Lourd d’interrogations apostoliques, le regard de Mère Antonia Colombo,


Lourd d’interrogations apostoliques, le regard de Mère Antonia Colombo,

N° 43 – avril 2004

Vice- Province Salésienne « Notre Dame d’Afrique »

Afrique Tropicale - Equatoriale

B.P. 1607 - Yaoundé – Cameroun

Tél. (237) 222.22.21 Fax : (237) 222.22.51. E-mail :< ans.yde@refinedct.net >

http://owoudou.homily-service.net/atemedia.htm


EDITORIAL


LA VISITE DE DON PASCUAL CHAVEZ


Le Recteur Majeur sera parmi nous du 12 au 19 avril 2004. Il prêchera la retraite aux membres des Conseils Provinciaux et aux Directeurs de la Région francophone.


Un total de 85 personnes est attendu à Mbalmayo. Le dimanche 18 avril sera la journée de la Famille Salésienne à Yaoundé, avec quatre professions perpétuelles. Le lundi 19, le Père Pascual sera á Ebolowa. Il y rcevra les promesses d’un groupe de coopérateurs.


La Congrégation Salésienne a toujours accueilli avec affection, respect, admiration et acceptation les grandes figures des successeurs de Don Bosco. Ils ont été de grandes personnalités. Divers dans leur formation et leur sensibilité, tous ont travaillé à transmettre fidèlement le charisme de Don Bosco au monde entier, à travers toutes les époques et selon les diverses cultures.


Dans son testament spirituel, Don Bosco écrit en septembre 1884 : « On choisira un autre qui vous garde et se préoccupe de votre salut éternel. Ecoutez-le, aimez-le, obéissez-lui, priez pour lui, comme vous l’avez fait pour moi ». Le Recteur Majeur fait revivre Don Bosco parmi nous. Prions pour qu’il reste toujours à son écoute afin de nous transmettre sa spiritualité et nous aider à vivre notre consécration au service des jeunes.


L’Afrique se souvient cette année du « Projet Afrique ». Il y a 25 ans, durant le Chapitre Général de 1978, le Père Jacques Ntamitalizo interrogeait la Congrégation sur sa présence en Afrique, où n’était pas très connu le charisme de Don Bosco. Don Vigano et la Congrégation toute entière se sentaient interpellés et donnaient une réponse courageuse. Le Projet Afrique est un don de Dieu pour la Congrégation. Par lui, le rêve de Don Bosco se fait réalité sur ce continent jeune et plein d’espérance, de problèmes et de valeurs. Par lui, plusieurs Provinces ont envoyé des missionnaires sur ces terres et y vivent leur engagement.


En ce moment de consolidation de la présence salésienne en Afrique, les orientations et les encouragements nous seront toujours nécessaires de la part de nos supérieurs.

La présence du Père Pascual Chávez parmi nous sera une grâce pour notre Province et un gage de la croissance du charisme salésien en Afrique.


José Antonio VEGA, Provincial


« EXCLUSIF »  SALESIENNES DANS LE MONDE

1 Supérieure Générale des Filles de Marie Auxiliatrice.

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2 Pays en guerre, réfugiés, répression, multinationales,

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3 problèmes de l’eau, inégale répartition des terres, trafic de femmes.

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3.1 Le samedi 14 février 2004, Mère Antonia Colombo. Supérieure Générale des Salésiennes, se trouvait à Lyon ( France ) pour l’inauguration du Centre Jean Bosco. Très aimablement, elle répondait à nos questions.

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Ma sœur, les Filles de Marie Auxiliatrice se sont développées beaucoup en Afrique ces dernières années. Quelle est votre vision actuelle sur ce continent ? Comment préciseriez-vous difficultés apostoliques et richesses d’évangélisation ?

Aujourd’hui, le charisme salésien me paraît correspondre vraiment à une attente de l’Afrique. Il y a quelques années, nous avons fait une fête pour rappeler au monde entier les grands problèmes de ce continent. Nous avions posé à nos sœurs cette question : « De quoi avez-vous surtout besoin pour nos frères en Afrique ? ». Elles ont répondu «  D’une école.» . Souvent, en effet, nous nous préoccupons de résoudre d’abord les problèmes les plus urgents, et nous parons au plus pressé. Mais ensuite, si nous voulons que les gens commencent à penser, qu’ils commencent à avoir des moyens pour s’exprimer, pour sortir des conditionnements qui les oppriment, si nous voulons les éduquer à avoir leur point de vue, si nous souhaitons les faire croître réellement et non pas simplement faire auprès d’eux de l’assistencialisme, nous devons assurer des présences à ces personnes pour qu’elles sachent dire ce qu’elles désirent, et apprendre à exprimer leur culture. Nous les aidons à trouver cette confiance en elles, à savoir qu’elles peuvent y arriver. Les conditionnements qui pèsent sur le continent africain sont très lourds. Parfois on est tenté de baisser les bras, mais non, il faut croire à la croissance des personnes. Même s’il y faut du temps, une telle action apportera des changements sur le visage de l’Afrique.


Certains pays d’Afrique ont de très gros problèmes. Vos sœurs sont présentes au Soudan. Y avez-vous rencontré de grandes difficultés ?

Parmi les pays qui souffrent et où l’on a de la peine à vivre en liberté, je crois que le Soudan est celui qui est le plus profondément au fond de mon cœur. Je suis allé à Karthoum, la capitale,. J’ai pu voir ces foules de déplacés. Je garde ces images douloureuses dans mon cœur. Je les revois continuellement. J’ai rencontré des maîtres, des professeurs, dans ces petites écoles de réfugiés. J’avais dans mon programme d’aller au sud, à Wau. Et ces gens m’ont dit : « Tu vas dans notre patrie. Cette terre était notre patrie. Nous voudrions transmettre la mémoire de notre terre à ces jeunes qui sont dans ce désert. » J’ai pensé aux déplacés en exil au temps des juifs et je garde toujours en moi ces grandes souffrances. Je n’ai pas pu aller à Wau, on ne m’a pas donné la permission. L’arbitraire, là-bas, c’est la loi. On essaye de faire mourir ces gens sans les tuer. On les jette dans le désert : « Vivez si vous pouvez ! Sinon, mourez ! ».


Les salésiennes sont très attentives aux grandes questions actuelles. Vous êtes « reconnues » aux Nations Unies. Vous étiez présentes aux Conversations Mondiales sur l’eau. Quels problèmes vous préoccupent plus particulièrement dans votre mission éducatrice des milieux populaires ?

Nous suivons ces Campagnes mondiales qui sont très belles, mais qui trop souvent n’aboutissent qu’à des paroles. Si on entre sérieusement dans ces problèmes, on découvre qu’ils ont d’énormes ramifications. La question de la distribution de l’eau, la question de la répartition des terres sont liées à des situations maintenues par les multinationales. On prend aux gens tout ce qu’ils ont, en les laissant plus pauvres qu’auparavant.

Parmi tous ces problèmes, l’un d’entre eux nous intéresse particulièrement en tant que femmes, celui de la traite des jeunes et des femmes. Nous savons que nous ne pouvons rien faire seules. Aussi, nous travaillons dans l’Union des Supérieures majeures avec d’autres Congrégations. Actuellement il s’agit là d’un trafic toujours plus rentable au niveau mondial. S’il y a tant de profits, c’est parce qu’il y a tant de demandes. Ce n’est pas seulement que les femmes et les petits sont abusés, mais c’est aussi que les familles sont défaites. S’il y a tant de demandes, c’est parce qu’il y a une double vie chez tant d’hommes mariés. Nous avons senti l’appel à mener une action avec les autres Congrégations.

En unissant nos forces nous pouvons espérer au moins sensibiliser l’opinon sur ces problèmes.

Recueilli par Jean-Baptiste BERAUD


3.1.1 LES DIX JOURS AFRICAINS DU PERE HENRI LAFOUGE

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3.1.2 Accueilli le dimanche matin 29 février 2004, par Grégoire Kifuayi et Roland Mintsa à l’aéroport de Yaoundé-Nsimalen, le Directeur de la Maison Provinciale de France arrive sans encombre à la Maison Provinciale de l’ATE, dans la montée Mvog – Ada de Yaoundé.

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3.1.3 Le soir même, il représente sa Province à la célébration du « passage de services entre l’ancien Provincial, Miguel Olaverri, et le nouveau, José Antonio Vega. Le lundi, le voici déjà en route à la découverte d’Ebolowa. Durant son séjour, il voit aussi Mimboman, se recueille sur la tombe de Lucien Jegousso, salue la basilique de Mvolyé. Le Père Agustin le mène sur les hauteurs du Mont Fébé. Dès que le Conseil provincial « de passation est terminé, le Père Miguel l’emmène à Brazzaville, et de là à Pointe-Noire. « A Brazzaville, j’ai tout visité, la paroisse, l’Ecole Professionnelle. A Pointe-Noire, l’accueil aussi a été remarquable. Ensuite, Miguel est resté à Pointe- Noire, et, moi-même, pour revenir, j’ai fait le trajet suivant, assez fatigant quand même. De Pointe- Noire, départ vers Brazzaville, pour aller à Libreville, mais après l’escale à Brazzaville, l’avion est allé à Kinshasa, vers le sud, puis de là est remonté à Libreville, que j’ai pu visiter un peu plus d’une heure avec Henri Caniou. De Libreville, nous sommes repartis à Malabo, et enfin à Douala, où j’étais attendu vers 17h 00 et où je suis arrivé à 23h 30. Le Père Agustin m’a attendu tout ce temps-là 

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3.1.4 Le Père Henri nous a quitté le 9 mars en fin de matinée, « heureux qui comme Ulysse… 

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Dès son arrivée à Paris, il nous écrit : « J'ai beaucoup apprécié les différents passages dans les communautés et j'ai été très heureux de retrouver beaucoup de confrères qui sont passés, ici, à Paris. Merci pour l'accueil royal que j'ai eu chez vous. Je ne suis pas prêt d'oublier un tel voyage. Que de découvertes! »

Le Père Agustin Hernandez a tenu à souligner : « Ce Père nous accueille depuis tant d’années à Paris, et nous a favorisé tant de démarches ! C’était le moins que nous puissions faire de le recevoir chez nous. »

JBB




CAMEROON - YAOUNDE

Les Centres Professionnels Don Bosco

rencontrent « Ensemble ATE » et « Dmos –Comide »


Du 22 au 26 Février 2004, le Centre d’accueil des Carmes à Nkolbisson-Yaoundé a abrité les travaux des responsables de six Centres professionnels Don Bosco de l’ATE, avec le Bureau de Développement et DMOS-COMIDE.


La réunion a regroupé une douzaine de participants. Aux responsables de six centres professionnels des Salésiens de Don Bosco du Cameroun (Yaoundé, Ebolowa), du Gabon (Oyem), du Congo (Brazzaville, Pointe Noire), et de la République Centrafricaine (Bangui-Damala), se sont joints les représentants de DMOS-COMIDE et du Bureau de Développement « Ensemble, ATE ! ».

La rencontre a pour but de dialoguer sur les nécessités, et les priorités du programme établi pour cinq ans conformément aux engagements pris à Libreville au Gabon en Février 2003 lors de la session de formation sur les techniques d’évaluation, organisée par « Ensemble, ATE ! » avec l’appui financier de DMOS-COMIDE de Bruxelles ( Belgique ) et avec l’appui technique de « South Research » de Louvain ( Belgique ). Le principal objectif reste la consolidation des Centres Professionnels des Salésiens de Don Bosco en Afrique Tropicale Equatoriale.

Marc Van Laere de DMOS-COMIDE et le Père Miguel Angel Olaverri de la Province ATE assurent le « planning » des réunions et font office de « modérateurs ».

Huit étapes ont précédé cette rencontre :

1.Analyse SWOT ( Forces-Faiblesses-Opportunités-Ménaces ) par Centre professionnel concerné (été 2003).

2.Analyse SWOT du Bureau de Développement « Ensemble, ATE ! » (été 2003)

3.Bréve présentation par Centre professionnel du contexte et du groupe cible suivie de la description des moyens, activités, et résultats du partenaire local pour début de l’action (Automne 2003)

4.Visites de terrain par le Bureau de Développement et le Provincial ATE suivie de l’élaboration d’un rapport intermédiaire (Septembre 2003)

5.Evaluation du développement organisationnel par Centre professionnel et par le Bureau de Développement (été 2003)

6.Réunion des membres du Bureau de Développement-Conseil Provincial-Responsables des centre professionnels et DMOS-COMIDE à Yaoundé au Cameroun en marge de la Rencontre Continentale (Novembre 2003)

7.Seconde visite de terrain du Bureau de Développement et du Provincial « ATE » (Décembre 2003 et Janvier 2004)

8.Rencontre DMOS-COMIDE avec le Père Miguel à Bruxelles en Belgique (Janvier 2004)

La rencontre se révèle déjà très enrichissante et participative. Pour cela le Bureau de Développement remercie le Gouvernement Belge /DMOS-COMIDE et la Province ATE pour leur engagement à promouvoir la consolidation des Centres professionnels en Afrique Tropicale Equatoriale. L’étape attendue maintenant est que ce « Projet – programme » de cinq ans dont l’introduction à DMOS-COMIDE est prévue en Juin 2004 soit définitivement approuvé.

Jeanne-Marie MINDJA


Luc a rédigé les Actes des Apôtres. Et s’il ne l’avait pas fait, que saurions-nous des premiers chrétiens ? Crois-tu que tu as le droit de ne jamais raconter aux autres les merveilles que Dieu écrit chaque jour par la Famille salésienne ?

CAMEROON - YAOUNDE
Soirée salésienne au Centre Culturel Français de Yaoundé


La Rencontre sur le livre « Des Chrétiens face à la Dictature – Chili, 1970-1988 », annoncée dans « ate.media » de décembre 2003 a bien eu lieu le mardi 20 janvier 2004 à 17h 30 au CCF.

La présentation du livre sur « cette page d’Histoire trop peu connue de la vie courageuse de l’Eglise en Amérique latine » s’est réalisée « devant l’auditoire le plus important jamais atteint dans cette salle, pour ce type de manifestation », au dire de Mme Odile Dayak, Directrice du Centre. S’étaient déplacés salésiennes et salésiens de Mimboman. Le Père José Miguel Prieto amenait avec lui d’autres chiliens. La Radio d’Ebolowa avait envoyé un de ses journalistes. Assisté de Roland Mintsa et de Pascal Tuyisenge, Jean Baptiste Beraud évoqua devant quelque 120 personnes cette période retracée dans son livre. De nombreuses questions montrèrent que le public camerounais était sensible à l’action de ces communautés chrétiennes de base latino-américaines qui, appuyées par leurs pasteurs dont le Cardinal Salésien Raùl Silva Henriquez, avaient approfondi leur foi au sein même de ces douloureuses années. Le Père José Antonio Vega avait spécialement soigné les tracts d’invitation. Tout le personnel du CCF avait tenu à faciliter la préparation de la salle et de la publicité. De belles affiches colorées étaient sorties de leurs ateliers. Le service d’accueil était assuré par Mmes Jeanne-Marie Mindja, Anne Awundja, Salomé Pulchérie Bibi Ahanda, Mireille Justine Essama, et Micheline Ngamba. Le stand librairie était dirigé par Ignace Privat Fouda et Dominique Hounsounou assurait les transports. M. l’ambassadeur de France vint saluer aimablement le public. Une somme de 80 000 cfa était remise le lendemain au Délégue Provincial à la Pastorale des Jeunes. Elle représentait le produit intégral des huit volumes dédicacés et vendus à l’issue de cette soirée familiale bien salésienne.

La Rédaction

En visite à Yaoundé, Denis Soro

Arrivé parmi nous samedi soir 13 mars 2004, Denis effectue son premier retour au Cameroon, depuis son départ de l’Ecole de Théologie St Cyprien de Yaoundé en juin 2002.

Ordonné prêtre le 25 janvier 2003, à Sikasso, dans une Côte d’Ivoire alors tristement secouée, il vient participer à l’ordination des quatre nouveau diacres de nos deux Provinces de l’AFO et de l’ATE. ce dimanche 14 mars 2004. Ses jeunes compagnons d’études lui demandent de leur remettre lui-même l’étole diaconale. Le soir de ce dimanche, la Paroisse ND Auxiliatrice de Mimboman lui offre cette joie de célébrer chez elle l’Eucharistie, sa « première messe » dans cette assemblée chrétienne qu’il a accompagné tout au long de sa préparation au sacerdoce. Tous veulent savoir ce qu’il devient.

« Actuellement, je suis au Togo, à Lomé, Directeur de CAMA, le Centre d’Apprentissage Maria Auxiliadora. Nous avons là 132 jeunes répartis sur trois filières professionnelles, électricité, menuiserie, construction métallique. Ils sont accoimpagnés par de très bons enseignants togolais.

Je suis aussi vicaire à la paroisse où j’assure en particulier l’aumônerie des jeunes. Nous avons beaucoup de temps occupé par la vie sacramentelle. Qu’il suffise d’évoquer sur notre immense territoire les cinq communautés de quartier, les dix messes de chaque dimanche, les longues heures de confession durant les trois derniers jours de la semaine. Au plan des jeunes, ce ne sont pas moins de 78 groupes qui se sont organisés. Beaucoup de chorales, de groupes de prière, un groupe mixte « vocationnel » très vivant, mais aussi des animateurs de patronage, de musique, de théâtre. L’aide des étudiants post-novices sur ce programme avec les jeunes est primordial. Vous le devinez, la tâche est enthousiasmante. Cependant nous sentons un problème réel sur lequel nous réfléchissons beaucoup dans notre communauté salésienne : comment évoluer dans cette ambiance chargée de « religiosité », vers une action réfléchie et apostolique pour une transformation des réalités sociales selon les souhaits constamment exprimés par l’Eglise, en particulier depuis le Concile. ?»

Recueilli par JBB



Le dimanche 14 avril 2004, Mgr Jean-Marie BALA, évêque de Bafia, a ordonné diacres

Aurélien Ahouangbe, Roland Mintsa, Francisco Moro Mba, et Pascal Tuyisenge.


CENTRAFRIQUE – BANGUI

Ordination sacerdotale à St Jean de Galabadja

La communauté Salésienne de Bangui (Damala - Galabadja) a vécu un moment inoubliable

Le 14 février 2004, les chrétiens sont venus de divers horizons pour célébrer l'ordination sacerdotale d'un ainé, le Père Irénée Ndaimo, lazariste, à la paroisse St Jean de Galabadja. C'était la première ordination sacerdotale dans la dite paroisse confiée aux salésiens. C'était en même temps la première célébration sur la paroisse du nouvel Archevêque de Bangui, Mgr. Paulin Pomodimo. Il a concélébré avec nos confrères, les Pères Paul Ebome, Albert Vanbuel et Carlos Nguema, ainsi qu’avec quelques responsables lazaristes venus du Cameroon, et plusieurs prêtres diocésains, associés à cet heureux évènement de notre église.

Le Supérieur des Lazaristes a remercié infiniment la communauté salésienne pour sa contribution à cette belle célébration. Il n'y a pas de présence lazariste en Centrafrique. C'est émouvant d'assister à une telle célébration après seulement quelques jours de préparation.

« La confiance en Dieu est toujours réalisable lorsque confrères et sœurs sont unis autour du Christ ».

Félix MANGOMBE, postulant


CONGO – BRAZZAVILLE

La St Jean Bosco à Saint Charles Lwanga

Tenue le 31 janvier 2003 à saint Charles Lwanga, la Fête de Saint Jean Bosco à connu cette année, un véritable tournant spectaculaire. Depuis le 27 décembre 2003, le Père Emmanuel, et quelques responsables avaient organisé une réunion. Nous y avions composé trois commissions pour les préparatifs de ces Journées..


Commencé par un tournoi de football le 10 janvier, le programme a été amorcé par un concert de chants religieux, avce la participation de plusieurs groupements de la paroisse et des paroisses voisines. Sont venus la schola populaire, le chœur Don Bosco, le groupe évangélique les « Disciples », et un groupe de Rap.

Très tôt le matin sont arrivés plusieurs animateurs chargés de la décoration de la paroisse et de l’organisation de la messe. A 10h 00, l’église est pleine à craquer. La messe est célébrée par Mgr Jean Gardin qui s’attarde longuement sur la vie de Don Bosco en mettant un accent particulier sur les jeunes, espoir de demain. :« Criez, sautez ,jouez, faites tout ce que vous voulez sauf le péché ». En action de grâces, quelques jeunes présentént un extrait de la vie du saint. Mgr Jean Gardin se dit agréablement surpris.

A la fin de la cérémonie toute la paroisse est envahie par des jeunes qui ça et là s’affairent à participer à tel ou tel jeu, conseillés par les animateurs qu’ont préparé le Père Emmanuel Kipulu et son confrère Albert Mbedi. Une initiative surgit, hors de l’ordinaire, l’élection de « Miss Don Bosco ».


« Je n’ai jamais rien vu de pareil »

La journée culturelle a connu un moment intense avec les arrivées de Mgrs Ernest Kombo et Nsayi qui n’en revenaient pas de voir autant de jeunes. Et le Père Chopin qui s’écrie : « Je n’ai jamais rien vu de pareil depuis dix ans. Le temps est venu que vous, jeunes, vous puissiez vivre et faire vivre les autre jeunes. Don Bosco est revenu à Saint Charles »

La journée s’achève avec une évaluation des animateurs, en connivence avec la communauté salésienne de la Cité des jeunes, située à 21 Km de chez nous, avec les sœurs des Sacré Cœur de Jésus et Marie et avec l’aumônier diocésain des jeunes. Le tout est fêté par un bon repas. « Merci Don Bosco de revenir chez nous. Nous voulons que tu y restes. Tu es un tailleur et nos âmes sont des habits, fait de nous ce que tu veux… »

Thibaut MASSENGO, animateur salésien


GABON-LIBREVILLE

A Okala- Mikolongo, les collaborateurs de la Cité Don Bosco en formation


Le thème du mois de février est basé sur les caractères d’un bon animateur. Quelle attitude doit avoir l’éducateur face aux jeunes.

Le fond de cette formation porte surtout sur la personnalité de l’animateur vis-à-vis du jeune. Quelles questions sur le plan psychologique et spirituel ? Le Père José Marie nous explique que pour être un bon animateur, il faut avoir un cœur humble, savoir recevoir les autres, les aider et avant d’apprendre à l’autre, savoir se maîtriser soi-même. Quelqu’un qui n’a jamais joué au ballon ne peut devenir un bon entraîneur de foot ball. Nous essayons de mettre ensuite en pratique quelques-unes des méthodes d’accueil et d’assistance aux jeunes. Nous terminons par une évaluation de notre première Fête de Saint Jean Bosco en réfléchissant sur son impact dans notre quartier et dans la Cité.


L’oxygène des familles 


Je suis un jeune collaborateur à la Cité des Jeunes Don Bosco Okala Mikolongo.

J’y suis chargé des activités sportives. Bien que protestant, je milite dans cette œuvre catholique salésienne et j’en suis fier. Depuis que je suis au sein de la Cité j’ai acquis une certaine expérience en ce qui concerne l’éducation des jeunes. J’aimerais tout d’abord saluer ici les efforts fournis par les salésiens et les collaborateurs de notre cité en soulignant un passage de l’éditorial écrit par Jean-Noël Charmoille qui disait ceci. « Vous et moi à l’image de Dieu, responsable d’un monde à transformer, d’un monde à aimer » car je me suis toujours dit que lorsque chacun s’y met, tout marche à merveille. Grâce à tous ceux qui coopèrent dans ce centre, tout va de mieux en mieux. Au début on était confronté à plusieurs difficultés, maintenant ça marche. Les jeunes sont ravis, trouvent des amis et se sentent chez eux. Comme disait le chef du quartier pendant la fête de saint Jean Bosco « les jeunes ont trouvé une maison qui les unit sans distinctions et les met dans une ambiance éducative ». Notre projet d’accompagnement souligne quatre dimensions de développement du jeune : intellectuel, physique, social, spirituel. L’engagement scolaire est manifestement prioritaire et les enfants rentrent dans le jeu.


Hans Pature NGOULOU, collaborateur à la Cité des jeunes


En récollection a Mikolongo, les catéchistes de la Paroisse St Pierre


Le dimanche 29 février 2004, accompagnés par le Père Gilles Delalande, curé de la Paroisse Saint Pierre de Libreville, les catéchistes de cette paroisse tenue par les salésiens se sont retrouvés en récollection à Mikolongo dans les locaux de la communauté salésienne.


Le programme de cette journée se compose de deux enseignements :

Le premier a pour thème « Brève histoire de la catéchèse depuis les apôtres jusqu'à nos jours ». A travers les siècles, la catéchèse a eu des moments forts et des moments de bouleversements, en particulier avec le schisme et la naissance du protestantisme au XVIè siècle. D’une manière globale, de nos jours, nous vivons la catéchèse comme initiation à la communauté de foi en étant centré sur Jésus, en privilégiant le vécu des enfants pour que de leur vie jaillisse la gloire de Dieu.

Le deuxième s’intitule « la catéchèse paroissiale ». Partant de la définition de la paroisse, il

s’agit d’un travail d’évangélisation. Il est nécessaire d’être fidèle à Jésus et de chercher à convertir les autres. Pour les membres du corps du Christ, la catéchèse ne peut pas être envisagée en dehors de Jésus et encore moins en dehors de l’Eglise.

Nous terminons par une réflexion, axée sur les responsabilités des catéchistes face à leur

engagement, dans le souci d’établir une charte du catéchiste pour la prochaine rentrée catéchétique.

 

Nadine NGUEMA, catéchiste à la paroisse St Pierre de Libreville


GABON – PORT GENTIL

Récollection pour le Carême 

Le samedi 28 février 2004, une journée de récollection est organisée au Centre des jeunes Don Bosco de Sainte Barbe. Elle regroupe les jeunes de quelques groupes et mouvements du Centre.


Pour la présentation du thème, la figure de Zachée est proposée après une lecture de l’Evangile de saint Luc 19, 1 à 10. Un panneau indique diverses phases de vie et de rencontres avec le Christ. Après un temps de méditation, travail en carrefours par groupes de 8 à 10 personnes, basé sur un questionnaire de cet Evangile. Suite à cette réflexion et aux réponses aux questions, chaque groupe formule une prière en tenant compte du partage fait au préalable. Tout cela se termine par une mise en commun de tous les groupes.

En second temps, il y a l’explication du Carême. Que signifie ce mot ? Que faire pendant cette période ? Autant de questions qui ont été éclaircies avec l’appui d’images interpellant l’assemblée.

Le Père Benoît lit ensuite et commente le message du Pape Jean Paul II sur le Carême 2004 : « Celui qui accueille un enfant comme celui-ci en mon nom, c’est moi qu’il accueille » (Mt 18, 5). Il exhorte et interpelle les uns et les autres sur certains passages marquants de ce message. Avant de terminer la récollection, il explique le cheminement du Carême : « Vers Jérusalem ! ». Il s’agit là du chemin sur lequel nous devons suivre Jésus et qui doit nous conduire au salut, à la conversion des cœurs ; et c’est aussi un cheminement pour les catéchumènes de la nuit de Pâques !

Visites à Port-Gentil 

La communauté salésienne et paroissiale de Sainte Barbe, a eu en primeur la visite du Père José Antonio Vega, nouveau Provincial de l’ATE, en remplacement du Père Miguel, qui a assuré dix ans de bons et loyaux services.

Visite brève (du samedi au mardi matin), mais assez riche. Le Père José Antonio a présidé la messe du dimanche à 8h00, malgré le « palu » qui le menace. Pendant cette célébration, il nous donne une recommandation fondamentale en rapport avec l’Evangile du jour, la Transfiguration : « Faire silence et écouter Dieu nous parler ». Pendant les Vêpres du dimanche, au mot du soir, il nous présente la situation de toutes les communautés de l’ATE avec comme problème commun et majeur, le manque de prêtres et de religieux pour travailler à la moisson du Seigneur, à la suite de Don Bosco. Il exhorté les jeunes à s’engager davantage dans cette voie particulière à laquelle Dieu appelle. Le Père note cependant l’espoir qu’apporte le nombre assez conséquent de novices en ce moment. Il prend le temps également de rencontrer quelques jeunes du Centre. Le mardi matin, après la messe, il nous dit « au revoir », en promettant de repasser nous visiter très prochainement.

Sœur Vilma Tallone également en visite à Port-Gentil, est venue aussi nous saluer. Elle nous a fait la confidence de sa dernière visite en tant que Provinciale de l’AFO. En effet, cette Province sera désormais divisée en deux avec une Maison Provinciale à Abidjan et une autre, la nouvelle, à Libreville. Sœur Vilma reste travailler dans la jeune Province de l’Afrique Centrale, qui sera sous la responsabilité de Sœur Lucie.

Nous souhaitons au Père José Antonio et à Sœur Vilma beaucoup de courage dans leurs nouvelles fonctions !

Yolande OSSAVOU, coopératrice salésienne

NDLR : Sr Vilma reste à son Poste de Provinciale jusqu’en août 2004

GUINEE EQUATORIALE

Le collège espagnol observe une minute de silence

Au mot du matin, le 12 mars 2004, en solidarité avec le peuple espagnol, le collège tout entier rassemblé a dit non à la violence et oui à la fraternité.

Les étudiants ont gardé une minute de silence. Devant les trois groupes des primaires, des secondaiures et du baccalauréat, le directeur d’études des secondaires s’est exprimé : « Aujourd’hui, avec des milliers d’espagnols plongés dans la douleur par le terrorisme, et pour rendre grâces à Dieu d’un bain de sang évité dans ce pays nous prions pour la paix comme un signe de solidarité et comme un appel à notre fraternité universelle. »

Suite à ces mots, le chant retentit vigoureusement :  « Tes mains sont les colombes de la paix ». Le directeur dit alors une prière de paix, soulignant la nécessité de vivre en fraternité et de se respecter différents. Suit une minute impressionnante de silence. Les jeunes viennent de vivre un moment fort contre le terrorisme et pour la solidarité avec le peuple espagnol.


M. le Curé prend possession de sa paroisse

Dès 19h 00, l’église est comble lorsque devant Mgr l’Archevêque de Malabo, le salésien

Pablo Labrado reçoit la charge de la paroisse de Ela-Nguema.

Dans la matinée, la pluie menaçait, mais dans la soirée, le ciel est clair et la nuit étoilée. Les gens se pressent pour entrer dans l’église.

Les trente minutes d’homélie de Mgr sont suivies de trois gestes qui marquent l’installation du nouveau curé. Pour commencer, l’Archevêque ouvre le tabernacle et remet la clé au Père Pablo. Ensuite, il l’accompagne au confessionnal, signifiant ainsi qu’il lui confie le sacrement de pénitence. Comme il est déjà tard, le troisième geste n’aura pas lieu. Il s’agissait d’aller au cimetière.

Cependant le « jeune » curé est invité à prendre la parole. Il exprime sa joie de recevoir cette nouvelle mission. Puis il rappelle à ses paroissiens le vrai visage de la paroisse, communauté de foi, de culte par l’action des sacrements, et communauté de charité. Il présente alors son projet de nouveau curé. Il souhaite construire une communauté vivante, sensible aux jeunes, accueillante, disponible et populaire, tournée vers la charité. Une communauté qui éduque en évangélisant et qui évangélise en éduquant, une communauté centrée sur le Christ et sur la Vierge Marie.

Eleuterio EVITA, sdb

TCHAD

N’Djamena prépare l’avenir

L'homme de la rue rirait sans doute si nous lui disions que dans notre communauté Saint François de Sales, nous avons réfléchi et médité sur notre " Pauvreté".

En effet, le samedi 21 février 2004, le Père Pietro Bano nous entretient sur trois manifestations de la pauvreté : le témoignage du Royaume, le renoncement pour le service et la dénonciation par solidarité avec les souffrants. L'importance de la question nous amène le lundi suivant à nous y appesantir davantage dans une révision durant la réunion communautaire. Les biens de la congrégation sont seulement pour la mission. Ne trahissons pas l'élan de charité de nos bienfaiteurs.

Parlant de bienfaiteurs, la Présence salésienne de N'Djaména a reçu la visite des chargés des affaires tchadiennes et camerounaises de l'Organisation Non Gouvernementale espagnole " Manos unidas". Cette organisation qui finance des projets communs dans divers domaines ( Éducation, Santé, Agriculture, Promotion de la femme et Droits humains), permettra à notre Centre de Jeunes d'acquérir un nouveau bâtiment qui résoudra sans doute les problèmes d'étroitesse de notre espace actuel.

Les nouveaux locaux seront certainement prêts en avril, mais en attendant, le Régional nous rend visite. Arrivé à N'Djaména le 2 février, le Père Valentin De Pablo part le lendemain matin pour Sarh en compagnie du Père Bergadano Enrico. Après la visite officielle de la présence de Sarh, il arrive de nouveau à N'Djaména dans l'après-midi du lundi suivant.

Hormis les rencontres individuelles avec les confrères, et les réunions avec les responsables des différents secteurs ( Centre des Jeunes, Paroisse et Économat ), il nous a déjà jusqu'ici dans les "mots du soir" entretenu sur les motivations profondes de notre vocation. Il rencontrera dans les jours à venir le Conseil du Centre des Jeunes et le Conseil Pastoral de la Paroisse Emmanuel d'Abbena.

Paul II Clark TEGUE, postulant



UN DOSSIER SUR JUSTICE ET PAIX

Notre Bulletin Salésien N°6 de Juillet 2004 est en préparation. Son Dossier est prévu sur « Justice et Paix ». Vous vivez assez souvent des témoignages d’actions menées par des jeunes ou des adultes dans cette orientation. Vous pouvez nous les adresser jusqu’au 1er mai.



BELGIQUE
Des nouvelles de Désiré Silverans
Le mercredi 10 mars 2004, Désiré adresse à notre Rédaction une longue lettre. Extraits.


Je profite de l'occasion pour remercier de l'envoi régulier des informations et du Bulletin de la province. La vie de la province ATE m'intéresse toujours ! Les seuls contacts, que j'ai encore, à part tes éditions et nouvelles, concernent la vie de la communauté de Pointe-Noire. Il y a toujours des accents dans ces messages qui dépassent ce qui est purement fonctionnel et qui me font comprendre la vie de cette communauté.

Nous avons tenu notre chapitre provincial du 22 au 25 février. Notre Province BEN montre un ensemble vieillissant de 196 confrères dont l'âge moyen est de 66 ans. Nous sommes pourtant encore avec 23 confrères en dessous de 40 ans, 53 en dessous de 50 ans. Les jeunes manquent : ils sont seulement 6 en dessous de 30 ans ! Nous avons 9 écoles où travaillent comme salésiens seulement 3 directeurs, 9 professeurs, et 4 membres d’administration. Nous avons le « Centre d'Enseignement Don Bosco » ( DBOC : Don Bosco Onderwijs Centrum ) , qui suit aussi des écoles de nos sœurs ainsi que d’autres congrégations. L'ensemble compte 14.598 élèves et plus de 2.200 professeurs. Ce « Centre » suit, dans le cadre de la législation sur l'enseignement, les écoles du DBOC. Il a un groupe pour l'accompagnement pédagogique, pour les finances, pour les constructions, pour la pastorale, pour la prévention, pour les écoles primaires et pour la formation des nouveaux professeurs. Il a aussi sa propre revue et emploie un personnel laïc important. Il a peu de problèmes financiers mais un manque réel de personnel salésien. Il vaut la peine de consulter sur Internet : http://www.donbosco.be. .

La BEN a 6 œuvres d' « Aide à la jeunesse » des maisons d'accueil avec seulement 7 confrères. La Province a encore 3 Centres Spirituels avec tout le nécessaire pour l'accueil. Un autre aspect est l'engagement de la Province dans le « Jeugddienst Don Bosco (Service à la jeunesse) » qui est officiellement subventionné par le gouvernement.

Ce service est très actif : www.jeugddienstdonbosco.be

Nous avons enfin une excellente Bibliothèque reliée à celle de l'Université de Louvain et spécialisée en particulier sur tout ce qui concerne Don Bosco et la pédagogie.Heureusement que notre Province à un excellent accompagnement pour les laïcs. Certains d’entre eux sont autant salésiens que les salésiens eux-mêmes. Cordialement à tous,

Désiré SILVERANS, sdb, ancien de l’ATE


SPECIAL INITIATIVE

A Libreville, Désiré DJECKAM lance la formation à la communication

Désiré nous écrit de Libreville le 10 mars 2004

Avant mon départ vers Libreville, je vous avais promis d’être le correspôndant de « ate.media » pour cette ville. Mais sur place, j’ai pris l’initiative de former, de stimuler, d’encourager les jeunes dans ce service de la Province. Convaincu que je ne serai pas au Gabon toute ma vie, j’ ai choisi de préparer des personnes pouvant le faire en mon absence : « Ne me donne pas du poisson, mais apprends-moi à pêcher. »

Mon principal projet en ce qui concerne la communication dans notre Province, c’est la mise en place d’un club « ate.media » parmi les groupes de notre nouvelle Cité. A Libreville, chaque numéro de « ate.media » est affiché, disponible dans les différentes salles. Une façon pour les stimuler à écrire. Ils en sont contents


NDLR : Désiré, nous souhaitons vivement que ton exemple inspire d’autres salésiens. La Congrégation a inscrit la Communication parmi ses priorités. Cela veut dire qu’il nous faut susciter des « apôtres en communication ». Fais noter à tes jeunes leurs expériences. Si d’autres présences salésiennes font ce même travail, notre Province aura demain un véritable mouvement de jeunes communicateurs. Que St Jean Bosco continue de t’inspirer sur cette route, et nous avec.




EN BREF EN BREF EN BREF EN BREF EN BREF EN


4 IIIe Assemblée Mondiale des Anciens Elèves

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Elle se tiendra du 24 au 29 avril 2004 à Rome, à la Pisana. Au programme, l’élection du nouveau Président Mondial, et la participation de tous les délégués aux béatifications des membres de la Famille salésienne le dimanche 25 avril 2004 sur la place St Pierre de Rome, Auguste Czartoryski, sdb, Sœur Eusebia Palomino, fma, et Alejandrina da Costa, coopératrice salésienne.


ls ont répondu à notre appel

Nous avions demandé si « ate-media » arrivait bien à domincile, vu la campagne de virus dont nous sommes la cible depuis quelque temps. Merci à tous ceux qui ont eu la gentillesse de répondre. Sauf erreur ou omission voici leur liste dans l’ordre d’arrivée : Emmanuel Kipulu, Ossavou Yolande, Grégoire Marie Kifuayi, Alphonse Owoudou, Jeanne Marie Mindja, Nguema Miguel Angel, Centre de N'Djaméma, Jose Gangoso, Ignace Fouda, Comunidad Salesiana de Bata, Pascal Tuyisenge, Eynem Maguergue, Ahouré Cyprien, Père Giorgio ( Sarh ), Francis Gatterre, Guy Ollivry, José Antonio Vega, Léon Musaas, Désiré Silverans, et le Père Joseph Mermier, de Brazzaville, qui transmet au Centre Don Bosco de cette ville.


Alphonse Owoudou lance le site web de l’ATE

Le Père Alphonse Owoudou, « alphonse@ups.urbe.it », et « woodalf@yahoo.fr »

nous écrit le vendredi 6 février 2004 :

Nous venons de célébrer dans la Chapelle Universitaire, avec les six Communautés de la Visitatoria de l'UPS, le premier mois depuis la mort du Père Giovanni Fedrigotti, décédé le 2 janvier dernier. En dehors de cela, ce sont les examens qui nous occupent tous, enseignants et surtout étudiants, avec la nervosité que vous pouvez deviner dans le regard et la psychologie des néophytes.

Je l'écris en connaissance de cause! Mais comme je disais à quelqu'un, on y fait face avec le courage que nous avons appris "au village".


Alphonse OWOUDOU, sdb




LE SITE DE L’ATE

Alphonse Owoudou assure depuis longtemps un site d’homélies pour le dimanche. Ce site offre maintenant une véritable présentation de l’ATE. Chaque mois, toutes les pages de « ate.media » sont reprises et redistribuées par pays. Des astuces pédagogiques invitent l’internaute à cliquer sur la carte géographique d’un pays pour obtenir immédiatement des nouvelles de cette région. Des questions peuvent être posées pour mieux connaître St Jean Bosco et autres membres de la famille salésienne.

Pour avoir accès à ce site salésien de l’ATE,

cliquez pour l’instant sur la formule suivante :

http://owoudou.homily-service.net/atemedia.htm





AVRIL 2004 : JOYEUX ANNIVERSAIRE




02 Juan Francisco NUÑEZ 12 Carlos NGUEMA

03 Pergentino BORUPU 30 Ferdinando RICCI

06 Pascal TUYISENGE 30 Pelayo OBAMA

30 Alphonse OWOUDOU


Le tableau ci-dessus sur les « anniversaires » est préparé et suivi par Roland Mintsa.

Adressez-vous à lui pour toute rectification ou complément : rolandmintsa@yahoo.fr






Pour notre prochain numéro de mai 2004,

adressez-nous vos articles avant le 15 avril 2004

( Les textes qui nous arriveraient après le 15 avril ne pourront pas être publiés dans ce numéro. Ils devront attendre celui de juin 2004 )


Faites–les parvenir à Père Jean-Baptiste BERAUD

Maison Don Bosco, BP 16 07 Yaoundé, ( Cameroun )

ans.yde@refinedct.net


Utiliser l’adresse électronique, c’est nous faciliter notre travail. Nous vous en remercions.



@te.media

Salésiens de « Don Bosco » Direction : José Antonio VEGA

Maison Provinciale Administration : Agustin HERNANDEZ

B.P 1607 Rédacteur en chef :Jean Baptiste BERAUD

YAOUNDE (Cameroun)Tel : (237) 222.22.39

Equipe de Rédaction :

Ignace –Privat FOUDA

Pierre Célestin ONA ZUE

Roland MINTSA

Pascal TUYISENGE

Edition espagnole : José Antonio VEGA




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