ATEM MARS 04


ATEM MARS 04


N° 42 – mars 2004

Vice- Province Salésienne « Notre Dame d’Afrique »

Afrique Tropicale - Equatoriale

B.P. 1607 - Yaoundé – Cameroun

Tél. (237) 222.22.21 Fax : (237) 222.22.51. E-mail :< ans.yde@refinedct.net >


EDITORIAL


NOUVELLE ETAPE


Tout avait été bien prévu. La « passation de services » entre l’ancien et le nouveau Provincial de l’ATE était annoncée pour le dimanche 29 février 2004. Lieu et heure étaient précisés. Différentes grèves en ont décidé autrement. L’avion qui ramenait le Père José Antonio de Paris au Cameroun n’a pu partir à l’heure.


Finalement, tout s’est bien arrangé avec à peine un jour de retard. La célébration a eu lieu le lundi 1er mars au lieu du dimanche 29 février 2004. Dans la nuit du dimanche au lundi, arrivent de Douala à la Maison Provinciale de Yaoundé, les Pères Valentin de Pablo, José Antonio Vega, Miguel Olaverri et Lluis Oliveras, Provincial sortant de l’AFO. Le successeur de ce dernier, Manolo Jimenez, se trouve, lui, obligé de nous quitter dès le lundi matin.

A 18h 30, ce 1er mars, la Maison Provinciale reçoit ses invités pour l’Eucharistie. Le Père Valentin de Pablo, Régional salésien de « Afrique-Madagascar », préside la liturgie. Il est assisté des Pères Miguel, José Antonio et de plusieurs autres. Le Père Henri Lafouge, directeur à Paris, de la Maison Provinciale de France est là. Bien arrivé la veille, envoyé au nom de sa Province, qui reste une des « Fondatrices » de l’ATE, il a eu le temps, dimanche, de nous donner un mot du soir très apprécié. Les communautés de Mimboman, Ebolowa sont largement représentées. Les sœurs salésiennes et celles de Don Variara participent à la Fête. Quelques moments plus émouvants marquent la liturgie. Le Père Miguel lit sa dernière lettre de Provincial à ses confrères. Le Père José Antonio s’adresse à eux pour la première fois officiellement. Le temps des « signatures » se fait dans le recueillement. Le Régional ouvre avec la sienne une nouvelle route à Jésus-Christ. Le repas sur la terrasse reste l’occasion de nombreux échanges et dejà s’ébauchent ici ou là de nouveaux projets. Les jeunes théologiens multiplient leurs couplets. Le Père Miguel prend sa guitare. La vie continue.

Don Bosco ne s’arrête pas aux premiers 25 ans du Projet Afrique. Pour ce qui est de. l’ATE, le Père José Antonio ouvre déjà le 2e quart de siècle.


Jean Baptiste BERAUD


« EXCLUSIF »

LE 9e SUCCESSEUR DE DON BOSCO

COMMENTE SA VISITE AU RWANDA



Le Père Pascual Chavez célébrait les 7 et 8 février 2004 à Kigali, les « 50 ans » de la présence salésienne au Rwanda. Le 13 février, il était à Lyon (France) pour l’inauguration du Centre Jean Bosco. Volontiers, il y répondait à nos questions.


Père, vous êtes passé récemment au Rwanda. Quelles sont vos impressions sur ce pays marqué encore par le terrible génocide ?

Je me suis trouvé dans un pays en grande recherche de paix. Je retire de ma visite une impression des plus favorables après ces événements qui, il y a à peine dix ans, ont été parmi les plus dramatiques de l’histoire de ce peuple, d’abord par le génocide, et ensuite par la guerre. Aujourd’hui le grand défi du Rwanda est de pouvoir consolider la paix.


Comment les salésiens eux-mêmes vivent-ils ces difficultés, alors que dans leurs propres communautés ils se retrouvent assez souvent d’ethnies différentes ?

La différence culturelle des groupes ne peut pas s’effacer. Elle ne doit pas être effacée. Elle fait partie des richesses de la convivialité. Poursuivre le dialogue interculturel et chercher les raisons profondes de l’unité restent des tâches prioritaires. Je dois dire qu’au niveau de nos communautés, je n’ai pas trouvé de grands problèmes, même si tous sont préoccupés de la situation sociale et économique qui suscite de très nombreuses difficultés. Nos confrères répondent aux nécessités actuelles du pays en réalisant la mission propre des salésiens qui est l'éducation, et en multipliant leurs diverses présences auprès des jeunes et des familles.


Comment voyez-vous l’avenir des salésiens dans ce pays ?

L’Eglise et les salésiens ont certainement beaucoup d’avenir au Rwanda. Le défi est comme partout de chercher à créer les conditions dans lesquelles peuvent croître et mûrir des vocations. A ce propos, on peut tenir compte que dans toute l’Afrique, ce pays est avec le Burundi, son voisin, parmi ceux qui vivent toujours avec la sensibilité la plus forte sur le plan religieux, chrétien et catholique. Par ailleurs, nous avons toujours à garder sur ces terres le souci de toucher l’âme culturelle des femmes et des hommes à travers l’évangélisation et l’éducation.


Recueilli par JB BERAUD

CAMEROON – EBOLOWA

Le FOFEM 2004


Une idée originale ! La Coimmunauté salésienne d’Ebolowa, le Centre Professionnel Don Bosxco, la Fondation Don Bosco pour le Développement, et la Radio Communautaire de Développement de la Mvila se sont associés dans l’organisation du tout Premier Forum Provincial de l’Orientation, de la Formation et de l’Emploi du Sud. Ce Forum a été baptisé « FOFEM 2004 »


Ayant pris conscience d’une crise grave dans le secteur de l’orientation de la formation et de l’emploi, il a fallu trouver un espace d’échange entre les jeunes élèves, les chômeurs d’une part, et les pourvoyeurs d’emplois d’autre part.

Près de 95% des jeunes dans la Province du Sud n’ont pas d’emploi. Ils ont été habitués pour la plupart à travailler dans le secteur public. Or nous vivons désormais une période de désengagement de l’Etat au profit des initiatives privées. Cette nouvelle donne appelle donc une formation qualifiante. Pour ce faire il convient de mieux s’orienter dès le départ, à partir d’une bonne information sur les opportunités d’emplois disponibles, en tenant compte des réalités de notre environnement car toute formation ne conduit pas nécessairement à une embauche, mais assez souvent à l’auto-emploi.

La vulgarisation des opportunités disponibles dans la Province du Sud comportait plusieurs acrtivités : une Foire–Exposition, des olympiades des métiers, des concours inter établissements, des projections vidéos, des travaux en ateliers. Les conférences débats, en direct de la radio, n’étaient pas de moindre intérêt..

Pendant trois jours, les demandeurs d’emplois, dont quelques désespérés, et les jeunes scolaires, se sont édifiés sur les multiples façons d’apprendre, et la compétence aujourd’hui pour un développement véritable. Des personnes ressources au dévouement insoupçonné ont présenté les différents métiers dans l’agriculture, l’élevage, le bois, et dans la culture.

Au soir du 8 février, le Père Alcide Baggio, Directeur du Centre Professionnel Don Bosco a précédé à la remise des prix aux récipiendaires pour un montant total de 150 000 cfa. Plus d’une centaine de jeunes et de visiteurs ont apposé leur signature au bas de ce qu’il est désormais convenu de baptiser l’appel du FOFEM 2004. Il s’agit d’une loi cadre en 5 points sur la jeunesse, qui vise sa prise en charge pour une meilleure insertion sociale.

A l’occasion de la 38e Fête de la Jeunesse, une nouvelle page vient de s’ouvrir par rapport au contenu traditionnel de cette Célébration.

Jean Christian AKAM


Les EDB de Yaoundé poursuivent leur programme de publications. Les livrets sur le Sida sont aujourd’hui utilisés en de nombreux pays. Renseignez-vous sur les diverses plaquettes qui font connaître Dominique Savio en ces 50 ans de sa canonisation.

GABON - LIBREVILLE

MIKOLONGO, carrefour des salésiens coadjuteurs


Suite à l’article de Roger Auvinet paru dans notre dernière livraison sur la Rencontre de Coadjuteurs, voici aujourd’hui le texte que nous a fait parvenir Paul-Marie Tsakala. Nous ne publions de cette deuxième relation que les aspects complémentaires du précédent apport.


Pendant une semaine, aidés par les Pères Jose Antonio Vega, nouveau Provincial, et Jose Maria Sabe, directeur de Libreville, nous avons passé au peigne fin dans une ambiance décontractée les éléments de notre vocation en nous appuyant sur le patrimoine que nous propose la Congrégation.

Nous avons visionné la cassette qui donne les grandes orientations du 25e Chapitre général. Nous y découvrons les convictions de Don Pascual Chavez notre Recteur majeur et de ses prédécesseurs sur les coadjuteurs, des convictions sans équivoque. Mais la cassette montre aussi les salésiens coadjuteurs a l’œuvre au niveau professionnel, éducatif, pastoral, spirituel …


Salésiens à part entière

Dans un rythme à la fois intense et relaxe nous avons essayé de faire le point sur le cheminement de chacun, le cadre de notre insertion pastorale et éducative, le sens de notre mission en général mai aussi sa spécificité laïque. Nous avons aussi partagé sur notre place dans la famille salésienne et dans l’Eglise.  Nous n’avons rien à revendiquer. Notre place nous revient de droit de par notre vocation chrétienne. C’est l’évidence même de la théologie baptismale. Notre consécration fait de nous des salésiens a part entière.

De ce fait nous nous trouvons avec des frères prêtres, avec d’autres membres de la Famille salésienne et de l’Eglise dans une logique de complémentarité. Ainsi avec une légitime fierté, nous pouvons dire qu’avec cette vision prophétique, Saint Jean Bosco a devancé le Concile Vatican II.

Une conviction très forte nous a animés, celle de l’application des Constitutions, des directives de la Ratio et des différents écrits de nos supérieurs sur la spécificité de la vocation du salésien coadjuteur. Cela concerne bien sûr les coadjuteurs mais aussi l’assainissement mental de certains clercs afin d’éclaircir des points d’ombre dans leur tête, sur la vocation du salésien coadjuteur. Ainsi nous pourrons parler véritablement de la grâce de l’unité.


L’accueil chaleureux de la jeune Communauté de Mikolongo

Nous avons vécu ce temps fort pendant la semaine de l’Epiphanie, dans une dimension de la manifestation de Dieu en nous et en toute la famille salésienne. Nous avons vécu l’Eucharistie, les laudes et les vêpres avec la communauté chrétienne de Mikolongo constituée en majorité de jeunes. Il ne s’agissait pas seulement de prier pour les jeunes, mais ils étaient au cœur même de notre prière, représentant tous les jeunes de nos œuvres.

Nous avons participé avec les jeunes a l’une ou l’autre activité de leur Centre. Le vendredi 9 janvier 2004, nous étions avec eux pour une Conférence- débat sur le Sida. La chapelle du Centre était trop pétite pour accueillir les 700 jeunes et enseignants venus pour la circonstance.

«  Attendre seulement la fameuse journée contre le Sida, c’est se tromper de combat, a affirmé le Père José Antonio Vega, animateur de la séance. Pour qu’il y est un impact et un sens éducatif, il faut un engagement permanent. »


L’appel de Michel Perrot

L’un des points forts de notre séjour a été notre prière sur la tombe de Michel Perrot, salésien coadjuteur mort a la tâche. Que la vie de Michel, appelé à Dieu soit un fleuron de vocations de salésiens coadjuteurs. Comme le dit un proverbe congolais, « Là où meurt un palmier, un autre rejeton repousse »

La figure du bienheureux Artémides Zatti béatifié par le pape Jean Paul II nous a été présente durant toute notre rencontre. Il a su faire l’unité entre son action et sa foi. Il a vécu la sainteté du quotidien .

La vidéo de Mère Teresa de Calcutta nous a rappelé le sens d’une vie toute donnée à Dieu a travers les pauvres.

Mgr Basile Mve, archevêque de Libreville a eu l’amabilité de répondre a notre invitation. Il a partagé avec nous ses préoccupations pastorales.

Merci au Conseil Provincial qui a suscité cette rencontre. Merci à la Communauté de Libreville qui a voulu se faire disponible.

Paul-Marie TSAKALA, sdb



GABON - LIBREVILLE

A Okala- Mikolongo, Stop Sida !

La Cité des Jeunes Don Bosco Okala- Mikolongo a organisé une conférence sur le sida le vendredi 9 janvier 2004. Après plusieurs communiqués à la radio Sainte-Marie, trois établissements ont participé à cette formation, l’école publique d’Okala, la Citronnelle,  le Collège notre Dame de Nevers. Sont venus aussi  les Jeunes de la Cité.

Avec les jeunes des trois établissements scolaires, sont venus aussi des enseignants. C’était pour eux l’occasion de découvrir le rôle de l’éducateur chrétien face à cette maladie qui est aujourd’hui un fléau dévastateur dans le monde entier et surtout dans notre chère Afrique et en particulier au Gabon.

Tout commence par le mot de bienvenue du stagiaire Désiré  suivi de la distribution des brochures « Stop » par le conférencier le Père José Antonio Véga. Très simplement pour permettre à tous de comprendre le message, le conférencier détaille point par point les grands thèmes de la brochure à savoir : la définition du Sida, les possibilités de transmission, la notion du préservatif, l’amitié réelle…

 
De nombreuses questions

Après 1h 30 d’entretien, les jeunes ont droit à quinze minutes de pose. Certains en profitent pour questionner l’un ou l’autre salésien. La seconde partie est animée par des questions de toute sorte qui reflétent vraiment les réalités que vivent nos jeunes et leurs ignorances. La participation des enseignants a été un grand apport pour cette conférence.  Ceci prouve la prise de conscience de leur rôle dans nos établissements vis-à-vis de cette pandémie.  Le problème du préservatif est l’un des  points extraordinaires de cette  causerie. Contrairement a d’autres conférenciers, les jeunes sont surpris d’apprendre que  la meilleure façon de se prévenir contre le Sida  est l’abstinence. Le Père José  Antonio montre aux jeunes les risques  et l’inefficacité  du préservatif : « Vivre l’abstinence est le meilleur moyen pour combattre le Sida. »

  TATIANA, collaboratrice à la Cité


GABON - LIBREVILLE

La Fête de Don Bosco à Okala - Mikolongo


Du 23  janvier au 15 février 2004, un grand nombre de jeunes sont venus dans notre Cité pour fêter la Saint Jean Bosco. Pour beaucoup d’entre eux, c’est une première. Ils découvrent l’histoire de ce saint.

Le 23 janvier c’est le lancement du championnat Don Bosco 2004. Hormis nos équipes habituelles, participent cette fois-ci deux établissements. Le même jour,  nous lançons le concours de dessin sur le portrait de Don Bosco et le concours de la plus belle composition de musique sur la vie de Don Bosco.  Le dimanche 25 janvier un film sur la vie de Don Bosco, offert par le délégué de la Pastorale des jeunes, permet aux fidèles et aux jeunes de découvrir ce saint ami des jeunes.


Théâtre et Célébration priante

La grande fête a lieu le samedi 31 janvier de 20h 00 à 23h30 sur un podium bien réalisé grâce à divers collaborateurs. Dans le stade de foot - ball, se déroule une belle  soirée culturelle. L’entrée gratuite permet aux jeunes de découvrir notre Cité en savourant les merveilles de nos artistes. Dans ce beau programme, un des succès les plus intéressants passe par les concours de danse, individuel ou en groupes. « Don Bosco ami des jeunes » est le slogan que l’ont entend à tout instant ? Le dimanche 1er février,   le Père Guy,  vicaire de la communauté « Marie Auxiliatrice » de Mikolongo préside la messe en l’honneur  de Saint Jean Bosco. Les offrandes donnent lieu à un moment remarquable et symbolique. Les jeunes apportent des ballons, la Bible, des cahiers, des livres, des outils de travail tels que le rabot, le niveau à bulle d’air,  la truelle, le tournevis, des bics. Chaque objet est présenté aux fidèles et expliqué par le frère Serge avant d’être remis au célébrant. Par ces gestes, les animateurs présentent à leurs parents et amis, le sens de l’oratoire de Don Bosco, « une cour de récréation, un milieu d’éducation à la vie humaine et spirituelle ». A la fin, les objets sont déposés au pied  d’un beau monument réalisé dans la chapelle ou rayonne le visage de Don Bosco sous des jeux de lumière.


Repas de Fête dans la joie et le partage

Dès 13h 30 nous enchaînons avec le repas d’ensemble dans une bonne ambiance festive, Parmi les invités, il y a les responsables des établissements du quartier, les catéchistes, les lecteurs, les capitaines des équipes, certains de nos parents, bref tous ceux qui collaborent d’une manière ou d’une autre avec les salésiens. Nous remercions nos mamans qui ont préparé tous ces bons plats de fête. Le frère Serge n'a pas pu être avec nous pendant le repas. Il a été terrassé par la fatigue et le palud. Pour lui, son repas de fête a été la perfusion. Les célébrations de la Saint Jean Bosco ont pris fin à Mikolongo le 15 février par la remise des lots aux différents concours et la finale du championnat a été animée  par une chorégraphie. Nous remercions  tous ceux qui ont contribué à la  réalisation de cette première fête de Saint Jean Bosco dans notre quartier en particulier la Radio Sainte Marie et la « R.T.N », Radio et Télévision Nazareth.

Nike KAYEMBE, Jeune de la Cité


Mgr Jean-Marie Benoît BALA ordonnera diacres le dimanche 14 mars 2004,

Aurélien Ahouangbe ( Bénin ), Dominique Hounssounou ( Togo ), Roland Mintza,

( Cameroon ), Francisco Moro ( Guinée Equatoriale ) et Pascal Tuyisenge ( Rwanda )

GABON - PORT-GENTIL

La Bonne Année des Jeunes : tradition respectée !


Cette année, la « Bonne Année » des Jeunes a été célébrée le dimanche 11 janvier 2004 au lieu du dimanche de l’Epiphanie comme cela se faisait les années précédentes : ceci, pour une meilleure préparation !


La veille de cette fête, une soirée de prières rassemble tous les groupes.

Trois temps forts marquent le programme. Le premier comporte la présentation de deux panneaux. Le premier panneau représente le Corps du Christ constitué de tous les groupes et mouvements de la paroisse, avec le Christ à la tête. Ceci trouve son explication dans la lettre de saint Paul (1 Co 12, 12-31) : « Notre corps forme un tout, il a pourtant plusieurs membres. ..., nous avons été baptisés dans l'unique Esprit pour former un seul corps ». Tous les groupes et mouvements de la paroisse forment un seul corps, celui du Christ ; voilà pourquoi nous devons travailler dans l’unité, dans la foi, tout en sachant que c’est le Christ qui devrait être au centre de nos activités, de tout ce que nous entreprenons. Comme dit saint Paul : « Si un groupe souffre, tous les autres partagent sa souffrance, si un groupe est à l’honneur, tous partagent sa joie ! »


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2 Avec Sainte Barbe et Don Bosco

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3 Solennité fêtes patronales

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4 Le samedi 31 janvier, fête de Saint Jean Bosco, un coup de fil signale au Père Jean Baptiste que son frère Gilbert est au plus mal. Le Père part le soir même. En arrivant chez les salésiens de Lyon, le dimanche matin, vers 10h 00, il apprend que Gilbert vient de mourir à 7h 20. Très fatigué depuis des mois, Gilbert, 83 ans, ancien ouvrier métallurgique, ancien déporté du travail en Allemagne durant la seconde guerre mondiale, laisse, après 55 ans de mariage, son épouse Marinette, ses trois enfants mariés, ses six petits enfants et ses trois arrière-petits enfants. Ancien élève de la Maison salésienne du Château d’Aix, il est parti en égrenant son chapelet.

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