes de trois

secteurs de l’œuvre. Le lundi avec les représentants des jeunes.

Au C.P.D.B. ( Centre Professionnel Don Bosco ) , une kermesse a été organisée le 26 février avec tous les apprentis du Centre. Dans la matinée, après la messe, de nombreux jeux furent organisés tels que concours de baby-foot, de ping-pong, de puzzle, de ludo, de dames, de dessin, le remplissage des bouteilles, et la course avec les oranges

Dans l’après-midi, une kermesse dansante a connu la participation de quelques invités provenant du Centre des jeunes, de la paroisse et du lycée Mimboman. Plus de 500 jeunes ont pris part à cette fête.

4 S ur la paroisse, une adoration avec les jeunes et pour les jeunes a eu lieu le jeudi 27 janvier à partir de 18h 00. Des jeunes de trois secteurs de l’œuvre ont pris part à cette adoration dirigée par le Père curé, José Miguel Prieto.

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5 Au Centre des Jeunes, un mini-tournoi a marqué la semaine culturelle Saint Jean Bosco. Il a connu la participation d’une équipe de la paroisse, du Centre professionnel, de la Cité Marie Dominique et du Centre des jeunes chargé de l’organisation.

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La première journée sportive a connu un plein succès avec le début du match de foot. La 2é journée s’est mal terminée au basket entre le Centre organisateur et la Cité Marie Dominique. Malgré cette ambiance morose une finale de foot a été organisée opposant la paroisse et le centre des jeunes. Le match s’est soldé au tir-but en faveur du Centre des jeunes. Des prix symboliques ont été remis aux deux équipes finalistes.

Yves Martial MOUKOKO, sdb - Mimboman




CAMEROON – EBOLOWA

Durant la FOSEC, le partenariat RCDM-CPDB marque des points

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La Foire Exposition Socioculturelle (FOSEC) s’est ouverte au Centre Professionnel Don Bosco d’Ebolowa les 9,10 et 11 février 2005, à l’occasion de la traditionnelle semaine de la jeunesse qui précède le 11 février, Fête nationale de la Jeunesse.

La cérémonie démarre avec une causerie éducative du Pr Hubert Mono Ndjana sur un thème opportun « Jeunesse et Développement ».

« La jeunesse, dit en substance l’orateur, ne correspond pas seulement à la tendre enfance, mais aussi à l’âge où, après les études ou les rites d’initiations, selon que l’on considère la société moderne ou traditionnelle, les jeunes gens s’apprêtent à entrer dans la vie active ». Le discours n’a pas trahi le parler vrai de l’homme. Résultat : deux heures de temps après, élèves, professeurs et inconditionnels de la réflexion venus de tous les coins de la ville, étaient encore accrochés à ses lèvres dans la salle des conférences du Centre et en direct de la Radio Communautaire de Développement de la Mvila (RCDM).

La ville d’Ebolowa grouillait de kermesses et de surprises variées, question d’agrémenter la semaine de la jeunesse. C’est dans ce tintamarre d’initiatives que cinq associations ont partagé les expériences de développement qui sont les leurs, dans un entretien à bâtons rompus radiodiffusé pendant une heure. Les actions en faveur des jeunes auront été le principal sujet d’échanges pour la circonstance.

La FOCAPED : Fondation Camerounaise pour la Protection de l’Environnement et le Développement durable, avec un point d’orgue sur les produits forestiers non ligneux (Ebolowa)

Le Centre Social EDIMAR du Père Maurizio, orienté vers l’accueil et l’accompagnement des enfants de la rue, dans un Centre journalier à Yaoundé, face à la gare des voyageurs d’Elig Essono.

La CAMNAFAW : Association Camerounaise pour le bien-être familial (Ebolowa-Angalé), chargé de la promotion de la santé de reproduction des populations, de la formation des pères éducateurs, de la prévention des grossesses non désirées, des avortements, des IST/SIDA, de la promotion de la parenté responsable….

L’ACDIC : Association Citoyenne de Défense des Intérêts Collectifs, spécialisée dans le lobbying, la sensibilisation sur les dangers liés à l’importation massive et incontrôlée du poulet congelé, de ses méfaits sur la santé des consommateurs, sur l’économie nationale et sur l’emploi.

Le CASARC : Centre Social d’Apprentissage Rapide de la Couture ( Ebolowa), chargé de l’encadrement socioprofessionnel des jeunes, particulièrement des jeunes filles et de leur insertion économique.

Au cours des fructueux échanges qui ont suivi, plusieurs points de convergence se sont tissés entre ces « développeurs » surtout en termes de « manques » : Manque d’intérêt des populations cibles, manque de structures d’animation, manque d’esprit associatif.

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La FOSEC 2005 s’est achevée sur une note un peu plus enjouée avec une « méga kermesse » qui a connu la récompense des meilleurs élèves ayant rédigé une rédaction sur le thème : »Qu’est-ce qui freine le développement de la Province du sud et comment y remédier ? » Les lauréats ont reçu au total une somme de 105.000Fcfa de primes.

L’apport de la commune rurale d’Ebolowa, aura permis d’alléger de manière substantielle, les charges financières de cet événement


.Jean Christian AKAM







CENTRAFRIQUE – BANGUI

Les 20 ans de la Paroisse St Jean

Le Père Paul, curé, répond à nos questions

( Suite de l’article paru dans ate.media de Mars 2005 )


B.N – Que dites-vous de la pastorale salésienne dans nos présences ?

P.P. – Les gens se rendent compte que nous avons une manière à nous de les approcher en paroisse. C’est aussi l’avis des jeunes a l’Ecole professionnelle et dans leurs Centres.

B.N – En regardant les différents lieux où vous avez travaillé, que signifie pour vous être prêtre dans une Afrique en crise, avec une Eglise qui est à peine centenaire ?

P.P. – Quelle crise ? De vocations ? Mon impression c’est que l’Eglise d’Afrique progresse en vocations. Il suffit de regarder notre Province. C’est vrai que les besoins sont très nombreux, mais il faut faire des choix. C’est vrai aussi qu’il y a encore une grand présence de missionnaires, car l’église est universelle.

B.N – Comment donner plus d’espoir au peuple centrafricain ?

P.P. – L’espoir repose sur l’éducation et en premier lieu sur l’école. Les salésiens doivent en prendre conscience.

B.N – Quels ont été vos soucis majeurs depuis la présence des Salésiens à Bangui. ?

P.P. – Des 10 ans je n’en ai vécu que 4. Il ne faut pas parler de soucis majeurs mais d’un souci qui a toujours été le même : nous occuper des jeunes. En s’installant tout d’abord dans la paroisse, ce souci a été préservé, si bien que certains adultes diront : « Votre préférence va plutôt aux jeunes »

B.N – Quelles leçons tirez-vous du jubilé ?

P.P. – Les chrétiens qui se sentent appartenir à une paroisse peuvent toujours re-partir, faire mieux.

B.N – Nous pouvons dire que cette fête a été bien préparée. Elle a été un succès.

P.P. – Sans trop nous vanter, nous pouvons dire qu’elle a été un succès. Succès dû à l’effort de toutes les communautés de base, aux mouvements et fraternités. Succès parce que l’accent à été mis surtout sur la spiritualité.

B.N – Quelles activités ont marqué cette fête des 10 ans de présence salésienne ?

P.P. – Les activités ont été surtout d’ordre pastoral. Chaque mouvement ou communauté a animé la paroisse durant une semaine (récollection, conférence sur la spiritualité de chaque groupe, concert religieux). Une grande célébration pénitentielle a eu lieu, suivie de confessions individuelles. Il y a eu aussi une grande nuit de prière avec une messe de minuit suivie de l’adoration du Saint Sacrement jusqu’au matin. Nous avons eu la célébration de 120 baptêmes de bébés, et d’un mariage religieux, le tout clôturé par la messe en plein air, présidée par Monseigneur Paulin, archevêque de Bangui.

B.N – Question de curiosité, que ressentez-vous en tant que curé à l’approche des élections en RCA ?

P.P. – Je ressens que les gens ne veulent que la paix. Tout le monde en parle.

B.N – Le jubilé n’a été lancé que pour certains, qu’en dites-vous ?

P.P. – Tout homme peut et doit fêter son jubilé. Le jubilé est un regard sur le passé pour mieux affronter l’avenir.

B.N – Père, rions un peu. Est ce que le mot « fondant » que vous aimez prononcer souvent peut s’appliquer au jubilé ?

P.P. – « Fondant » s’applique tout d’abord à quelque chose qui vous fait du bien a la bouche. Cela provoque du plaisir. D’une certaine manière, le jubilé nous apporte beaucoup de joie. Je peux donc aussi dire qu’il a été « fondant » dans la paroisse

B.N – Un dernier mot pour les paroissiens.

P.P. – Comme Don Bosco, je leur dirais : « Da mihi animas et coetera tolle », « Donnez-moi des âmes, et prenez tout le reste. » Merci a tous, pour avoir pris une part active à ce Jubilé.

6 Propos recueillis par BERTHOLLET NKOUNKOU, stagiaire a Damala - Bangui

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NE RIEZ PAS !!! HA HA HA HA HA HA !!!




Mesdames et messieurs bonsoir !

Nous voulons commencer notre journal en vous informant

sur la catastrophe aérienne qui a eu lieu ce matin dans les

alentours d’un petit village de la région. Il s’agit d’un

petit avion d’une place qui s’est écroulé dans le cimetière

du village pour cause de vent violent. Jusqu’à présent aucun

survivant n’a été trouvé, par contre 82 cadavres ont été

trouvés. Le bilan est loin de s’arrêter là car l’équipe des

Secours continue ses fouilles.


MIKE




6.1

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6.1.1 GABON OYEM

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6.1.2 La “Don Bosco” au Centre des Jeunes

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La célébration de la fête de Don Bosco fait partie des activités devenues traditionnelles et ayant caractère de solennité, au Centre Don Bosco d’Oyem.

Cette fête est coutumièrement organisée autour de deux grandes célébrations, l’Eucharistie et les activités de loisirs. Cette année, la fête de Don Bosco a été célébrée avec éclat à travers un tournoi de foot-ball pour les adolescents, une grande célébration eucharistique avec tous les jeunes et une kermesse pour les enfants du patronage du dimanche.

La finale du tournoi de foot qui a duré presque un mois, s’est jouée le dimanche 30 janvier dans l’après midi. Les équipes finalistes ont été récompensées par un trophée et des lots qui ont satisfait tout le monde. Dans la matinée du même dimanche, a eu lieu la célébration eucharistique. Elle a vu la participation active des groupes et mouvements de jeunes, surtout à travers la présentation d’offrandes symboliques exprimant leurs espérances chrétiennes et leur désir de se faire proches du Seigneur dans leurs activités et dans leur vie.

A partir de 15 heures, une kermesse a regroupé une “foultitude” d’enfants du patro. Les jeux soigneusement sélectionnés par les animateurs et collaborateurs, ont donné la possibilité même aux plus petits de gagner et d’être gratifiés par de nombreux lots disponibles. Chaque enfant a donc pu repartir joyeux d’avoir gagné un bic, un cahier, des biscuits, des bonbons, une casquette…La Fête de Don Bosco au Centre des Jeunes à Oyem, est toujours une fête « pas comme les autres ».


David METOULE, sdb stagiaire.



Au Centre professionnel d’Oyem : “Une fête pour rassembler élèves et éducateurs dans la fraternité et dans la joie »

Dans le cadre de la célébration de la fête de Don Bosco au Centre professionnel, un mini-tournoi de foot a plongé dans une ambiance de fête et de joie professeurs et élèves.

Avant ledit tournoi, la célébration eucharistique animée par le père Joseph et l’homélie ont permis à tous de se souvenir du grand saint, fondateur de la famille salésienne. Les élèves de première année, plus jeunes et plus vigoureux que les élèves de deuxième, troisième et des professeurs eux mêmes, sont sortis vainqueurs du tournoi. Ils ont été récompensés par un trophée fabriqué par les élèves de la troisième année de menuiserie. Au cours du petit repas, pour égayer l’ambiance un jeu de « questions-réponses » a permis à tous de pouvoir bénéficier d’un souvenir de la fête : calendrier Don Bosco 2005, cahiers, stylos, médaillons…

Commencé autour de 8h 00, la fête de Don Bosco, célébrée avec les élèves du Centre s’est achevée aux environs de 14h 30. Chaque année, c’est toujours avec joie que les apprentis font mémoire de Don Bosco, ce personnage qu’ils connaissent sans l’avoir vu et qu’ils aiment sans l’avoir rencontré.

David METOULE sdb stagiaire


Tu écris dans @te.media. Nous te remercions. Avant de nous adresser ton texte, relis-le, tout seul ou avec d’autres. Corrige les fautes d’orthographe. Evite de répéter un mot. Cherche-lui un synonyme.

La Rédaction



6.2 OYEM nbsp;L’ Etoile du woleu 

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Ainsi s’appelle ce nouveau Bulletin né à Oyem. Le numéro 3 que nous recevons explique : « Etoile du woleu » est un Bulletin mensuel du Centre Don Boisco pour la formation chrétienne des Jeunes. Il contient le résumé du message de la parole de Dieu de chaque dimanche… Il propose un thème de culture générale… et donne les nouvelles du Diocèse et de la pastorale des jeunes. ».

Le regard de @te.media sur l’‘Etoile du wolleu. 

Nous relevons dans les « Infos-jeunes » de bons paragraphes : 1 - Le patro Don Bosco recherche jeunes animatrices et animateurs. 2 - Comment se préoccuper de la JSM, Jeunesse sans Mouvement ? 3 – Une nouvelle chorale est née.

Nous apprécions l’article intitulé « Sida : les moyens de prévention ». Il faut souhaiter que de tels textes soient utilisés dans les rencontres de jeunes et de parents. Nous retenons particulièrement :

1 - « La vente des préservatifs représente de gros intérêts économiques pour les bailleurs de fonds… C’est une exploitation masquée des pauvres. »

2 – « Les parents africains doivent parler clairement de la sexualité à leurs enfants »

3 – « Par la Justice sociale, l’Eglise lutte contre la pauvreté et les guerres qui favorisent la prostitution »

4 - « Lutter contre le sida, c’est aussi évangéliser. JB BERAUD

GABON – LIBREVILLE

La Fête de la Jeunesse

La deuxième semaine du mois de février qui coïncidait avec la semaine de la jeunesse au

Gabon, a permis à plusieurs carnavals de se tenir dans les établissements de la capitale.

A St Pierre le climat fut très festif avec le mariage entre tradition et modernisme. Les jeunes représentaient les diverses traditions du globe. La tradition Gabonaise a fait danser au rythme des chanteurs locaux. Le jury devait élire le meilleur déguisement.

Les élèves de Regina-Mundi ont défilé tout le long de la route d’Okala-Mikolongo avant de venir prouver leurs talents sur le podium installé au terrain de Basket de la Cité . Ce carnaval a permis aussi aux élèves et enseignants de visiter le centre des jeunes encore en chantier. Le cocktail offert aux salésiens et aux collaborateurs par le personnel administratif de l’établissement a mis fin à ces réjouissances. Ce fut l’occasion pour les enseignants de découvrir le but et les objectifs de la Cité des jeunes. Le mot du Père Giorgio a été bien accueilli par ces visiteurs :  « Cette Cité est à votre disposition aussi longtemps que vos besoins se feront sentir. »

Jimmy OTHAS, club ATE medi@

GABON - PORT - GENTIL

7 Une retraite particulièrement riche 

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Du 4 au 6 mars 2005, le Groupe des Lecteurs de la paroisse Sainte Barbe a passé trois jours de retraite au Centre « les Cocotiers » chez les Sœurs Salésiennes.


Cette retraite a été enrichie par l’arrivée de notre Provincial Père José Antonio qui en a profité pendant trois sessions pour parler du fléau du VIH/SIDA. La première session traite de l’éducation aux valeurs face au VIH/SIDA, la deuxième est axée sur la conception de la sexualité et la troisième sur les difficultés à surmonter. En plus des images projetées, les jeunes ont reçu un support papier contenant l’essentiel des trois exposés. Des jeunes ont également profité de ce temps pour parler avec le Provincial,. d’autres pour se confesser et demander des conseils pour mener à bien leur vie. Cette retraite a été également enrichie par la présentation faite par Sœur Laura, salésienne, chargée des Communications Sociales, sur « l’analyse critique d’un feuilleton ». Là aussi, les jeunes ont eu un exposé très édifiant qui s’est terminé par un questionnaire d’où est ressorti un point essentiel : il est important de suivre un film avec un esprit critique, « tels certains qui nous arrivent des USA, ou du Brésil », .....

Les jeunes ont eu également un enseignement sur l’Eucharistie animé par Sœur Yoanna, salésienne. Cette retraite a également été ponctuée par des temps de méditation du chapelet, par la projection du film « La Passion du Christ » suivi d’un partage. Le Père Benoît Nzié a projeté, comme mot du soir, l’étrenne 2005 du Recteur Majeur. Les jeunes sont repartis chez eux le dimanche après-midi enrichis de tous ces moments forts.

Yolande OSSAVOU, Coopératrice Salésienne

TCHAD – SARH

8 Un Chemin de croix pour les jeunes au Centre Don Bosco

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Quand il est venu habiter parmi nous en Jésus Christ, Dieu nous a révélé de quel amour nous étions aimés et de quelle espérance nous pouvions vivre puisque, appelés enfants de Dieu, nous le sommes vraiment.

Mais pour devenir enfants de Dieu, avec Jésus Christ et en lui, il faut passer avec lui par la mort pour entrer dans la vie nouvelle. « Il fallait que le Christ souffrit tout cela pour entrer dans sa gloire » (Luc 24,26). Le premier temps du mystère pascal qui nous assure de notre salut, de notre réussite totale et définitive, par la Résurrection du Seigneur, c’est le temps du carême, où nous sommes invités à faire avec notre sauveur le passage qui conduit à cette vie nouvelle. Pour parvenir à cette nouvelle vie l’Eglise nous propose de multiples moyens dont le chemin de croix. Un grand nombre de jeunes ne peuvent participer au chemin de croix pour la simple raison que tous les collèges de la ville ont cours l’après midi, et que s’ajoute à cela le problème du soleil à 15 heures. C’est ainsi qu’attentif aux besoins des jeunes, depuis la première semaine de Carême, un chemin de croix se fait dans la petite chapelle du Centre.

A un adulte qui lui demande pourquoi il préfére suivre le chemin de croix à Don Bosco au lieu d’aller dans sa communauté de base, un jeune répond : «  Je préfère le faire à Don Bosco parce que là il commence à 17 heures, ce qui me permet de travailler à la bibliothèque et d’aller au chemin de croix, avant de revenir continuer mon travail, comme si je prenais une petite récréation. De plus, il ne dure que 25 minutes au maximum, il est fait en français, et donne la possibilité à tous les jeunes de le suivre en sortant de l’école. »

Christian AYOMA, sdb


8.1

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8.1.1 TOGO - LOME

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8.1.2 La Saint Jean Bosco à l’Institut Supérieur de Philosophie

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et de Sciences Humaines (ISPSH) Don Bosco

Le 31 janvier, commémoration du décès de Don Bosco,

est jour de fête pour les étudiants de l’Institut. Pas de cours ce jour-là.


Tous les étudiants arrivent dans la matinée : Canossiennes, Franciscains, Comboniens, Salésiens, Frères hospitaliers de St Jean de Dieu, Frères de l’Instruction Chrétienne, Bénédictins et Laïcs.

La célébration Eucharistique est présidée par le Père Jacques Longa recteur du Grand séminaire Jean Paul II de Lomé. Dans son homélie, il rappelle à l’assistance, la fête du jour, qui est celle de la victoire de la grâce et de la charité sur le péché. Jean Bosco, Père et Maître de la jeunesse a marqué son temps d’une empreinte spéciale. Le Père Jacques exhorte les étudiants à faire de même : « Vos études, recherches et fatigues ne servent à rien, si elles ne contribuent pas au salut de la jeunesse ».

Après l’Eucharistie, un moment de détente permet à tous d’intéressants échanges. Le repas de midi offre ensuite à tous les participants de quoi refaire leur force pour le reste de la journée.


A 14h, place aux activités sportives. Au programme il y a le ping-pong, le baby-foot et la pétanque. Les étudiants de DEUG I se montrent plus habiles que les autres à ces jeux. La journée est couronnée par le « sport roi ». Un match de football doit opposer les étudiants de DEUG I à ceux de DEUG II et de licence jumelés. Le Père César, directeur de la communauté donne le coup d’envoi. Le grand public venu apprécier les « fathervi », a la chance d’assister à un beau match, âprement disputé. Au coup de sifflet final, les deux équipes en sont à 4 buts partout.

Fidèle à la tradition salésienne, la journée se termine par le mot du soir du Directeur de l’Institut, le P Grégoire Assiene. Il exprime sa gratitude aux étudiants pour l’organisation des festivités et les encourage à ne pas baisser les bras face aux examens prévus pour la semaine prochaine. Tous les étudiants se séparent avec ces mots, joyeux et satisfaits d’avoir vécu une expérience semblable à celle du Valdocco.


Christophe TCHAWA, sdb

8.1.3 TOGO – GBODJOME

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8.1.4 Les novices en session nbsp;Sexualité et Vie Consacrée 

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En cette ère où un culte exagéré est rendu au corps, où l’amour et la génitalité font l’objet d’une assimilation erronée et, où la chasteté est en crise, il est tout à fait sage de la part des maisons de formation religieuse, d’édifier suffisamment leurs candidats sur le sexe et la sexualité, sujets très médiatisés dans nos espaces et dans notre temps. C’est dans ce cadre que les novices salésiens, ceux de St Jean de Dieu et les postulants du « Verbe Divin » ont été entretenus du 20 au 24 février dernier par la sœur salésienne Maria.


En effet pendant cinq jours, la sœur Maria, animatrice réputée dans ce domaine, a montré dans un style à la fois clair et doux, la naturalité de la sexualité et la conformité de celle-ci avec le plan divin. De prime abord, elle a expliqué en les mettant en rapport entre eux les termes : Sexualité / génitalité et, Continence / chasteté. Elle a par après levé les équivoques conceptuelles qui s’étaient déjà installées dans la mentalité générale actuelle et partant dans leur usage quotidien. Avec un regard religieux – chaque exposé était introduit par la méditation d’un passage biblique lié au thème du jour – nous avons exploré l’anatomie génitale de l’homme et de la femme. Ces connaissances, acquises pour certains, était accueillies par des esprits nouveaux. C’était un dévoilement de ce qui est passé ces derniers temps d’une perception pudique à un érotisme outrageant. Le caractère à la fois fragile et sublime du corps humain apparaît alors de façon évidente, au point où nous sommes portés à vraiment louer le Seigneur à travers la création.

Après avoir créé l’homme et la femme à Son Image, Dieu leur dit : « Soyez féconds … » ( Gn 1, 28 ). Nous sommes appelés à continuer la


création en étant « féconds ». Il a été lancé à chacun un appel à la fécondité. La fécondité est ici le fruit du vécu de la chasteté. Le consacré qui s’emploie à vivre la chasteté, développe librement avec équilibre ses qualités humaines pour un épanouissement total de son être et le bonheur de la communauté. En définitive, la Sœur Maria a présenté à côté du vécu de la chasteté certains problèmes qui nous sont d’une manière ou d’une autre familiers : les pulsions sexuelles, la masturbation, les compensations, la pédophilie, la prostitution et l’homosexualité.

Au vu de tout ce qui a été dit pendant cette session, il n’est pas besoin d’être un fin psychosociologue ou d’être un spécialiste de la communication sociale, pour constater que dans notre monde actuel, la nécessité de cette formation pour des candidats à la vie consacrée, est indéniable. Sachant que la session ne garantit pas une certaine « immunité », nous nous sommes séparés avec le défi d’un bon vécu de tous les conseils évangéliques. Aussi comptons-nous sur la grâce divine.

Paul, novice sdb



CHINE –

MGR ZEN: L’ENGAGEMENT SOCIAL PART DE LA VIE CHRETIENNE
(ANS – Hong Kong: 24 mars 2005)

L’archevêque salésien de Hong Kong, Mgr Joseph Zen, au cours de la récente inauguration du Conseil pour les Affaires du Volontariat, a invité les fidèles non seulement à se mettre à la disposition de l’Eglise, mais à “être également au service de la société”. La nouvelle structure est composée de représentants de l’autorité civile, de l’Eglise catholique, de l’Eglise Anglicane et de l’Association des Entrepreneurs de Hong Kong. Le but est de promouvoir la solidarité et la confiance réciproque, créer la communion et susciter l’attention sur les quartiers. La présence du volontariat catholique à Hong Kong est significative, et au cours de l’épidémie de Sars leur témoignage a été évident.



EN BREF EN BREF EN BREF EN BREF EN BREF EN


SENEGAL : Grégoire Keita raconte les « 25 ans » de présence des salésiens

Nous venons de boucler les Festivités des 25 ans de notre présence au Sénégal. Ce fut un moment intense de vie salésienne. Ont participé: le Régional pour l'Afrique et Madagascar, notre Provincial, les Provinciaux, l’ancien et le nouveau de Léon, ainsi que quatre anciens pionniers salésiens du Sénégal. En dernier lieu, quatre journalistes accompagnés par un salésien de Léon sont venus filmer nos œuvres de Thiès, Tambacunda et Dakar avant de s'envoler pour le Bénin.

Message du 19 02 05

CONGO : Ils aiment recevoir @te.media

De Pointe-Noire, le 9 mars 2005,

« Père, Bonjour et merci pour toutes vos attentions. J'ai apprécié la présentation de « l'ATE media ». Bon apostolat. Bien des choses aux confrères »

Vincent MUNSHYA

8.1.5 ROME Terrassé par la grippe

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Grégoire Kifuayi, qui nous adresse chaque semaine sa méditation du dimanche, nous signale le 7 mars 2005 : « Chers frères et sœurs, A l'impossible nul n'est tenu. Alité près d'une semaine, foudroyé par une grippe, il ne m’a pas été possible de vous proposer une méditation pour le quatrième dimanche de carême. Et en prévision d'un déplacement cette semaine, je vous envoie déjà la méditation du cinquième dimanche. Restons unis dans la prière »

Nous avons souhaité à Grégoire un bon rétablissement


8.1.6 TCHAD-SARH Un peu plus d’ombre

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Tandis que se réunissaient un certain nombre de Chefs d’Etat à Brazzaville pour la protection des Forêts du Bassin du Congo, nous, ici, à Sarh, au centre Don Bosco, avec quelques jeunes et animateurs, nous commencions l’opération « un peu plus d’ombre ». L’opération consistait à planter une cinquantaine d’arbres non fruitiers au sein du Centre pour apporter un peu d’ombre tout autour des terrains de foot, hand-ball, volley, basket et autour de l’espace réservé au spectacle. Toutefois, il faut noter que si cette opération a eu un grand succès, le plus important reste à faire, c’est à dire l’arrosage. Comme le disait l’abbé Christian : « Il ne suffit pas de planter, si ensuite le fruit de ce travail doit disparaître rapidement. » Il faut maintenant arroser. Ce n’est pas l’eau qui manque. Mais il faut le travail de tous, pour que dans cinq ou dix ans, nous puissions nous enorgueillir en disant à ceux qui vont nous remplacer : « C’est nous qui avons planté ces arbres ».

Patrick NGOHDJIBAYE, « media Club Don Bosco »


8.1.7 TCHAD: La Visite du Délégué Provincial à la Pastorale des Jeunes

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Le jeudi 3 mars la communauté salésienne de Sarh a connu la visite du Conseiller provincial à la pastorale des jeunes en la personne du Père Miguel Angel Nguema, «  petit Miguel ». Pendant ces quatre jours passés à Sarh, le père Miguel à pu visiter les différents secteurs de l’œuvre salésienne : le Centre des jeunes Don Bosco, la paroisse saint Joseph de Kassaï, et le Vicariat de Maïbo. Il à eu des entretiens avec les différents jeunes animateurs. Après leur avoir donné un certain nombre d’informations sur la Pastorale des jeunes au niveau de la Province, il les a encouragés à œuvrer dorénavant dans une mentalité de Projet et surtout à collaborer à l élaboration d’un PEPS.


Prosper DANDJINOUBA, “ media Club Don Bosco”

RDC

8.1.8 Ludovic Mpassi nous salue, du « Theologicum de Lubumbashi

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Son message est de début mars : « J'ai participé ce matin et cet après-midi à la journée vocationnelle de la Famille salésienne au collège Imara. Il était question de parler de la vocation des SDB et FMA, Anciens et Anciennes élèves, Coopérateurs, VDB... aux élèves de nos différentes œuvres et écoles de la ville de Lubumbashi. Après leur causerie, les exposants ont répondu aux différentes questions des jeunes, garçons et filles. Dans l'après-midi, les participants ont eu droit à une partie récréative faite de chants et de danses. La journée a été clôturée par le mot du soir du nouveau Provincial.

Depuis hier, la Mère générale des FMA séjourne à Lubumbashi. Une eucharistie pour toute la famille salésienne de Lubumbashi sera célébrée le mardi 15 mars 2005 à Imara. C'est une occasion pour qu'elle adresse un mot à toute la famille.


Ludovic MPASSI <mpassi_ludo@yahoo.fr>

CONGO – BRAZZAVILLE

8.1.9 La St Jean Bosco

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Le lundi 24 janvier : Conférence pour tous les groupements jeunes et adultes sur les thèmes : la vie de Don Bosco, la paroisse confiée aux salésiens, la spiritualité salésienne. Les orateurs sont Papa Dominique, Mme Pauline et Ya Romuald

Le samedi 29 janvier couvre la matinée par un marathon, tandis que l’après-midi se succèdent les activités culturelles.

Le dimanche 30 janvier voit le déroulement d’une belle Eucharistie. La fin de la matinée fait large place aux jeux. Pas moins de 26 groupes participent. Pour le repas de midi, tous se retrouvent par associations.

L’après-midi voit les jeux de Kermesse, et la remise des prix. Après le mot du soir, la Famille salésienne se retrouve pour un moment de convivialité.


D’après Emmanuel KIPULU, sdb








Avec Lui nous sommes vivants à Jamais !


Le Christ est vivant !





8.1.10 VERS LA MAISON DU PERE

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Nous avons appris le décès ce lundi 14 mars 2005, de la maman du Père Armando Briones à Malabo ( Guinée Equatoriale ). Nous disons à la famille toute notre affection et nous l’assurons de notre prière fraternelle.




BON ANNIVERSAIRE EN CE MOIS D’AVRIL


02 Juan Francisco NUNEZ

03 Pergentino BORUPU

03 Emile Désiré MEFOUDE

06 Pascal TUYISENGE

12 Carlos NGUEMA

23 Georges KOEVI

  1. Pelayo OBAMA

30 Ferdinando RICCI

30 Alphonse OWOUDOU




Pour notre prochain numéro de mai 2005,

adressez-nous vos articles avant le 15 avril 2005


Adressez vos articles

A Jean Baptiste BERAUD

Maison Don Bosco, BP 16 07 Yaoundé

jeanbberaud@yahoo.fr

Utiliser l’adresse électronique, c’est nous faciliter notre travail. Nous vous en remercions.





@te.media

Salésiens de Don Bosco, Maison Provinciale,

BP 1607, YAOUNDE ( Cameroon )


Direction : José Antonio VEGA

Administration : José Maria SABE

Rédacteur en chef : Jean-Baptiste BERAUD ( Tél ( 237 ) 222 22 39

Equipe de Rédaction : Eleuterio EVITA ROLE, Roland MINTSA,

Pierre C. ONA ZUE, Pascal TUYISENGE

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Edition espagnole : José Antonio VEGA




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