Cimatti|Fukahori Domenico / 1946-1-1

3277 / Fukahori Domenico / 1946-1-1 /


a S.E. Mons. Domenico Fukaori, Amministratore Apostolico di Miyazaki



Nakatsu, 1 gennaio 19461

Mons. Fukahori,


  1. Selon le discours du “chiji” (Prefetto) d’Oita les Pères de Nakatsu auront accusé le chef de la police du Nakatsu d’avoir détruit la maison (residenza missionaria e orfanotrofio) «in odium religionis». Ce fu le déterminant de l’arrêt du chef.

  2. Ordonnée la reconstrution, ils auraient fait les choses en grand.


SELON LES INFORMATIONS PRISES EN CAUSENT AVEC LES PÈRES RÉSULTE:


  1. Le Kyokai (missione) et les Pères n’entrent pas dans la question. Les Pères absolumment n’ont dit rien de ce qu’on attribue (destruction de la maison in “odium religionis”).

  2. Le chef de la police fut arrêtèe non par l’accuse des pères, mais pour qu’il n’obéissait pas aux ordres des americains (consigne des armes et autres ordres etc.).

  3. Le pères avec leures bonnes relations ont aidés beaucoup les autres employés de la police, qui étaient en pericle d’etres condannés.

  4. N’est pas vrai que les pères ont cherché de faire employer pour la constructions des materiaux de prèmiere qualitè. Ils désiraint seulment une petite maison pour le prêtre, maison bâtie avec extrême économie. L’examen du contract et l’inspection de l’actuel bâtiment le font voir très clairement.

  5. Fut le command américain, qui non obstant la prière des pères pour obtenir seulment une petite construction, ordonna l’actuelle construction, qui résulte du même nombre des tsubo (misura giapponese) de la précédente, comme “batsu” (punimento) et compensation de l’injuste destruction de toute la maison. S’il était nécéssaire isoler le “Keisatsu” (comando di polizia) pour le deféndre, n’était pas nécéssaire détruire toute la maison et aussi les coins plus éloignés.

  1. Le terrain au derrier de la propriété est le récompens de ce qu’on prend pour l’élargissement de la rue à côté de la maison.

  2. Toutes les questions furent traitées à la presence des l’autorités de la ville, du “keisatsu” (Polizia), des ingénieurs et entraprenneurs, qui sont prêts à declarer la vérité de cette question, et que les pères sont étrangers a toute cette bruites et qu’ont fait tout le possible pour calmer et faiblir les dispositions pries par le command militaire. Dolendum que le nouveaux préfet fut mis assai imperfectment au courant de la question.

  3. Parmi les autoritées actuelles (command militaire, keisatsu (polizia), ville et entraprenneurs) et le Kyokai (missione) il y à la plus cordialentente: pas l’ombre de discussion, et les journaux ont parlé très magnifiquement aussi de la magnifique inauguration de la maison des pères.

  4. Apres les visites des représentant de la province d’Oita, et les colloques avec les autorités locales et américaines, on m’assurent que la question est parfaitement éclaircie. Et comme ausssi auparavant on avait toujors dit, cet-a-dire, que le Kyokai (missione) et les pères n’entraient pas dans cette question, on à encor plus clairment affirmé encore une fois.

Pour la verité.

D. V. Cimatti, sales.

Insp. Sales. au Japon


Pour la question de la proprieté:

    1. Dato che la missione e la residenza del missionario sono state separate, queste sono di appartenenza alla Prefettura Apost.

    2. L’Orfanotrofio è opera salesiana.



1 Minuta inviata al Nuovo Amministratore Apost. Mons. Fukahori, Vescovo di Fukuoka. Vicino al giapponese si è messa la traduzione italiana. Le ultime righe in giapponese sono state sostituite con l’italiano.